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Thème : Economie

05/04/22
Rendement catastrophique des assurances-vie d'Allianz

Nous venons de recevoir l'état de l'évolution de notre assurance-vie Tellus souscrite chez Allianz.
Le rendement en est lamentable.
Surtout si nous le comparons à l'un de ses concurrents Aviva, qui lui aussi a subi tous les aléas géo-politiques et sanitaires que nous avons connus ces dernières années.
Il semblerait qu'Allianz gère mieux ses affaires que l'argent qui l'épargne qui lui est confiée.
Heureusement que nous n'avions pas mis tous nos œufs dans le même panier !
Le principe du gagnant/gagnant, ce ne semble donc pas être dans leur ADN.

P et J H

15/01/21
La dette occasionnée par l'aide sociale et aux entreprises octroyée "quoiqu'il en coûte" par la France à l'occasion de la pandémie Covid 19, devrait en grande partie être abondée à hauteur de plus de 300 milliards d’euros provenant de la BCE. Avec ces montants, notre pays est largement sorti des compétences que les traités européens, notamment de Maastricht et de Lisbonne, lui avaient confiées : garantir la stabilité de l’euro et lutter contre l’inflation.
Quel sera notre avenir fiscal pour éponger cette dette colossale ? Quelle en seront les répercutions sur notre épargne ? Quelle part restera à supporter par nos enfants ?

E.O

08/01/21
Je partage ici mon expérience avec Boursorama, notamment sur sa partie gestion de portefeuille boursier.
Je détiens chez eux un portefeuille ORD.
Le 26 octobre 2020, je reçois d'eux à la fois une lettre et un mail m'invitant à participer à une offre d'achat de mes actions Paypal Holdings par Ponos Industrie. En toute confiance, j'ai souscrit à cette offre par voie numérique ; ma ligne de ces titres a tout de suite été débitée.
Ce jour, je n'ai toujours pas été crédité du montant de cette cession !?
Pire, lorsque je l'ai ai appelé pour avoir des nouvelles on me répond qu'ils n'ont pas de nouvelles et qu'ils faut en demander directement aux sociétés citées.
Chez Boursorama, on se moque vraiment de ses clients.

J.D

17/11/20
Boursorama, se présente sur son site et dans sa communication média comme "Banque, élue « banque la moins chère » de France pour la 12ème année consécutive".... ou encore :"Boursorama permet à ses clients de conserver leur pouvoir d'achat et recommande aux Français de ne pas dépenser leur argent chez elle."
Seulement dans la réalité je souhaiterais mettre quelques bémols à cette belle autosatisfaction :
- Tout d'abord, sur les comptes basiques c'est sûrement vrai, mais dès que l'on y ouvre des assurances-vie, ou des produits boursiers, ils se rattrapent bien !
- Ensuite, lorsqu'ils offrent des primes pour ouvrir souscrire à de nouveaux produits, ils faut pleurer et réclamer pour les obtenir, ce qui n'est pas très correct...
- Autre chose, c'est une banque qui vous oblige à lui envoyer par voie postale (à vos frais) les chèques que vous recevez en paiement, ce qui est plus long et moins sécure que de les donner à un guichet d'une banque physique.
- Encore de faux espoirs mis en avant : si vous souhaitez souscrire à un prêt immo (par exemple), Boursorama vous fait miroiter des taux alléchants... mais après fait une simulation sur leur plateforme qui établit que vous êtes dans les clous, puis avoir monté le dossier (opération longue et fastidieuse), un beau matin, vous apprenez que finalement c'est non, alors que d'autres banques "normales" vous accordent ce prêt.
- Enfin, leurs brochures tarifaires publiées ne sont toujours à jour, ce qui occasionne quelquefois de mauvaises surprises de facturation.
En conclusion, pour gérer un compte simple, un livret et une carte bancaire, pourquoi pas, mais pour le reste, méfiance le tableau n'est pas idylique.

P.H

08/11/20
Pour la deuxième fois, nous voilà reconfinés, après une période de couvre-feu !
Seuls les magasins dédinis de nécessité restent ouverts et fréquentables avec une autorisation... Re-belote !
Par contre tous les autres, sont condamés à être fermés, puisque "non-essentiels".
Un vrai scandale en terme d'égalité devant la loi et une catastrophe pour tous ces commerçants, ne s'étant pas encore remis des contraintes liées à la première vague de la Covid.
Décidemment, le pouvoir en place et ses conseillers, sont vraiment à côté de la plaque, une fois de plus.
Et qui paiera ce désastre économique ? Toujours les mêmes...

R.B

01/09/20
L'investissement responsable a la cote auprès des investisseurs et des épargnants. De plus en plus de fonds sont ainsi estampillés ESG ou ISR. Ces appellations peuvent-elles être trompeuses ? C'est loin d'être le cas, en y regardant de plus près !
L.D

18/10/20
L'Etat protecteur français budgétise des centaines de milliards d'euros qu'il n'a pas pour amortir les conséquences de la Covid 19 sur l'économie, les travailleurs, les entreprises que le confinement et l'interdiction de commercer mettent à mal.
En France, il aurait été difficile de faire autrement !
Cependant, cette dette abyssale, digne de celle d'après-guerre que va-t-elle devenir et surtout comment va-t-elle être apurée ?
Comme après la Libération, seule la création d'une inflation importante, va permettre d'en venir à bout.
L'épargne passive des français va ainsi fondre comme neige au soleil.
Mais comment faire autrement ?

P.H

15/01/20
Des taxes sur tout et pour tout ! Et de plus en plus ! Et après on veut nous faire croire que les impôts baissent...
Instaurée en 2012, une taxe «cabane de jardin» concerne «toutes les opérations d’aménagement, de construction, de reconstruction et d’agrandissement de bâtiments ou d’installations, nécessitant une autorisation d’urbanisme (permis de construire ou d’aménager, déclaration préalable...)» d’une surface supérieure à 5 m² et d’une hauteur de plafond supérieure ou égale à 1,8 mètres, y compris les combles et les caves. Les abris de jardin, même démontables, sont donc soumis à cette taxe.
D’autres aménagements sont également visés par cette taxe. C’est le cas des piscines (200 euros par m²), des panneaux photovoltaïques fixés au sol (10 euros par m²), des chalets ou bungalows (10.000 euros par emplacement) ou encore des tentes, caravanes et autres mobile-home (3000 euros par emplacement).

R.F

28/10/19
On a vendu les autoroutes pour 15 milliards et elles rapportent maintenant 2 milliards par an au privé... Vendre ce qui offre un bon rendement pour rembourser des dettes qui ne coûtent pas cher vu les taux d'intérêts actuels... un non-sens qui fera perdre des milliards à l'Etat... Mais bon, depuis la privatisation des autoroutes je ne crois plus à l'homme politique au service du peuple et de la Nation...
P.P

09/01/16
Je suis depuis longtemps les travaux d'Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation IFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques). J'apprécie ses interventions, tant dans "C dans l'air" que sur Europe 1. Ses analyses et ses propositions sont frappées du bon sens appliqué à l'économie. C'est une personne comme cela qu'il faudrait aux rênes du pays, comme adjointe de Macron, par exemple, pour que la France se redresse enfin. malheureusement, cela ne semble pas d'actualité, et chaque mois qui passe nous enfonce un peu plus dans le naufrage.
P.H

23/11/15
Et pour le "Public", qui est exactement dans les mêmes pratiques, qui va le sanctionner ?
H.P

23/11/15
Le Ministère de l'Économie a publié la liste des cinq plus mauvais payeurs privés de France : 1. Numéricable 2. SFR (c'est le même groupe) 3. Airbus 4. Paul Prédault 5. Comasud (commerce de bois et matériaux de construction)...
C'ette dénonciation publique est un premier pas, mais l'amende la plus élevée pour ce mauvais type de comportement a été de 375.000 euros. Une broutille face aux gains effectués sur le dos des fournisseurs, lorsque cela ne les a pas mis en faillite !

M.F

16/11/15
Vous avez raison S.W !
Savez-vous qu'une ordonnance en date du 20 août 2015 de la DRBRD est passée en catimini.
En effet il était important que nous ne puissions pas savoir que désormais, en cas de faillite de sa banque, on (les déposants) passe en troisième position après les actionnaires et les détenteurs d'obligation.
Par ailleurs, la garantie bancaire des comptes en dessous de 100 000 euros, est de fait inapplicable ! Personne n'a l'argent nécessaire en réserve et les
Allemands refusent de créer un fonds européen, puisqu'ils en seraient les plus gros contributeurs.
T.V

10/11/15
Les banques étaient "trop-grosses-pour-faire-faillite" en 2008. En 2015, elles sont encore plus grosses. En 2008, l'Internationale des contribuables a sauvé les banques et à part Lehman Brothers, aucune n'a vraiment fait faillite. Dexia ? Natixis ? Renflouées avec votre argent soit 360 milliards d'euros en 2008 et 232 milliards en prêts de la BCE entre 2011 et 2012. Des prêts à prix cassé : 1 %. "Ca coûte pas cher, c'est l'Etat qui paye", comme dirait le président Hollande.
S.W

07/01/15
L'Angleterre vient de passer devant nous comme puissance économique !
Elle a opté pour une austérité brutale couplée à une réduction drastique des dépenses publiques et une politique résolument pro-entreprises. Nous avons opté pour une augmentation délirante des impôts sans réduction des dépenses publiques avec une politique résolument anti-entreprises. Non seulement la Grande Bretagne nous passe devant mais elle affiche une croissance deux à trois fois supérieure à la nôtre et un chômage deux fois inférieur au nôtre.
Merci au hollandisme.

F.M

24/12/14
La dette publique française s'établit à 95,2% du PIB à la fin du 3éme trimestre 2014. Elle a ainsi augmenté de 7,8 milliards d'euros sur ce seul trimestre par rapport au précédent pour s'établir à 2031,5 milliards d'euros. Faut quand même avoir un sacré moral pour se souhaiter une bonne année 2015 !
F.R

07/08/14
Nos aides sociales utilisent chaque année un tiers de la richesse nationale soit 650 milliards d'euros !
Trois mesures devraient s'imposer à nos dirigeants :
- Refuser que la France étende le bénéfice de sa politique familiale aux ressortissants algériens et à leurs enfants, comme l’Union européenne l’exige,
- Accroître la lutte contre les fraudes sociales (suppression des allocations aux fraudeurs condamnés, rétablissement de la franchise sur l’AME, renforcement des contrôles…)
- Plafonner les minima sociaux à 75 % du smic et contraindre les bénéficiaires du RSA à 5 h hebdomadaires de travaux sociaux (proposition de Laurent Wauquiez).
C'est à ces seules conditions que nous pourrons continuer à assurer financièrement ces aides, et à les les faire accepter à la population active.

C.A

25/07/14
A 49 salariés, certaines entreprises qui ont pourtant un potentiel de croissance et donc d'embauches préfèrent s'arrêter. Car à la 50 ème personne, près de 40 contraintes de la réglementation du travail se déclenchent. A 49 personnes l'entreprise peut vivre, à 50 la même peut perdre de l'argent et son patron passer d'un rôle d'entrepreneur à celui d'administratif voire de "sale patron" auprès d'équipes fraîchement syndicalisées. C'est une des raisons pour laquelle notre croissance ne décollera pas.
M.F

17/07/14
C'est dans notre pays que l'accès à l'assurance chômage est le plus aisé et le plus rapide : la durée minimale d'emploi requise est de 4 mois, contre 12 dans la plupart des pays européens. Notre pays détient le plafond record d'indemnisation chômage, jusqu'à 6 121 euros par mois !
Le taux d'indemnisation des salaires est en moyenne 10 points supérieur au reste de l'Europe (67 % du salaire perçu en entreprise en moyenne), et ce sur une durée plus longue.
L'institut des politiques publiques a pourtant tiré la sonnette d'alarme. Il a montré que la générosité des allocations, couplée à l'allongement de la durée maximale d'indemnisation, impacte fortement le taux de retour à l'emploi (-28 % entre 2000 et 2002 quand la durée d'indemnisation est passée de 7 à 15 mois...).
On se retrouve donc dans une situation où la tentation d'enchaîner les périodes d'activité et de chômage est forte, et où certains se paient même le luxe de travailler au noir pour compléter leurs revenus sociaux. Finalement, l'incapacité de Pôle emploi à fournir du travail arrange pas mal de monde.
Certains osent même en demander plus encore, à l'image de la CGT, qui propose d'augmenter la durée maximale d'indemnisation à 30 mois, d'ouvrir les droits des « jeunes » à partir de 2 mois de travail, et d'étendre la durée maximale d'indemnisation de 36 à 60 mois pour les plus de 50 ans.
Pour financer tout cela, ce syndicat propose de taxer les entreprises encore et toujours plus. C'est avec de telles propositions fantaisistes que la France n'est pas prête de sortir la tête de l'eau...
Trop c'est trop ! Les contribuables refusent d'être à jamais contraints de secourir des allocataires, toujours plus nombreux, bercés par l'Etat et la générosité de ses prestations. Huit Français sur dix considèrent qu'il y a trop d'assistanat ! Pourtant le système semble imperméable à toute réforme.
Les aides sont distribuées sans aucune contrepartie. Nos concitoyens sont habitués à ce que la collectivité trouve des solutions à leur place, légitimant de fait une dépendance financière totale vis-à-vis de l'Etat providence. L'assistanat anesthésie les citoyens, réduisant à néant l'esprit d'initiative, aliénant les hommes au lieu de les responsabiliser. L'impact psychologique de ces perfusions systématiques à l'argent public est beaucoup moins anodin que ce que l'on pourrait croire au premier abord.
Les solutions sont pourtant nombreuses, et à portée de main, comme le montrent par exemple nos voisins hollandais, qui contraignent leurs chômeurs en fin de droits à 8 heures de travail par semaine pour la municipalité sous peine de perdre leurs revenus. Le taux de retour à l'emploi a bizarrement décollé !

A.C

21/02/14
"Le projet de loi Pinel sur l’artisanat et les PME qui vient d’être adopté par l’Assemblée supprime ni plus ni moins le régime des auto-entrepreneurs qui était bien la seule chose qui fonctionnait à peu près facilement dans ce pays.
En effet, le gouvernement a finalement décidé de fusionner leur régime avec celui de la micro-entreprise.
Désormais, il n’y a plus aucun régime de l’auto-entreprise mais bien un alignement sur le statut de la micro-entreprise qui, entre autres joyeusetés, va permettre à tous les auto-entrepreneurs d’être taxés très fortement puisqu’ils vont être assujettis au RSI, un organisme avec lequel tout le monde passe de très agréables moments administratifs, puis à la CFE qui est le nouveau nom de la taxe professionnelle mais en plus cher et en plus coûteux, puis ils devront tenir un livre de comptes, puis une comptabilité, puis justifier de diplômes et de qualifications, puis également auront l’obligation de souscrire à une assurance professionnelle dont les montants en fonction de l’activité peuvent être très élevés.
Notre gouvernement, qui est certainement l’un des plus mauvais de tous les temps, vient donc d’enterrer le statut d’auto-entrepreneur dans un silence assourdissant.
Il devient donc urgent de fermer immédiatement votre auto-entreprise et de migrer vers d’autres solutions qui vous permettront soit de bénéficier de l’assistance sociale et de devenir un assisté, ce que semble souhaiter ce gouvernement d’abrutis économiques, soit d’ouvrir carrément une SASU qui vous permet de ne surtout pas avoir à traiter avec un organisme comme le RSI dont la réputation n’est plus à faire.
Un seul conseil désormais : fuyez ce régime dont tous les avantages ont été purement et simplement annulés... Ce statut était insupportable pour les lobbies des plombiers et des serruriers (sans que personne ne se pose la question du prix de certaines prestations) et insupportable pour ce gouvernement dont l’idéologie gauchisante absurde le conduit à préférer l’assistanat de masse avec des déficits et une faillite à la clef, plutôt que de laisser aux gens la possibilité de se débrouiller seul… et dans la dignité.
Arrêtez tout et ne devenez surtout pas une micro-entreprise. Il existe d’autres statuts comme la SAS. Renseignez-vous."

Charles SANNAT

22/11/13
Copie de ma lettre à EDF

Bonjour,
Vous êtes des bandits !
Ce jour, toujours pas de chèque de règlement de ma production d'électricité photovoltaïque éditée le 14 octobre. Comme chaque année, d'ailleurs, rien ne s'arrange.
Je vais donc vous faire la publicité que vous méritez sur les forums et prendrai la même latitude pour vous régler vos factures.
Que tous ceux qui sont démarchés chaque semaine au téléphone pour "se faire fourguer une installation photovoltaïque", y réfléchissent à 2 fois.

Merci aussi au gouvernement, actionnaire principal d'EDF, de laisser faire.
Salutations.

P.H

19/09/13
Pause fiscale » : mensonge d’Etat !

"Grâce à l’engagement de substantielles économies, le temps est venu de faire une pause fiscale", déclarait François Hollande le 30 août. Comme le confirmera le budget qui sera publié le 25 septembre, cette déclaration était un vœu pieux, une "véritable tromperie" comme l'a dit le Président de la commission des finances de l’Assemblée (Gilles Carrez, 12 septembre 2013). Pour tous les Français, de "substantielles économies" seraient des baisses des dépenses... qu’on ne voit guère poindre à l’horizon.
C.A

28/05/13
Tout d'abord, merci pour la liberté d'expression offerte par votre site.
Pour compléter les doléances déjà décrites à propos de Binck, je me permets d'ajouter leurs délais d'encaissement et les dates de valeur pénalisantes qui sont par conséquent appliquées.
Cordialement.

T.K

28/05/13
Voici à mon tour mon expérience avec Binck :
Après avoir mis en oeuvre les formalités d'ouverture, je reçois un premier appel en me disant que le chèque d'ouverture ne peut être à mon nom, mais doit être libellé à l'ordre de Binck Bank. Comme pour me rassurer sur les qualités de la maison, mon interlocuteur m'informe qu'aucun RIB à mon nom avec la mention de l'établissement ne sera délivré. Déjà 1ère alarme.
La somme de premier dépôt étant faible, je décide de continuer.
1 semaine plus tard, je reçois une lettre de confirmation en français (la précision de la langue a son importance) m'informant que le compte est officiellement ouvert et me précisant les modalités d'alimentation.
2 semaines après l'envoi des premiers éléments d'ouverture, un colis me parvient à l'en-tête de la marque. Mon nom est précédé de la mention "De Heer".
Je pense simplement qu'il s'agit d'un courrier envoyé de Hollande (le siège de la banque est à Amsterdam) et je présume que le reste du colis est en français.
Ben, non ! Tout le courrier de bienvenue, les éléments de contact, les classeurs, les informations relatives à la compagnie sont rédigées en néerlandais.
Bref, après avoir clôturé le compte le mois dernier, j'attends toujours mon argent et je pense que vu la faiblesse de la somme, je l'attendrai encore longtemps !
En conclusion, je m'interroge tant sur la banque que sur ce site et sa capacité à contrôler les offres qu'il promeut.
Un minimum d'explication des responsables et, éventuellement, un retour de Binck Bank n'ont toujours pas eu lieu...

I.N

12/05/13
Pour ne parler que de la fiabilité de Binck en tant que courtier, j'y suis depuis moins d'un an et j'ai déjà eu de nombreux problèmes. Dès le début, 2 mois pour ouvrir mon compte à cause de problèmes informatiques venant de Binck ; je vous passe les détails, ce serait trop long. J'ai aussi eu de gros problèmes de prélèvements sociaux sur les dividendes des SIIC...
Enfin bref, à déconseiller pour ne pas criser ensuite.

L.R

09/05/13
Bink est incapable de s'adapter et d'être réactif aux demandes légitimes de ses clients. Cela a maintes fois été signalé par des intervenants ici et ailleurs.
Il y a franchement mieux ailleurs.

G.D

29/04/13
Je confirme votre expérience de client de Binck courtier et mon mécontentement. Le problème est que nous sommes nombreux à être mécontents... mais qu'ils ne semblent pas prêts à évoluer. N'ont pas encore compris la base du business : recruter de nouveaux clients avec des tarifs attractifs c'est bien, les garder, c'est mieux !
Q.T

28/04/13
Je suis dans la même situation que vous ! C'est un scandale de ne pas pouvoir mettre la main sur son argent. En plus, quand on les appelle, ils ont vraiment l'air de s'en foutre complètement.
Je demande immédiatement le transfert de mon portefeuille chez un de autre courtier en ligne.

H.P

22/04/13
Binck retient votre argent !

Méfiez-vous des banques en ligne et notamment de Binck.
En effet, si le courtier en ligne Binck accepte avec joie d'accueillir votre épargne en action, c'est la croix et la bannière lorsque vous voulez récupérer vos fonds.
C'est notre cas en ce moment, et après 3 semaines d'attente infructueuse, nous sommes maintenant dans l'obligation de les harceler pour tenter d'obtenir le rapatriement de nos fonds pour la signature chez le notaire d'un achat immobilier.
Autre souci gênant, les cours qu'ils affichent sur votre portefeuille ont 10 mn de retard ; pas pratique pour être réactif en intraday...
Vous voilà prévenu !

C-P.H

20/12/12
Forums boursiers sur Boursorama

Je suis consterné par le niveau des forums boursiers, et plus particulièrement celui de Boursorama !
Cela oscille entre des analyses techniques qui ne se réalisent jamais, des prophéties en carton, une approche ésotérique des variations de cours, des "infos" plus ou moins en rapport avec le sujet... Je ne parle même pas du style et de l'orthographe... ainsi que des digessions personnelles... C'est d'autant plus navrant qu'il s'agit d'adultes qui jouent de l'argent et passent des heures par jour là dessus.

R.P

10/12/12
Ils sont tous indécents !

Ne cherchez pas à quoi servent vos impôts !
Il n’y a pas de crise pour « l’inutile et coûteux Conseil économique, social et environnemental National ! »
Il ne fait pas de doute que les C.E.S.E. régionaux apportent, eux, beaucoup à la réflexion des Conseils régionaux.
Depuis de nombreuses années, BCE demande la suppression du Conseil Economique Social et Environnemental «National» dont le budget était en 2010 de… 37,7 millions d’€uros. Cette institution est forte de ses 231 conseillers qui sont eux-mêmes conseillés par 72 "membres de section."
Du fait de l’existence indispensable et appréciée de cette institution… dans les Régions, le C.E.S.E. National, qui doublonne, ne trouve aujourd’hui sa justification que dans la volonté d’être, un centre de reclassement d’élus ou de ministres en mal de mandat, et de subventionner indirectement les organisations représentées.
En effet «La plupart des membres reversent leur indemnité à l'organisation qui les a désignés au Conseil.» Il s’agit donc d’une double peine pour les contribuables !
(Source : http://www.lecese.fr/index.php/organisation-et-fonctionnement/60-moyens-de-fonctionnement)
Malgré le courage qu’on lui connaît, du fait de la difficulté que représente la suppression de situations d’amis et autres collègues, il ne semble pas qu’il faille compter sur Marylise Lebranchu, ministre de la réforme de l'État, de la décentralisation et de la fonction publique, pas plus qu’il ne pouvait être attendu de la part de ses prédécesseurs, pour faire disparaître cette « Institution. »

Gérard GAUTIER

10/12/12
Bravo pour votre article sur les options binaires. La plupart de ces officines de "trading" basées à Chypre ou ailleurs sont de pures arnaques. Avant toute transaction avec celles-ci, il convient de vérifier si elles sont bien enregistrées et régulées par l'autorité de surveillance de la bourse. Rien n'empêche de faire usage des options binaires mais en passant par un "broker" qui a pignon sur rue, et publie des tarifs publics.
B.S

21/11/12
Le trading Binaire, j'en ai fait l'expérience voilà 1 an, d'abord avec 200 €, mais très vite, on m'a dit de mettre plus. Je n'ai jamais bénéficié que de "mauvais conseiller", car au prix d'un trading journalier, en suivant à la lettre leurs conseils, j'ai perdu toutes mes économies moi qui ne gagne que 2000 €/mois. Voilà, je me demandais si je suis la seule à m'être fait piégée par la Société LEADER OPTION. J'avais cru en eux, mais à chaque fois que j'ai souhaité récupérer mes dépôts, mon compte chez eux n'était jamais assez haut. Alors autant que ma mauvaise expérience profite au moins aux autres...
N.E

10/06/10
Les chinois ont tout compris : le cours d'économie du Professeur Kuing Yamang.
H.G



13/10/09
Projet de réforme de la taxe professionnelle : l'UNAPL se mobilise pour le respect de l'équité fiscale.

L'UNAPL s'élève vigoureusement contre le projet de loi portant réforme de la taxe professionnelle.
Alors que selon les simulations gouvernementales annexées au projet, la réforme devrait se traduire par un allègement très substantiel de la taxation tant des entreprises du tertiaire que des entreprises industrielles, il conduit les professionnels libéraux relevant du régime des BNC et employant moins de cinq salariés à subir le même niveau de taxation que jusqu'à présent, voire un niveau supérieur compte tenu de la réactualisation annoncée des valeurs locatives foncières.
Schématiquement, le projet consiste à scinder en deux cotisations distinctes l'actuelle taxe professionnelle acquittée par les redevables relevant du régime de droit commun (sociétés de capitaux, exploitants individuels imposés dans la catégorie des BIC et exploitants individuels imposés dans la catégorie des BNC employant plus de cinq salariés).
- Pour ces assujettis, la taxe professionnelle actuelle est un impôt unique calculé à un taux fixé localement et assis à la fois sur la valeur locative des immobilisations passibles de la taxe foncière (locaux d'exploitation) et sur la valeur locative des équipements et biens mobiliers.
- Les deux cotisations nouvelles seraient assises, pour l'une, sur la valeur locative des immobilisations passibles de la taxe foncière (taux d'imposition fixé au niveau local) et, pour l'autre, sur la valeur ajoutée (taux fixé au niveau national et progressif en fonction du montant du chiffre d'affaires de l'entreprise). Toutefois, les redevables réalisant un chiffre d'affaires inférieur à 500 000 euros ne seraient pas soumis à la seconde cotisation et ne seraient donc imposés que sur la seule valeur locative de leurs immobilisations passibles de la taxe foncière.
En revanche, le texte du projet prévoit des modalités de taxation inchangées pour les BNC « moins de cinq salariés » qui, en l'état actuel des choses, sont soumis à la taxe professionnelle sur une base constituée tout à la fois par la valeur locative de leurs immobilisations passibles de la taxe foncière et 6 % du montant de leurs recettes.
L'UNAPL s'élève vigoureusement contre cette situation. Après les premières démarches effectuées à Bercy depuis le début du deuxième trimestre, l'UNAPL va poursuivre son action ces prochaines semaines afin d'obtenir un traitement juste, équitable et non pénalisant au plan concurrentiel pour les entreprises de profession libérale.
Vous trouverez en pièce jointe des exemples de comparaisons éloquantes de la charge fiscale respective pesant sur un redevable BNC et un redevable BIC.

Le Président ARAPL BERRY-NIVERNAIS.
G. RECASENS

26/01/08
Le montant de la dette publique de la France est passé à 20000 euros par habitant !
Selon l'Insee, cette dette atteignait 1218,3 milliards au troisième trimestre 2007, soit une augmentation de 1,9 milliard par rapport au trimestre précédent. En revanche, calculée en pourcentage, la dette a légèrement diminué pour s'établir à 65,9 % du PIB (-0,6%).

C.P

17/06/07
Le nombre d'assujettis à l'ISF a bondi de 16 % en 2006

Près de 457.000 foyers fiscaux ont acquitté l'impôt sur la fortune (ISF) en 2006, soit 16% de plus qu'en 2005, indique le rapport annuel de performance de la Direction générale des impôts. L'ISF a rapporté 3,68 milliards d'euros l'an dernier, un produit en hausse de 20%.
Plus besoin d'être riche pour payer l'ISF, il suffit d'être propriétaire d'un logement bien placé !

A.S

24/03/07
Tout à fait d'accord avec C.A, c'est vai pour les particuliers comme pour les SCI, nouveauté de cette année : l'abattement pour frais des Sociétés Civiles Immobilières familiale sous le régime de la transparence fiscale de 14 % a été supprimé !
Moi, je vais tout vendre et replacer l'argent ailleurs, car là ça devient du n'importe quoi !

S.P

20/03/07
En 2006, la pression fiscale a presque atteint son niveau record ! Avec 44,4 % du PIB l'an dernier contre 43,1 % en 2002, la pression fiscale s'est considérablement aggravée au cours du quinquennat de Jacques Chirac.
C.A

09/11/06
Après les élections de 2007, il faut que le Parlement reprenne le contrôle du budget et de la dépense publique.
Il n'est pas acceptable que le budget soit voté avec moins de 0,06 % de différence entre ce que Bercy vous propose et ce que vous votez.
Il n'est pas admissible qu'en 2005, votre commission des finances n'ait pu trouver que 200 millions à économiser dans un budget de près de 270 milliards.
Continuer ainsi, c'est accepter que se prolonge l'impuissance du Parlement que certainement vous déplorez.
Il faut que notre Parlement se donne ses moyens propres d'évaluer le budget et de contrôler les dépenses, et s'affranchisse pour cela de la tutelle de Bercy.
La Cour des comptes ne peut remplir cette fonction d'évaluation car, organe judiciaire, elle ne peut influer sur les travaux du législatif.
Il vous faut un Office d'Evaluation et de Contrôle, un OFEC, rattaché au Parlement et suffisamment important pour tenir tête aux milliers de fonctionnaires de Bercy.
Cet OFEC devra être essentiellement peuplé d'experts venus du privé et destinés à y retourner et pas, comme c'est le cas avec la Cour des comptes, de fonctionnaires consanguins par la formation et la carrière avec les fonctionnaires contrôlés.
Vous ferez alors comparaître les dirigeants d'administration devant une sous-commission de députés, comme la MEC (Mission d'Evaluation et de Contrôle). Vous le ferez sur la base de rapports d'enquête préparés par l'OFEC. Vous le ferez en présence des médias, 40 à 50 fois par an, comme les commissions d'audit des parlements suédois ou anglais.
Comme le démontre l'exemple de ces National Audit Offices, vous aurez alors accompli une mission essentielle du Parlement : le contrôle de l'utilisation de l'argent des contribuables. Vous aurez mis devant les yeux de la Nation les réalités cachées de la dépense publique.
Insistez auprès des dirigeants de votre parti pour que son programme électoral de 2007 comporte cette indispensable proposition.

C.A

27/10/06
Savez-vous que les patrons négriers existent encore au XXIème siècle ?
La preuve en est : une très importante société d'installation et d'entretien en eau potable de la ville de Paris en est l'exemple concret.
Savez vous que :
- l'ouvrier n'a pas systématiquement à sa disposition un endroit pour se changer (travaillant en égout la plupart du temps, les vêtements de travail sont sales et trempés), ni pour manger (il ne peut aller tous les jours au restaurant, selon le quartier où il travaille les prix ne sont pas les mêmes et la prime de panier mensuelle serait alors insuffisante), ni pour aller aux toilettes.
Dans les deux premiers cas le camion fait l'affaire, pour le troisième c'est l'égoût !
• que l'on demande à l'ouvrier de remplir un poste à responsabilités sans lui donner en échange le titre, (sauf sur les documents internes, mais surtout pas sur la feuille de paye), le coefficient et le salaire correspondants ; tant que ça marche c'est toujours ça de pris.
• que les travaux de nuit hors astreinte sont réalisés systématiquement le VENDREDI SOIR ! (le repos compensateur se fait le samedi à la maison). L'ouvrier doit travailler normalement le vendredi matin jusqu'à midi, l'après-midi est libre, mais comme la nuit commence à 20 heures, si le temps de trajet pour rentrer à la maison est trop long, l'ouvrier ne rentre pas dormir ; de toutes façons il a déjà sa matinée de travail dans les jambes.
• que l'on demande à l'ouvrier de solder en fin d'année ses RTT qui, soi-disant lui restent à prendre et qu'après qu'il ait fixé les dates, on lui demande de les prendre sur l'année suivante pour rendre service,( en lui promettant, verbalement bien entendu de les lui payer, comme s'il les avait prises sur l'année en cours). En rentrant on lui dit froidement qu'il n'avait plus de RTT, que c'était une erreur, et que ces jours lui seront déduits de son salaire. L'ouvrier n'aurait pas dû faire confiance.
• qu'à la suite d'un accident de travail en plein jour, on lui demande de ne pas faire de déclaration, l'entreprise craignant d'être pénalisée ; depuis 2002 l'ouvrier a des séquelles à vie.
• qu'il arrive que le formulaire trois volets dûment rempli ne soit pas envoyé par l'employeur (oubli de l'employeur ?),
• que le chef d'agence, se substituant à la sécurité sociale pour décider ou non de l'accident de travail refuse à plusieurs reprises de délivrer le trois volets.
Vous direz « pourquoi restez dans cette entreprise » ; effectivement le chef, devant l'ouvrier qui réclame ses droits, lui montre la porte ouverte « si tu n'es pas content !... ».
Vous direz « pourquoi ne pas agir », parce que l'ouvrier a peur des représailles de la part d'un chef qui ne sait peut-être s'imposer que par la terreur, mais devant seulement une catégorie de personnes, qu'il sait qu'il peut atteindre.
Oui, cette société existe bel et bien, elle s'appelle AXEO.
Il semble que cette société ne fasse pas faire de stages de management à certains cadres responsables dénués d'humanité, et qui en auraient bien besoin.
Ces agissements vis-à-vis de l'ouvrier sont inqualifiables, mais pourtant ils existent.
L'entreprise a plusieurs agences en France, il est à souhaiter qu'elles ne soient pas toutes dirigées de la même façon !

ENP/RAF

20/09/06
Portage salarial : la solution !

Cela fait maintenant 3 ans que j'ai monté mon entreprise de services informatiques, et je fais le bilan suivant :
- j'ai des clients,
- je passe près de 15 % de mon temps à traiter des problèmes administratifs purs ou fiscaux, au détriment d'un minimum de sérénité et bien souvent sur mes temps de loisirs,
- La nouvelle loi fiscale m'obligeant de fait à passer par un comptable, sera encore une charge supplémentaire, non négligeable.
J'aime pourtant mon métier et mes clients comptent sur moi ! Que faire ?
Je vais passer en portage salarial, pour être enfin libéré de toute ces contraintes et tracasseries administratives, ayant la liberté du patron et la tranquillité du salarié. Mon bilan d'activité sera transformé en salaires et tout cela pour une petite commission entre 8 et 15 % selon la boîte de portage salarial ! En bonus plus de liasses à remplir, plus de TVA et d'URSSAF à gérer, des congés payés, le remboursement des frais prof. et des Assedic en cas de Chômage...
Plus aucune paperasserie, plus de contrôle fiscal, et à la fin de l'année, juste la somme de mes salaires à déclarer : le rêve !
En ces temps de candidatures et de programmes politiques, j'aimerais que nos décideurs prennent enfin conscience de la réalité des choses et décryptent enfin pourquoi tout le monde veut devenir salarié.

B.S

30/04/06
Grippe aviaire

Les volailles ont été massacrées, les chats abandonnés, tout va bien !
On peut remanger du poulet, et en plus, à la télévision comme à la radio, on ne se gêne pas pour encourager les français à le faire ! Du jour au lendemain, rien n'est aussi bon que le poulet, maintenant qu'ils ont été tous zigouillés... ou presque.
Et là c'est vraiment le pompon ! Un très gros éleveur de poulets, remercie via les médias sa clientèle de la confiance qu'elle lui a accordée ! On rêve ! Quant on pense aux petits éleveurs qui ont été obligés de détruire tout leur élevage et qui se retrouvent du coup dans une situation précaire, je trouve HONTEUX que cette grosse entreprise qui n'a sûrement pas les mêmes moyens de survie que les pauvres paysans ose faire passer ce message sur les ondes.
C'est scandaleux, autant de la part de cette société que de la part des médias ; quel manque de respect envers ces gens qui se retrouvent sans rien, et qui doivent recommencer à zero ... Jusqu'à la prochaine grippe aviaire !
Car il ne se faut pas se leurrer, elle existait, et existera encore.... comme la vache folle, par exemple !

MF.L

09/04/06
Les artisans sont chaque jours en cne, cpe !

Si on n'est pas content de ce que nous offre notre vie, eh bien, on se la crée !
Je suis artisan et je fais ce que je veux, quand je veux, comme je le veux.
Il est plus que certain que, travailler en collegiale ne m'irait pas mais l'artisan doit chaque jour retrouver du travail et s'il est sérieux il sera recherché et valorisé !
S'il rechigne à travailler propement ou sérieusement on le largue !
C'est ça la réalité du CNE ou CPE !
Vous ne voulez pas de ces contrats parce que vous n'êtes pas sûr de votre valeur !
L faute à vos parents et à votre entourage qui ne vous a pas donné les bonnes "références"...
En FRANCE le monde du travail a besoin de courageux, pas des feignasses!

Gilbert

26/03/06
Je suis à la tête d'une entreprise de 17 salariés.
La France est une vaste entreprise que les jeunes devraient bientôt intégrer.
Inutile de vous dire qu'au vu du saccage social et économique de ces dernières semaines, je serai beaucoup plus sélectif lors des futures embauches que j'aurais à entreprendre.
L'entreprise n'est pas là pour se substituer à la maman de ces jeunes, habituée à leur donner tout de plein droit et sans aucune contrepartie !
Ces jeunes diplomés ou pas, venant chercher une rente dans mon entreprise la mèneraient à sa perte à courte ou moyenne échéance.
Je pense même donner leur chance à des jeunes qui n'auront pas de diplôme mais qui en veulent vraiment.
Notre relation sera plus saine dès le départ.
Pour les postes demandant une vraie qualification, je me tournerai vers l'intérim.

L.R

10/01/06
La réforme de l'impôt sur le revenu, adoptée par l'Assemblée Nationale en Novembre 2005, fait disparaître l'abattement accordé depuis 1976 aux addhérents des Centres de Gestion.
Comme si cela ne suffisait pas, la même réforme prévoit d'augmenter forfaitairement et arbitrairement de 25% les revenus déclarés par les entreprises qui n'ont pas choisi d'addhérer à un centre de gestion (souvent d'ailleurs par des résultats trop faibles !)
C'est une présemption de fraude, tout à fait infamante pour les professions indépendantes mais surtout dénuée de fondement juridique puisque la loi n'oblige nullement à recourir à un centre de gestion ou à une association de gestion agrée !
Nul doute qu'un recours devant le Conseil Constitutionnel des organisations professionnelles remettra tout cela à plat, mais il est quand même effarant de savoir que les technocrates souvent issus de l'ENA puissent sérieusement proposer de tels dispositifs, et d'autres puissent les voter au nom du peuple !
Quand à moi, c'est décidé, je vais me constituer une cagnote "injustice fiscale" pour prévenir ce genre de risques !
Et oui, M. Breton, avec de telles initiatives, vous allez donner un sacré coup de pouce au travail au Noir...

S.B

20/12/05
La dette publique menace notre avenir

La question pourrait être posée à l'émission « Qui veut gagner des milliards ? » A combien la dette publique française s'élève-t-elle ? 1 117 milliards d'euros ? 1 500 milliards d'euros ? Ou plus de 2 000 milliards d'euros ?
Le rapport Pébereau, présenté à la presse le 14 décembre, fait état des trois chiffres.
Le premier - 1 100 milliards - correspond à la dette « officielle » affichée par la comptabilité nationale, sur laquelle la France paye des intérêts considérables : 45 milliards d'euros par an, soit la presque intégralité des recettes de l'impôt sur le revenu.
Les deuxième et troisième chiffres - 1 500 ou 2 000 milliards - sont obtenus en additionnant, à ces 1 117 milliards, les « autres engagements de l'Etat » et notamment la retraite des fonctionnaires, dont le montant varie du simple au double selon le mode de calcul retenu. Retenons donc cette fourchette de 1 500 à 2 000 milliards d'euros pour évaluer ce que devront payer en définitive les générations futures.A cette aune, chaque Français, nouveaux-nés compris, supporte une traite sur l'avenir de 24 000 à 32 000 euros !
Pour briser cette logique d'endettement exponentiel, le rapport souligne la pressante nécessité de remettre en ordre nos finances en 5 ans, en cessant de considérer la dépense publique comme la panacée à tous les problèmes et l'endettement comme une ressource à part entière. Il préconise au contraire de stabiliser les dépenses en euros courants, de réduire « au maximum » les effectifs de la fonction publique et de réorganiser nos administrations pour rétablir l'équilibre budgétaire. Reste qu'il faudrait, pour cela, modifier radicalement « nos pratiques politiques et collectives ».
Mais nos gouvernants en auront-ils le courage, avant l'élection présidentielle de 2007 ? Il est permis d'en douter à considérer le budget 2006, caractérisé par un déficit plus important qu'en 2005 et par le remplacement de la presque totalité des fonctionnaires qui partent à la retraite.

C.A

10/10/05
Et ben ça y est, la CGT a voulu rejouer les gros bras comme au temps de la période stalino-marchaisienne... Résultat : une liquidation probable et 2400 ouvriers sur le pavé. Les cocos délégués syndicaux de la CGT ils s'en foutent eux, ils sont grassement payés par les cotisations des travailleurs. Comme aurait dit mon grand'père "mettons tout ça sur un ferry et coulons-le en baie d'Ajaccio ! Mais un délégué cégétiste, ça sait nager !
Nanard

30/06/05
MARCHE pour la DECROISSANCE

Du 7 juin (LYON) au 3 juillet (MAGNY-COURS)
Les personnes intéressées désirant se joindre à la marche le peuvent, Vendredi 1er juillet 6h30 pour l'étape LUTHENAY SERMOISE lieu-dit « la Bonne femme » et Dimanche 3 juillet 5h30 pour l'étape « la Bonne femme » Magny-Cours.
Rassemblement à l'arrivée, avec JOSE BOVE, ALBERT JACQUARD, et SERGE LATOUCHE (professeur de Sciences Economique à Paris XI).
règles de vie :
La marche se déroule dans un esprit d'autonomie et de non violence. Tout manquement à cette règle signifiera l'exclusion de la marche... Tous les participants marchent ensemble selon des règles strictes de respect, de non-violence, d'entraide et de convivialité... Aucun signe d'appartenance organisationnelle, politique ou syndicale n'est accepté dans le cortège... Un lieu est proposé le soir pour camper... Les marcheurs doivent venir équipés de leur nécessaire de randonnée afin d'être le plus autonomes possibles... Les lieus d'accueil doivent être laissés parfaitement propres ;aucun chemin ne doit être souillé. On ne fume pas dans les lieux d'accueil... Pour que les marcheurs se sentent en sécurité, les chiens ne sont pas acceptés pendant la marche... La marche est organisée pour les randonneurs et les cyclistes, elle croisera régulièrement une ligne de train... Les instruments de musique sont les bienvenus, seulement s'ils sont acoustiques. Aucun abus d'alcool ou de toutes autres drogues ne sera toléré.

B.P

06/06/05
Y paraît que l'euro a fait monter les prix... Faux !
Quand je vais à Carrefour au lieu de 10 F je mets 1€ et j'ai le même chariot !

Jules Beurdin

02/11/04
Un déficit qui coûte cher à chacun...

Malgré l'augmentation et l'alourdissement des prélèvements obligatoires, la France vit dans un état de déficit budgétaire permanent depuis 1975. Qu'il soit de gauche ou de droite pas un des 13 premiers ministres qui se sont succédés au gouvernement n'a réussi à présenter un budget en équilibre. Pourtant, depuis 30 ans, la France n'a connu ni guerres ni grands cataclysmes, il s'agit juste d'une gestion lamentable de l'argent des contribuables dépensé à vau-l'eau ! Conséquence : la dette publique dépassera officiellement, en cette fin d'année, 1.050 milliards d'euros, soit 17.500 euros par Français. Mais ce qui inquiète le plus encore, c'est la progression vertigineuse de cette dette. En 1985, elle franchissait la barre des 1.000 milliards de francs. Aujourd'hui, cette même barre est franchie. Mais, depuis, nous sommes passés à l'euro !
Depuis plus d'un quart de siècle, les gouvernements totalement irresponsables renvoient aux générations futures leurs dépenses du moment.Le gâteau est décidément de plus en plus amer.

C.A

15/07/04
Le jour de libération fiscale est arrivé !

Vendredi prochain 16 juillet, les Français cessent de travailler pour l'Etat et commencent enfin à gagner de l'argent pour eux-mêmes.
Pour cette année, les dépenses publiques sont fixées à 53,9% du Produit intérieur brut (PIB). Appliqué au calendrier, cela veut dire que les Français auront travaillé 197 jours sur 366 uniquement pour financer le mille-feuilles de l'administration : Europe, Etat, régions, départements, intercommunalités et communes !
L'an dernier, les contribuables avaient été libérés le 14 juillet. Vous avez donc perdu deux jours de travail. Ce qui laisse entendre que les promesses qui ont été faites de réduire le fardeau des contribuables n'ont pas été tenues, bien au contraire !
Pourtant, la plupart de nos voisins européens ont pris des mesures pour contenir ou réduire leur dépense publique et soulager leurs contribuables. Et ils y sont parvenus... Les Espagnols sacrifient à l'Etat 53 jours de moins que les Français ; les Anglais, 41 jours de moins ; l'ensemble des pays de la communauté européenne, 20 jours en moyenne. L'abus d'impôts handicape notre pays par rapport à ses partenaires économiques, provoque la fuite des capitaux et des cerveaux, incite les entreprises à délocaliser et génère le chômage. Dans ces conditions, il devient bien difficile d'affronter la concurrence.
Malgré cette oppression fiscale, les contribuables français ne manqueront pas de célébrer, vendredi prochain, le "jour de libération fiscale".

L.C

07/07/04
Eurotunnel

Je suis actionnaire d'Eurotunnel depuis l'origne, nous sommes 600.000 mais notre association ne fait rien pour nous représenter massivement. Pouvez-vous me dire comment je pourrais contacter tous mes compagnons d'infortune (Comme vous le savez "le tunnel" c'est un gouffre qui nous a pris toutes nos économies et maintenant fricote avec les banques pour nous plumer !
Comment faire pour nous serrer les coudes
.
Clauguste
Pour faire suite et complèter le message de Clauguste sur la spoliation de 600 000 actionnaires d'EUROTUNNEL
envoyez un mail à marcel.magnin@wanadoo.fr


13/01/04
En prévision de 2006

J'ai entendu parler d'une étude révèlant, qu'en 2006, d'après la pyramide des âges, beaucoup de cadres faisant partie du baby/ papy boom devraient partir en retraite. Les entreprises devront faire face à une forte de demande de cadres et ne pourront probablement pas satisfaire leurs besoins. Pourquoi ne pas préparer ce moment pour favoriser le plein emploi : déterminer les domaines de compétences qui seront à pourvoir en 2006, pour favoriser des reconversions réussies. Le Medef qui semble actif en ce monent pourrait réfléchir à cette situation et collecter des informations pour réussir au mieux ce tournant à venir.
Prévenir plutôt que subir les fluctuations de l'emploi.

J.R


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