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Thème : Environnement

18/03/22
Poëles à granuléss

Les poêles à granulés équipant nos proches ne sont pas aussi fiables que prévu et ont subi plusieurs pannes demandant des changements de pièces, quelquefois difficiles et longues à obtenir ; de plus, s'ils ne sont pas nettoyés plusieurs fois par saison de chauffe, leur rendement baisse drastiquement.
J.H

27/09/21
Tri poussé emballages

Dans le sud du Berry, désormais, 100 % des emballages se trient !
A compter du 1er octobre 2021, les usagers devront trier tous les emballages en plastique, non seulement les bouteilles et flacons, mais aussi les films, sacs, pots et barquettes, ainsi que tous les petits emballages en métal (capsules de thé et de café, opercules et muselets de bouteilles, feuilles...)
Tous les emballages (en plastique, carton et briques alimentaires) sans exception devront être placés dans les bacs ou colonnes de tri jaunes, pour un geste plus simple et une augmentation des performances de tri.
Les emballages triés puis collectés seront ensuite acheminés au centre de tri où ils seront séparés selon les matériaux avant d'être rachetés par les différentes filières de recyclage.
Ils l'ont fait, qu'attendons-nous pour le faire partout ?
Car maintenant, nul ne pourra dire de bonne foi : "ce n'est pas possible" ou "c'est trop compliqué".

V.A

31/12/20
Salades bio ?

Je suis allé faire quelques courses chez Biocoop à Nevers pour compléter mon repas de réveillon et j'ai été très surpris d'y voir commercialiser des salades qui ne sont pas possiblement récoltables à cette saison. Mieux, le responsable est venu vers moi pour taper la discute en me disant qu'il était très pointilleux sur l'origine et la saisonnalité des produits qu'il mettait en rayon. Il ajouta que notamment le recours aux serres chaudes étaient banni !
Cherchez l'erreur.

T.P

10/12/20
L'Hydrogène, n'est pas la panacée !

Dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, l'hydrogène fait partie pour l'heure du problème plus que de la solution, induisant l'émission de près d'un milliard de tonnes de CO2 par an (de l'ordre de 2 % du total mondial).
P.G

11/11/20
Batteries Lithium et environnement

Les anti-batteries-lithium (et tout en général !) qui présentent l'extraction du Lithium comme une catastrophe socio-écologique devraient apprendre par exemple, qu'en Bolivie, le Lithium est un déchet de l’extraction du potassium qui était auparavant renvoyé dans le sol après exploitation de la saumure, potassium utilisé massivement pour l’agriculture intensive ; ne se trompent-ils pas de cible et de combat ?
M.M

11/09/20
Terres rares et fake-news...

Petite mise au point : les terres rares (TR) ne sont en réalité pas des terres, mais des métaux et ils ne sont pas rares ! Il s’agit d’une famille de 17 éléments chimiques du tableau de Mendeleïev que tous les lycéens ont un jour appris. Les plus utilisés sont le cérium (40,2 % des TR consommées), le lanthane (27,8 %) et le néodyme (17,6 %).
L’abondance des "terres rares" dans l’écorce terrestre est bien plus grande que celle de nombreux autres métaux d’usage pourtant courant et admis : leur concentration est trois fois plus importante que celle du cuivre et deux fois plus que celle du zinc, deux métaux pourtant très utilisés dans l’industrie et présents dans de nombreux biens d’usage courant.
Elles sont utilisées, par exemple, dans les écrans plats, les lampes économiques, les LED, les lasers, les radars, les disques durs des ordinateurs, les ailettes de turboréacteurs, les pompes à chaleur et les installations de conditionnement d’air, des applications frigorifiques, certains panneaux photovoltaïques, le polissage du verre, certains types de moteurs électriques, comme catalyseurs dans le raffinage du pétrole, l’industrie pétrochimique et les pots catalytiques des véhicules à moteur thermique...
Attention, il ne faut pas tout mélanger : certains autres métaux comme le lithium et le cobalt utilisés dans les batteries lithium-ion ne sont pas des terres rares.

A.P

01/07/20
Batteries Lithium et VE

En 10 ans, l’évolution des batteries de traction a été phénoménale, passant de 60 à 200-250 Wh par kilo de capacité.
La même batterie a besoin de 4 fois moins de ressources minières 10 ans après, et donc 4 fois moins d’impact de production qu’à ce moment-là ; les batteries actuelles permettent de parcourir aujourd’hui 300.000 km et même bien plus, contre 100.000 seulement en 2010.

A.P

15/01/20
Acheter, c'est voter !

De plus en plus de citoyens se tournent vers les produits bios, locaux, ayant compris que cet acte de consommation quotidien est le meilleur moyen de ne pas s'empoisonner doucement mais sûrement, tout en récompensant les producteurs qui font leur travail de manière responsable et respectueuse à la fois de l'environnement et de ceux qui mangent leurs produits. Ainsi, les producteurs faisant de la vente directe, les chaînes spécialisées bio, et les rayons bios des supermarchés sont-ils en plein développement, forçant même les acteurs de la nourriture industrielle à modifier leurs pratiques en supprimant de leurs "recettes" les additifs, colorants, etc. Qui s'en plaindrait ? Par contre, si les consom-acteurs sont bien conscients de devoir payer un peu plus cher pour un travail et/ou un produit plus qualitatif, il n'est pas forcément prêt à se faire "refiler" n'importe quoi et à n'importe quel prix. Là aussi, il convient de comparer, et pourquoi pas de ne pas "engraisser" des acteurs qui ne respectent pas un minimum de sérieux, et des marges raisonnables. Rappelez-vous, votre porte-monnaie est un bulletin de vote permanent.
P.J

14/10/17
EDF-OA

La transition énergétique est loin d'être mise en place dans les faits !
Producteur d'électricité photovoltaïque depuis 2008, je dois à chaque date anniversaire de la mise en service de mon installation envoyer une facture à EDF-OA.
Depuis plusieurs années, cette facture est établie sur leur plateforme Internet.
Cette année, je ne sais pas pourquoi et je ne suis pas le seul dans ce cas, impossible de se connecter malgré plusieurs essais à plusieurs jours d'intervalle.
Je passe par leur formulaire de contact... aucune réponse !
J'appelle le numéro surtaxé et au bout d'un quart d'heure d'attente, je raccroche. Payer pour entendre de la musique non choisie, ça va bien !
Voici l'entreprise d'Etat, qui a en charge le secteur de production d'énergie français, pas capable de faire fonctionner correctement son site, comme elle est d'ailleurs incapable d(entretenir ses centrales nucléaire ou de faire fonctionner l'EPR.
Incompétence et racket à la française, rien de nouveau, finalement.

H.P

04/03/17
Cours d’eau ou un fossé ?

La question n’a rien d’anodine : épandage de pesticides et travaux d’aménagement sont interdits à proximité du premier, mais autorisés autour du second. Le déclassement possible de nombre de cours d’eau menace la qualité de notre environnement.
Impulsée par la FNSEA, la cartographie des cours d’eau pourrait à terme bouleverser profondément la géographie de nos territoires et la qualité de notre environnement. Derrière des termes techniques et des formulaires compliqués, se dessine une menace écologique grave sur la qualité des rivières du pays.

G.T

20/10/16
Pour cet hiver nous pourrions manquer d'électricité puisque 6 réacteurs nucléaires de notre parc français sont en maintenance. Un bon rappel à la réalité pour tous les lobbistes anti-éoliennes ou tous ceux qui disent que les installations photovoltaïques ne sont pas nécessaires et que le prix de l'électricité qui leur est acheté est trop cher ! P.A

13/06/16
Au delà de toute polémique idéologique ou sociétale sur les blocages organisés par la CGT, je ne comprends vraiment pas comment on peut continuer à brûler des pneus à chaque manifestation alors que nous, pauvres pékins, n'avons même plus le droit, de brûler quelques branchages dans nos jardins. Ne parlons même pas des diesel bientôt interdits dans les villes pour émissions de suies nocives. Il faudrait être un minimum cohérent et taxer d'une amende très dissuasive ces feux de pneus.
P.H

01/06/16
Y'avait déjà l'écologie-pastèque : "vert à l'extérieur, rouge à l'intérieur", avec Denis Baupin, y'a maintenant "l'écologie-salace"... tendance DSK !
Y.L

21/05/16
J'ai lu récemment, mais plus rien ne m'étonne désormais, que certains écolos-déjàntés sacralisent la limace en l'élevant en "bienfait pour nos potagers !" puisqu'elle ne mangerait que les plants malades ou "mal dans leurs racines" qui dégagent une odeur particulière...
Pour eux : "Dans la Nature, il n'y a pas de place pour les végétaux faibles !".
Comment ne pas frémir : et si l'on étendait cette approche aux animaux... puis aux hommes ?!
Et les hérissons, ils ne mangent que les limaces malades, sans doute ?
Ne pas empoisonner son potager avec de l'anti-limace certes, il existe des moyens alternatifs de s'en protéger, mais de grâce chacun chez soi !

J.V

13/05/16
Je tiens à signaler que lorsque les anti-éoliens colportent "qu'EDF doit acheter l'électricité des éoliennes largement au dessus du prix auquel elle peut le revendre". Ce prix d'achat est de 8,2 c€/kWh pendant 10 ans, puis entre 2,8 et 8,2 c€/kWh pendant 5 ans selon les sites de production. Or, la consultation de ma dernière facture fait ressortir qu'EDF nous vend le kWh à 9,32 c€ HT. Par ailleurs, le dernier rapport de la Cour des compte estime le coût réel du kWh nucléaire entre 50 et 58 centimes. Chacun(e) a bien évidemment le droit d'avoir son opinion sur les éoliennes, mais de grâce, évitons de telles contre-vérités, directement vérifiables.
P.H

23/03/16
ERDF prépare la modification de la convention des producteurs d'électricité de la filière photovoltaïque résidentiel.
Elle vise à obliger une installation en autoconsommation à ne strictement rien injecter comme électricité sur le réseau. Or, à la fin de votre contrat de production photovoltaïque avec vente à EDF, vous deviendrez un auto-consommateur et pour ne rien injecter, vous aurez donc à investir dans un matériel complexe et coûteux.
Y a-t-il une relation entre cette modification et une nouvelle offre commerciale EDF/ ENR d´autoconsommation avec stockage ? On est en droit de se poser la question car avant même que cette modification soit imposée, les équipes d´EDF/ ENR planifiaient une offre qui correspond parfaitement à celle-ci...
Il est donc temps d'agir aujourd´hui, et de signifier notre mécontentement à la ministre de l´écologie du développement durable et de l´énergie, à nos sénateurs, députés, élus en général et de le faire savoir à travers nos réseaux sociaux.

BDPV

15/03/16
Selon le cabinet SIA Partners, le réchauffement climatique a permis aux Français d'économiser 5,3 milliards d'euros sur deux ans (gaz, électricité, fioul...). Un chiffre qui n'est pas politiquement correct.
M.F

28/01/16
Et boom ! Merci pour l'augmentation des taxes sur l'électricité au 1er janvier 2016.
Cela représente déjà 37 % de la facture !
Et tout ça pour payer la catastrophe technico-financière de l'EPR et le mouchardage généralisé des compteurs Linky...
Suis trop vieux pour faire la Révolution, dommage !

G.G

14/12/15
Il y a pire que les climato-sceptiques, ce sont les climato-cyniques et les climato-profiteurs...
P.H

11/12/15
Sapin de l'Elysée

Mardi 8 décembre, le sapin destiné à décorer la cour intérieure de l'Élysée est parti d'Auxerre sur la péniche "Le Coluche", après avoir été transporté par route sur 93 km depuis Brassy (Nièvre). Mais dans l'après-midi, alors que Le Coluche avançait sur l'Yonne en direction de Joigny, son hélice a touché le fond et a cassé, l'obligeant à s'arrêter. En attendant sa réparation, la péniche a été immobilisée à l'écluse de Monéteau.
Malheureusement l'avarie n'ayant pas pu être réparée dans les temps, le sapin de 11 m a dû être transbordé sur un camion grue jusqu'à la commune de Champagne-sur-Seine, pour y être embarqué de nouveau sur un autre bateau "La Diane"...
À son arrivée au port des Champs-Elysées le 11 décembre, le sapin devait être tiré par des chevaux de trait jusqu'àu palais de l'Elysée.
Mais finalement, il sera acheminé par camion grue pour cette dernière partie de trajet, pour raison de sécurité publique !
Quel magnifique bilan carbone et financier pour ce sapin se voulant emblématique de l'engagement écologique du président Hollande pour clore sa COP 21...

L.W

30/11/15
Linky, toujours...

Etonnant que les syndicats d'EDF-ERDF ne montent pas au créneau avec l'énergie dont on les sait capables, sur le remplacement du relevé humain par le relevé télématique que va permettre Linky ! Il est vrai que la plupart du temps, c'était des sous-traitants qui effectuaient cette tâche, mais quand même.
Que leur a-t-on promis en contrepartie ?

T.C

28/11/15
Linky, encore...

Je réagis à mon tour sur les compteurs Linky pseudo intelligents que veut nous imposer ERDF.
C'est comme d'habitude, on ne va pas avoir le choix, ça va coûter de l'argent qu'on ferait mieux d'utiliser dans la transition énergétique, et ça n'apportera rien au consommateur, une fois de plus considéré comme une vache à lait captive.
Je crois que je vais passer à l'auto-production/ consommation de mon électricité.

C.G

26/11/15
Présenté comme un projet de maîtrise des consommations énergétiques, le compteur Linky constitue l’une des mailles du filet électronique à la Big-Brother qui se referme peu à peu sur nous. En réalité un vrai "mouchard social". Il est malheureusement soutenu par les Verts. C'est fini, je ne voterai plus jamais pour ces dangereux inconscients.
V.R

16/10/15
EDF s'octroie toujours des délais de paiement avec les producteurs PV

Je fais partie des raccordés de 2014.
Déjà plus d'un mois que j'ai créé sur leur site ma facture de production d'électricité photovoltaïque à EDF-OA.
Toujours aucun règlement.
à côté de cela ils ont des milliards pour racheter/renflouer Areva.
Je sanctionnerai lors des prochaines élections le gouvernement (actionnaire principal d'EDF) qui me prend des pénalités de retard pour le règlement de mes impôts et se permet de me payer selon son bon vouloir.

G.L

12/08/15
J'ai installé ces dernières années des ruches sur une parcelle en friche m'appartenant.
Le but n'était pas spécialement d'en tirer du miel, mais plutôt de maintenir la présence des abeilles, maillon indispensable non seulement à la biodiversité mais surtout essentiel pour la pollinisation et donc toute fructification, tant des céréales que des cultures potagères.
Malheureusement, le "paysan" en limite de propriété a planté et traité sévèrement une parcelle importante de maïs
Le résultat ne s'est pas fait attendre : les colonies d'abeilles sont mortes...
Je ne suis pas méchante, mais si j'apprends que ce cultivateur irresponsable est atteint de maladies en rapport avec les traitements phyto-sanitaires qu'il inflige à la nature, je dirais que c'est un juste retour des choses...

C.B

15/04/15
Le Canard Enchaîné a révèlé que l'association écolo "Robin des Bois" a protesté contre le crash de l'A320 de Germanwings car "l'avion s'est écrasé en lisière d'une zone Natura 2000" et que ses débris éparpillés "peuvent être contaminés par du sang ou des pièces anatomiques".
On croit rêver !
Pas étonnant que 70 % des français se sentent sensibles à l'écologie tout en rejetant massivement les formations politiques écologiques.

P.H

10/03/15
L'obsolescence programmée dans le bâtiment ?

Bien connu maintenant dans le secteur de l'électroménager, de la téléphonie et de la bureautique, l'obsolescence programmée pourrait toucher le BTP.
Cette obsolescence consisterait plutôt à involontairement concevoir des bâtiments selon des critères de performance qui peu après leur livraison seraient dépassés.
Ainsi et sans entrer dans les détails fastidieux pour un non spécialiste, un bâtiment tout juste RT 2012 conçu en 2018 et livré après 2020 sera 25 % moins performant qu'un BBC 2005 livré en 2010, selon la modification de la SHON RT et des zones climatiques.
Bref, il existe bien un phénomène d'obsolescence d'origine réglementaire, mais également architecturale, technique, économique et sociologique…

B.G

02/02/15
Croisières Costa

J'ai effectué fin décembre - début janvier 2015 une croisière Costa sur le Romantica. Ce fut un cauchemar... Queue à chaque repas pour avoir une place au restaurant, pas de salle d'accueil en rapport avec la capacité du bateau, liberté totale du capitaine qui réalise les stops quand il veut... incapacité à obtenir des glaçons de rafraîchissement et coût prohibitif de tout achat : 1 litre d'eau plate en bouteille plastique (interdiction de boire l'eau du robinet) 2,93 euros hors taxe, être descendue à l'infirmerie au bras d'un membre d'aide équivaut au coût facturé d'une ambulance, soit 60 euros, etc.
Mais là n'est pas le plus grave !
Au retour nous avons fait escale à Malte permettant une large promenade, j'en profitais pendant 4 heures.
A mon retour une armada de karchéristes bien équipés nettoyait le Romantica sur toute sa longueur à raison d'à peu près 1 karcher tous les 20/30 mètres.
Je fus saisie par une odeur chimique forte qui me brûlait le nez (les croûtes sont parties il y a 1 semaine) la gorge (j'ai encore une difficulté à déglutir comme si j'avais des écailles plantées dans les amygdales...) et mon œsophage me brûlait comme si j'avais respiré une fumée âcre.
Bref, je précipitais mon retour en cabine espérant échapper à ces désagréments pénibles du fait de l'air conditionné. L'odeur moins intense devait me poursuivre et bientôt la nécessité de m'allonger du fait de vertiges s'imposait, puis ce fut une incapacité à me maintenir en équilibre jusqu'à la chute. J'appelais le garçon d'étage et entre temps un vomissement généreux me prenait.
Je demandais a voir le médecin et fut aidée de ce garçon d'étage, mon absence d'équilibre le nécessitant.
J'arrivais à l'infirmerie hôpital et il fut constaté un 22 de tension ; hyper tension qui m'est totalement inconnue habituellement. L'électro cardiogramme ne révélait par ailleurs aucune anomalie. Je fus mise sous hypotenseur en perfusion et la tension revint au niveau acceptable.
Je fus reconduite en cabine avec un hypotenseur à prendre régulièrement matin et soir des le lendemain...
Coût de ce passage médicalisé 690 euros pour 4 heures.
Je fais un lien de cet épisode avec les troubles flagrants dus à la respiration d'un produit volatil dispensé par karcher sur la coque du bateau. Cela sera nié par le médecin du bateau, c'est de bon aloi !
Par contre les brûlures des voies respiratoires ne sont pas imaginaires ni une condensation constatée au niveau supérieur d'un poumon...
Impossible d'obtenir la nature du produit nettoyant utilisé...
Vous comprendrez qu'il m'est important d'en avoir la nature pour éviter une réponse encore plus lourde en cas de confrontation avec ce produit...

M.M

17/01/15
Ségolène, tu déconnes !

Je ne fais pourtant pas partie des "écolâtres" mais vouloir lancer l'installation de nouveaux réacteurs nucléaires est une drôle de façon de mettre en place la transition énergétique !
Surtout que notre fameux EPR de Flamanville (connu uniquement pour son coût pharaonique à montant exponentiel, pour l'instant...) devrait largement suffire à faire le tampon si nous avions à arrêter une ou deux centrales "usées".
Alors retrousse-toi les manches et mets les moyens pour que notre pays avance de façon significative sur les énergies renouvelables ; les générations suivantes d'en remercieront.
Ta fierté devrait t'aider à ne pas supporter d'être la marionnette d'Areva et d'EDF.

Paul de Haut.

O2/01/15
Y'a écolo et écolo...

Précisons les choses concernant les écolos : on risque fort de faire la différence maintenant entre les "écolâtres" d'EELV (les verts-pastèques, vert à l’extérieur, rouges à l’intérieur) et ceux qui s'inscrivent simplement dans le respect de leur environnement et des générations à venir.
Disons qu'il s'agit du même distingo qu'entre les islamistes et les musulmans.

R.J

22/07/14
EDF-OA se vante de ce qu'une grande enquête de satisfaction menée en fin d’année 2013 auprès de 15 000 producteurs photovoltaïques leur attribue une note de 7,5/10 à la question : « êtes-vous satisfait d’EDF OA ? ».
On ne doit vraiment pas avoir affaire au même organisme !
Pour moi, et quelques collègues producteurs PV, notre ressenti est loin du compte :
- Relance pour des factures déjà réglées,
- délai de plus d'un mois et demi pour nous payer notre production,
- numéro surtaxé pour les joindre,
- renvoi de dossiers injustifiés,
- délai de plusieurs mois avant de raccorder une installation opérationnelle,
- ne répond pas aux mails envoyés par le site...
Franchement pas de quoi être satisfait.

P.T

11/06/14
Les Verts n’ont pas le bon logiciel

L'écologie punitive menace nos libertés et crée du chômage sans mettre fin aux problèmes environnementaux. Sous prétexte d’écologie, les contribuables en ont assez de la dictature des écologistes !
C’est si beau de sauver la planète avec l’argent des autres : les profiteurs du développement durable ont trouvé les bons filons pour s’enrichir sur le dos des Français. Un Ministère de l’Ecologie, une « politique de transition énergétique » à grands renforts d’éoliennes… ça coûte cher !
La fiscalité écologique : c’est l’enfer vert. La défense de l’environnement est utilisée comme prétexte pour remplir les caisses d’un Etat en déficit chronique. Résultat : encore et toujours des taxes pour les ménages déjà criblés d’impôts.
L’écologie est une trop belle cause pour qu’on la laisse à des spécialistes de l’arnaque, surtout quand c’est nous qui payons l’ardoise !

C.A

25/12/13
Ecologie politique en question.

Qui me suit connaît maintenant ma fibre éco-citoyenne.
Mes différentes publications tant sous forme d'articles que d'ouvrages sur le sujet, mes modes de vie même, en attestent s'il le fallait.
A l'aube de cette nouvelle année, je continue cependant à ne pas me reconnaître dans l'écologie politique, tant locale que nationale.
Celle-ci se veut, sous la plume de Bernard Paquaux (Allant-Vert N°54) :
" - Une écologie positive, et non une écologie punitive et donneuse de leçons...
- Une écologie qui suscite plus de désir que de crainte...
- Une écologie qui affirme sa différence, sa créativité et assume de vouloir transformer le réel... - Une écologie qui crée, qui fait, qui construit, pas une écologie du commentaire moralisateur..." [fin de citation]
Nous sommes malheureusement trop nombreux à ne pas avoir constaté dans les faits l'application de ces déclarations d'intentions.
Plus, ce mouvement et sa nébuleuse associative présentent la fâcheuse tendance à vivre en circuit fermé avec une énorme difficulté à "intégrer" ou prendre en compte les différences...
Je reste donc à penser que l'écologie de la vie réelle, ici et maintenant, est à construire à l'intérieur des formations politiques qui se partagent l'exécutif, (qu'on le veuille ou non) et pas en plus d'elles.
Sans vouloir faire de prophétie, les très prochaines échéances électorales certifieront durablement cette analyse.

Paul de Haut

21/12/13
Messieurs et Mesdames les écologistes.

On regrette de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer votre génération qui s’imagine avoir tout inventé, tout comprendre et tout savoir et qui pourtant ne sait pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, n’a jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées ou d'autre encyclopédie que Facebook... mais qui croit tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance intégriste !
En effet, bien avant que l'écologie soit inventée :
- on retournait nos bouteilles de verre consignées au magasin, qui les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau...
- on montait les escaliers à pied, sans avoir recours à des escaliers roulants et aux ascenseurs...
- on ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer dans son quartier...
- on ne connaissait pas les couches jetables et figurez-vous qu'on lavait les couches des bébés...
- on faisait sécher les vêtements dehors sur un fil...
- on avait un réveil qu'on remontait le soir...
- dans la cuisine, on prenait le temps de préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques pour tout préparer sans effort et qui consomment des Watts autant qu'EDF en produit...
- quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles polystyrène, en plastique ou même en maïs soufflé...
- on n'avait pas de tondeuses autoportées pour tondre le gazon...
- on travaillait physiquement sans avoir à fréquenter les club de gym...
- on buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif, sans avoir recours à des bouteilles en plastique...
- on remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo...
- on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations...
- on prenait le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme taxi 24 H sur 24...
- les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient et se repassaient entre frères et soeurs...
- on avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.

X.C

17/10/13
réforme de la législation sur le commerce des semences

Madame, Monsieur la (le) Député,
Par la présente, je vous demande expressément de mettre tout en oeuvre - dans le cadre de votre mandat - pour que les semences anciennes, patrimoine de l'humanité, puissent continuer à exister, être cultivées, échangées et commercialisées librement.
Leur place n'est pas dans un conservatoire-musée mais dans nos champs, nos potagers, nos assiettes. Il en va de notre avenir à tous et votre responsabilité est grande, au moment où les lobbies des semenciers sont sur le point de faire privatiser ce patrimoine mondial, par la commission européenne.

Paul de Haut

01/03/13
Bravo pour ce résultat, il ne pouvait en être autrement, même si le résultat de certains jugements sont parfois étonnants.
Avant-hier encore, nous avons été démarchés par le "Groupe Solaire de France", inutile de vous dire que nous avons dit à la prospecteuse que suite à cette action contre le forum, si nous avions à nous équiper, nous ne le ferions certainement pas avec eux.
Elle en était toute remuée...
Je ne peux que vous inviter à en faire autant.

E.C

31/03/13
Par ordonnance de référé en date du 29/03/2013 le syndicat des installateurs du photovoltaïque résidentiel (SIPR) a été débouté de ses demandes dirigées à l'encontre du Forum Photovoltaïque.
Le syndicat avait demandé :
- le retrait des messages litigieux avec astreinte de 500 euros par jour de retard,
- 1 euro pour préjudice,
- 3500 euros pour le syndicat SIPR,
- 205 euros de frais d'huissier.
Nous nous réjouissons de cette décision de justice
.
F.V

20/03/13
Le SPPR fait pression sur les forums photovoltaïques

Le Syndicat des installateurs photovoltaïques du résidentiel ou SIPR (réunissant 5 adhérents) - récemment formé et dont le président est également PDG de "Groupe Solaire de France" - a récemment décidé d'attaquer en justice des forums Internet pour des propos qu'il juge diffamatoires, alors qu'ils reflètent parfaitement les pratiques utilisées par ses commerciaux (harcellement téléphonique, abus de faiblesse, présentation non réelle des opportunités et productions...)
Rappelons que "Groupe Solaire de France" est une société à but lucratif dont l'objectif principal est de gagner de l'argent et que cette tentative de museler les forums n'aboutira qu'à l'effet contraire. Il aurait été éminamment plus simple et efficace de changer des méthodes de prospection commerciales discutables.

C.G

18/03/13
La pertinence économique du mix énergétique

On peut être pour ou contre le mix énergétique, les éoliennes, le photovoltaïque ou même le nucléaire ; c'est une affaire devenue presque idéologique ou même confessionnelle.
Personnellement je trouve un peu dommage cet amalgame mal réalisé entre science et conscience, surtout lorsqu'il est contre-productif en terme de progrès pour tous, mais cela n'engage que moi.
Je tiens juste à aborder ici la seule réalité ECONOMIQUE de notre mix énergétique - actuel et à venir - en me basant sur les expertises INDEPENDANTES (des différents lobbies) et en épluchant les rapports de la Cour des Comptes :
1) - Le prix de l'électricité nucléaire payé actuellement par l'abonné n'a rien à voir avec son coût de production réel (entre 50 et 58 centimes d'€ du kWh) dont la différence est supportée par le contribuable, après que les installations aient été financées... par nos parents avant d'être offertes au privé.
La même Cour établit que compte tenu des coûts pharaoniques de la nouvelle génération de centrales nucléaires EPR (dans le cas précis de Flamanville - 8,5 au lieu des 3,3 milliards d’euros prévus - il s'agit déjà d'un surcoût non définitif de 5 milliards d'euros !), le prix de revient du kWh produit est prévu aux alentours de 90 centimes d'€.
Lorsqu'on sait que les tarifs de rachat du kWh produit alternativement sont respectivement de 8,18 c€/kWh pour l'éolien et selon les puissances installées de 8,18 c€/kWh, 17,27 c€/kWh, 18,17 c€/kWh et 31,59 c€/kWh en résidentiel (valeur mars 2013), pour le photovoltaïque, tout est dit sur l'intérêt économique de ces filières.
2) - J'ajouterais pour faire bon poids qu'il faut prendre un autre paramètre important en compte pour cette comparaison économique : combien reste-t-il au bout du réseau résidentiel de l'électricité produite par une centrale alimentant en THT le réseau primaire de distribution ? Autrement dit, quelle est la perte en ligne jusqu'à notre compteur domestique ?
Les études techniques (même si EDF reste très secret sur ce point) avancent une perte d'environ 2,5 selon la longueur et la structure du réseau.
Cela signifie qu'il faut produire 2,5 kWh pour facturer 1 kWh à l'abonné !
A l'inverse, une petite centrale photovoltaïque ou éolienne injectera l'électricité produite directement au niveau du réseau basse tension (ce sont ses voisins immédiats qui consomment cette électricité) ou en Moyenne tension pour de plus grosses installations. 3) - Sans abuser de votre intérêt, il faut également savoir que les frais de raccordement de ces installations au réseau sont facturées par ERDF bien au dessus de leur réel prix de revient aux producteurs "d'énergie verte", auxquels ils font donc supporter une partie du renforcement, de la modernisation et de l'entretien des réseaux.
A tel enseigne que la CRE recommande de limiter la contribution au titre de la quote-part "aux seuls ouvrages créés dans le domaine de tension de raccordement de référence de l'installation de production"... et que l'association Hespul : "il n'existe à ce jour aucune mutualisation équivalente des ouvrages sur le réseau de distribution. Ainsi, des devis de raccordement d'installations supérieures à 36 kVA peuvent contenir (en plus de la quote-part) la création d'un poste de distribution, à leur frais, sans mutualisation".
Conclusion :
Au delà de tout autre critère (sécurité, impact écologique... que je suis près à aborder, si nécessaire) l'éolien et le photovoltaïque sont une source d’approvisionnement d'électricité plus économique que le nucléaire, tant pour le citoyen/consommateur/contribuable que même pour EDF.
La meilleure preuve : aussi bien EDF/EN que GDF/Suez rachètent à tour de bras dans toute l'Europe les centrales de production d'électricité éolienne et photovoltaïques tout en faisant un démarchage effréné auprès de nous pour installer du photovoltaïque sur nos toits
.
Paul de Haut.

08/02/13
Risques nucléaires...
Un accident similaire la catastrophe de Fukushima au Japon pourrait coûter à la France quelque 430 milliards d'euros, soit l'équivalent de 20 % de son PIB, selon une étude de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Environ 100.000 personnes pourraient être déplacées en cas d'accident majeur sur l'un des 58 réacteurs français et de contamination radioactive de l'environnement, entraînant une destruction des cultures et des coupures massives de courant.
Un accident aurait aussi un impact sur les exportations françaises et sur le tourisme, le plus important au monde en nombre de visiteurs. On peut même avancer que les coûts d'image seraient considérables, aussi élevés que les coûts radiologiques...
Alors que les anti-éoliens et autres anti-photovoltaïques profitent bien de cette période bénie d'"avant-accident" qui aura forcément une fin, un jour pas fait comme les autres...

E.A

26/01/13
Eau vitale...
Pourquoi ne pas revoir notre système de facturation de l'eau sur le principe que les 25 premiers m3, considérés comme vitaux, seraient gratuits et qu'ensuite le tarif deviendrait progressif en fonction de la consommation ?
Quel meilleur moyen de mettre dans les actes l'accès pour tous à un bien de nécessité primaire tout en sensibilisant les usagers à ne pas le gaspiller.
Toutes les communes qui ont gardé la maîtrise de ce secteur peuvent mettre en place ce système qui au final, ne déséquilibrera en rien leurs comptes de régie.
Plusieurs villes ou collectivités intercommunales ont adopté ce principe à la satisfaction générale, alors qu'attendons-nous pour le généraliser ?

P.H

26/11/12
Difficile de parler d'un projet lorsqu'il est étranger à sa région, et que l'on connaît mal son histoire, les tenants et les aboutissants. Je me contenterai donc de réagir de façon plus générale : la grande mode est de raser et reconstruire "plus grand, plus beau, plus fonctionnel" et cette approche ne me convient pas, ni économiquement, ni écologiquement, ni même en terme de préservation du patrimoine bâti...
L'aménagement vers une amélioration fonctionnelle de l'aéroport actuel, n'est-il pas en ce sens la meilleure des options.
Les grands travaux, doivent être vecteurs d'investissements dont profiteront les générations futures, tout en faisant travailler celles d'aujourd'hui, mais justement - dans l'oil d'une crise si puissante - il conviendrait que ces investissements aient un sens et une utilité future avérée, ce qui ne semble pas être le cas selon beaucoup d'élus locaux de toute obédience politique.
A l'heure où l'on crée de plus en plus de conservatoires ou parcs protégeant la biodiversité, il n'est pas très logique de s'engager dans un projet ayant un tel impact sur le milieu, ses traditions et le maintien d'activités ancestrales...
Enfin, le tandem Ayrault-Hollande serait très mal inspiré à marquer au fer rouge son exercice du pouvoir, avec un nouveau Larzac et cela bien au delà des enjeux du maintien dans la majorité présidentielle des écolos
.
Paul de Haut.

26/07/12
Les semences de variétés traditionnelles ne peuvent plus être commercialisées

La Cour de Justice de l'Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l'interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel européen. Pourtant, il suffirait d'inclure ces variétés anciennes au catalogue officiel (ce qui a un coût élevér) pour les commercialiser en toute légalité. Mais elles se retrouvent dans le domaine public et après 20 ans, si personne ne les a réinscrit au catalogue, elles en sortent. A cause de cette réglementation, il y a déjà plus de 80 % de la biodiversité qui a disparu...
Mais il ne suffit pas de payer pour inscrire une semence au catalogue officiel, il faut aussi que l'espèce réponde aux critères de Distinction, Homogénéité, Stabilité (DHS). Ces critères sont discriminants puisqu'ils impliquent que les semences soient… très peu variées. Seules des variétés hybrides F1 ou des variétés lignées, quasi cloniques, répondent ces critères, qui ont été établis dans le seul but d'augmenter la productivité selon des pratiques industrielles.
Malgré un assouplissement de ces critères pour les variétés dites de conservation, ceux-ci restent inadaptés pour les variétés traditionnelles.
Cette Europe-l ne nous convient pas et n'aidera certainement pas à ce que les citoyens éco-responsables aient envie de la défendre.

E.P

17/07/12
Les tarifs de rachat de l'électricité photovoltaïque poursuivent leur baisse : la CRE vient de publier sa délibération sur les nouveaux tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque pour la période comprise entre le 1er juillet et le 30 septembre 2012. Une nouvelle fois, ils sont en baisse de 4,5 % pour le résidentiel et 9,5 % pour les autres bâtiments. Un peu étonnant lorsque l'on annonce en même temps une augmentation de 50 % de l'électricité achetée par les ménages dans un avenir proche.
La transition énergétique n'est que promesse parmi tant d'autres, sans réels moyens mis en face...
En attendant, qui va vouloir investir dans la production photovoltaïque dans ces conditions ?

P.H

01/03/12
Plus de pesticides dans l'eau !

En février 2011, le ministère de la Santé a décidé en catimini de multiplier par 5 la concentration maximale autorisée pour les pesticides dans l'eau du robinet.
C'est l'association Générations Futures (ONG spécialisée dans la question des pesticides) qui a levé le lièvre le 7 février 2012, dans une indifférence médiatique totale.
Depuis 1998, un avis du CSHPF (Conseil Supérieur d'Hygiène Publique de France) tenait lieu de réglementation. Dans une transposition approximative de la directive européenne 98/83, le CSHPF avait en effet décidé que l'eau ne devait "pas être utilisée, ni pour la boisson, ni pour la préparation des aliments" si un pesticide s'y trouvait à une quantité supérieure à 20 % d'une "valeur sanitaire maximale" (VMax, définie par l'OMS). Une interprétation qui dépassait déjà largement les normes européennes.
La "nouveauté", c'est qu'en février 2011, une instruction de la Direction Générale de la Santé (DGS, dépendant du ministère de la Santé), passée totalement inaperçue jusque là, a décidé de porter les "seuils de potabilité" à 100 % de la VMax. Soit une multiplication par 5 des seuils en vigueur.
"Autrement dit : on va tolérer dans de très nombreuses localités des quantités de pesticides dans l'eau 5 fois plus importantes qu'avant décembre 2010 !" déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. "Ainsi pour un pesticide comme le "Folpet", pourtant classé cancérigène probable aux Etats-Unis, on va maintenant tolérer jusqu'à 300 µg/l pendant plus d'un mois alors qu'auparavant on ne pouvait dépasser les 60 µg/l pendant la même durée !"
Autre conséquence de cette nouvelle mesure sanitaire : la baisse artificielle du nombre de personnes concernées par une présence excessive de pesticides nécessitant une restriction d'utilisation de l'eau. On est ainsi passé de 34 300 personnes touchées par ces restrictions en 2009 à une estimation de 8 939, selon les chiffres du ministère !
"Cette amélioration en trompe l'oeil n'est due qu'à une manipulation des valeurs de pesticides acceptées dans l'eau et pas à une véritable amélioration de la situation" proteste François Veillerette qui voit là "la preuve que les autorités publiques ont renoncé à améliorer la situation en changeant les pratiques agricoles en profondeur mais préfèrent changer les graduations du thermomètre que de faire vraiment baisser la fièvre !"...
Et bientôt, il suffira d'arroser son jardin pour le désherber...

G.F

12/02/12
J'ai revu avec intérêt les interventions de l'astrophysicien et écologiste franco-québécois Hubert Reeves dont j'apprécie la clairvoyance scientifique et l'empathie responsable. On a jamais tant parlé de bio diversité, en oubliant finalement les menaces qui pèsent sur une espèce qui devrait nous intéresser prioritairement : la nôtre.
E.A

22/10/11
Petites réflexions sur le diaporama, « l'imposture éolienne »

Un diaporama très largement diffusé (je l'ai reçu plusieurs fois en quelques mois), tente de régler son compte à la filière éolienne.
On se doute de sa provenance et des intérêts sous-jacents.
J'ai souhaité répondre point par point à chacune des diapos.
A chacun ensuite de se faire une idée.
- Les fondations
Effectivement les fondations sont imposantes de l'ordre de 400 à 500 m3 de béton armé, pour une éolienne moderne (2 MW soit 2000 kiloWatt). En prenant en compte la densité du béton (environ 2,6) et avec une moyenne de 450 m3 cela pèse 1170 tonnes, mais est-ce vraiment gênant ? En cas de démantèlement, la fondation restera certainement en terre après la fin d'exploitation, mais c'est un matériau inerte, et on peut facilement la recouvrir de terre ou s'en servir pour autre chose.
- La durée de vie
Présentée comme ayant un usage de 15 ans, une éolienne correctement entretenue produit pendant 20 ans et souvent au delà. Pour relativiser sa durée de vie, une éolienne tourne environ 2.500 heures par an (équivalent plein régime) soit 50.000 heures en 20 ans. En comparaison une voiture qui parcoure 200.000 km dans sa vie à 60 km/h de moyenne aura finalement servi que 3.333 heures.
Au cours de leur vie :
> l'éolienne ne pollue pas et produit de l'énergie « propre »,
> la voiture pollue et consomme de l'énergie d'origine fossile.
- Le démantèlement
Il est présenté comme étant à la charge du propriétaire du terrain, ce n'est évidemment pas le cas dans les contrats que nous avons pu consulter. Les modalités du démantèlement sont prévues dans le bail et si ce n'est pas le cas, la loi garantit le contractant contre cette éventuelle clause.
[Article L553-3 modifié par Loi n°2005-781 du 13 juillet 2005 - art. 40 JORF 14 juillet 2005]
« L'exploitant d'une installation produisant de l'électricité à partir de l'énergie mécanique du vent est responsable de son démantèlement et de la remise en état du site à la fin de l'exploitation. Au cours de celle-ci, il constitue les garanties financières nécessaires. Pour les installations situées sur le domaine public maritime, ces garanties financières sont constituées dès le début de leur construction. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions de constitution des garanties financières. »
- La hauteur
Dans l'éolien on parle de la hauteur au moyeu, soit pour les machines actuelles de 80 à 100 mètres. Dans leur façon de présenter les choses, les anti-éoliens parlent de la hauteur en bout de pale donc en général 150 m, ce qui n'est pas tout à fait la même chose.
Généralement, le diamètre du rotor est à peu près égal à la hauteur du pylône.
- Les éoliennes ne produiraient qu'un jour sur 4
Si le vent est effectivement une source d'énergie intermittente, il faut considérer son énergie comme faisant partie d'un « mix alternatif » et non pas comme l'unique réponse aux besoins énergétiques.
Pour revenir à du concret : si une éolienne démarre sa production (faible à cette vitesse) vers 2,5 m/s ; elle va atteindre sa puissance nominale vers 8 m/s et se mettra en sécurité vers 25 m/s.
Si l'on calcule sa moyenne de production à pleine puissance, on tombe effectivement approximativement à 1 jour sur 4, mais en réalité, une éolienne tourne beaucoup plus souvent et tout cela dépend des régions.
- L'éolien fournirait une énergie coûteuse.
Le dernier rapport de la Cour des Comptes établit que le coût réel du kiloWatt/heure nucléaire, s'établit entre 50 et 58 centimes si l'on intègre la recherche, ce qui est évidemment beaucoup plus cher que le prix facturé par EDF en France où le prix de l'électricité est fixé par l'Etat.
Le rapport confirme que ce prix ne couvre pas les coûts réels du nucléaire.
En outre, si, comme le souhaitent EDF et le gouvernement, on renouvelle le parc nucléaire avec des réacteurs du type EPR, les magistrats estiment que cela va presque doubler le prix de l'électricité en France, pour atteindre jusqu'à 90 centimes le prix du kWh, un coût très largement supérieur à l'électricité éolienne aujourd'hui et solaire d'ici cinq ans.
- La France serait en surproduction d'électricité.
Même si la France est globalement exportatrice d'électricité, ce qui est vrai en saison intermédiaire ne l'est plus en cas de froid intense en hiver ou de canicule en été.
ERDF se met alors à importer de l'électricité des pays voisins et sans même s'intéresser à la façon dont cette électricité est produite, elle lui est facturée très au-delà des prix moyens européens (la fameuse loi de l'offre et de la demande).
- En Allemagne 20.000 éoliennes ne couvriraient que 5 % de la consommation.
L'état allemand a été un des premiers à s'équiper d'éoliennes, et donc au départ, avec des petites machines ; cela explique ce rapport nombre/ puissance qui semble peu intéressant.
Les éoliennes installées actuellement font au moins 2 MW, ce qui n'a plus rien à voir.
- L'énergie éolienne obligerait à la construction de centrales thermiques supplémentaires. C'est faux ! EDF est ravie de pouvoir arrêter ses centrales thermiques à la production très coûteuse lorsque les éoliennes produisent !
Il faut savoir que dans le « mix énergétique » les énergies d'ajustement sont l'hydroélectricité et le thermique, puisque les centrales nucléaires ne présentent pas la réactivité nécessaire (une semaine à démarrer et quelques jours à s'arrêter).
RTE estime d'ailleurs que malgré l'intermittence de sa production, le parc éolien participe à l'équilibre offre demande. et que 20.000 MW d'éoliennes est équivalent à 4.000 MW de moyens de production thermique (extrait de http://www.rte-france.com/uploads/media/pdf_zip/presse/DP_RTE_eolien_photovoltai_301109.pdf).
- Le prix de rachat de l'électricité éolienne serait scandaleux et immoral !
Reportons-nous une fois de plus au rapport de la Cour des Comptes : si le coût réel s'établit entre 50 et 58 centimes d'euro le kWh, le prix consenti par EDF pour le rachat de l'électricité d'origine éolienne ou même photovoltaïque est avant tout une très bonne affaire pour eux ainsi que pour l'Etat.
- Quelles nuisances ?
visuelles : s'il ne faut évidemment pas en mettre à proximité des habitation et des centres historiques, quiconque accepte les lignes haute tension avec leurs énormes pylônes aura du mal à nous faire croire que les éoliennes polluent plus les paysages.
sonores : l'éventuelle gêne sonore découle directement du bon emplacement de ces moulins modernes ; si on la compare à ce que supportent les riverains de la plupart des axes routiers ou ferroviaires, ou aériens. il est difficile de trouver bruyante une éolienne.
- Impact sur le prix de l'immobilier
En toute logique, un bien immobilier, situé dans une zone qui subit des nuisances est moins coté qu'un autre, mieux placé ; de même qu'une propriété en zone inondable, par exemple.
Cependant, les installations éoliennes payant aux communes qui les accueillent des redevances importantes (au même titre que les centrales nucléaires d'ailleurs), on peut raisonnablement estimer que les impôts locaux y seront moins élevés, alors.
- Impact sur le tourisme
C'est faux, les parcs éoliens excitent plus la curiosité des touristes que les centrales nucléaires ou thermiques.
- L'absence de retombées locales
Nous l'avons vu, c'est faux puisque entre les redevances et taxes engrangées par les communes, si leurs maires étaient certains que les projets d'installation de parcs éoliens sur leur territoire ne mettraient pas en émoi la population, ils ne demanderaient pas mieux ! De plus, en dehors de la construction, on évalue à 2 techniciens de maintenance pour 10 éoliennes en terme de création d'emploi local.
- L'impact sur l'effet de serre
La construction d'une éolienne, demande comme tout autre générateur électrique des matières premières et de l'énergie ; ensuite, son transport, son installation et son démantèlement va peser aussi sur l'environnement (énergie grise).
Par contre, une fois en route, une éolienne ne crée plus de GES pendant la vingtaine d'année de sa production.
Si l'on compare tout cela avec les autres procédés de production électrique dont les méfaits et les risques liés à la filière nucléaire et la pollution constante des centrales thermiques, il n'y a pas photo.
- Les investisseurs seraient des méchants...
Et la guerre c'est moche, et la maladie, pénible.
C'est plus simple que cela, les sociétés qui investissent dans l'éolien français, sont des entreprises françaises ou étrangères qui pensent que c'est rentable, exactement comme votre boulanger, ou votre coiffeur.
Dans certains cas, ce sont même des sociétaires propriétaires qui les exploitent ; ils ont tout compris et sont à la meilleure place pour tout contrôler ; qu'attendez-vous pour investir à votre tour dans l'éolien ?

Paul de Haut

09/03/10
Il y a les régions qui bla-blattent et celles qui agissent.
Pour preuve : la Région Midi-Pyrénées a voté, lors de sa Commission Permanente du 4 mars, le lancement d'un appel à propositions concernant l'installation et l'exploitation de 300 000 m2 de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments des lycées de la région.
Je ne sais même pas de quel bord ils sont et je m'en fiche.
S'il y a bien un endroit où ce type d'installation mérite d'être réalisée, c'est bien l, plutôt que sur des terres cultivables ou occupées par une biodiversité végétale et animale !
On ne sortira jamais du nucléaire si on ne met pas en route les alternatives énergétiques durables.
Ayant scruté les programmes de nos listes des régionales en Bourgogne, je n'y ai trouvé aucune proposition de ce type.
Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres et j'ajouterai de façon un peu désabusée que si l'on faisait tourner des moulins avec tout cet air brassé pour n'aboutir à rien, il y aurait de quoi moudre du grain pour longtemps !

Paul de Haut

09/02/10
Suite à la visualisation des clips réalisés pour le compte d'Europe-Ecologie par Bio-France Télévision, je suis consternée de voir que malgré toutes les alertes environnementales, l'urgence et la gravité des problèmes, l'écologie est encore une fois l'otage d'un affrontement politique. Quand va-t-on enfin comprendre que c'est le problème de tous, droite et gauche unies ?
Je trouve ces modules consternants, caricaturaux ce qui serait pardonnable s'ils étaient drôles.
Ça sent les régionales.et pas du meilleur parfum !

L.R

06/01/10
Communiqué Europe Ecologie Bourgogne

La taxe carbonisée !
Le 29 décembre dernier le conseil Constitutionnel a enjoint le gouvernement revoir sa copie pour la mise en place de la taxe carbone. Le principe d'une fiscalité écologique n'est pas remis en cause. Le Conseil fonde sa décision sur la "rupture de l'égalité devant l'impôt" que créerait le nouveau dispositif et reprend les arguments des écologistes : nous dénoncions, lors de l'annonce de ses modalités de mise en oeuvre, une mesure injuste et inefficace. La loi accordait en effet de trop nombreuses dérogations. Ces ristournes auraient conduit exonérer 93 % des émissions d'origine industrielle et ne pas soumettre la moitié des émissions de gaz effet de serre la contribution carbone.
L'action contre le changement climatique est l'affaire de tous. Les citoyens consentent à changer leurs comportements à condition que tout le monde s'y mette, commencer par les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre. Mais l'écologie à la mode Sarkozy n'a pas grand-chose voir ni avec la justice sociale ni avec l'efficacité. Elle relève plutôt de la gesticulation, des effets de manche et des cadeaux faits aux lobbies les plus influents tel EDF qui a obtenu l'exonération de l'électricité nucléaire. " L'écologie " côté PS, si l'on reprend les déclarations de Ségolène Royal ou de Martine Aubry a, elle, plus voir avec la démagogie pré-électorale en remettant en cause le principe même d'une contribution climat-énergie.
Malgré l'échec du sommet de Copenhague, il ne faut pas baisser les bras. Europe Ecologie continuera à militer pour un accord international ambitieux de réduction des gaz effet de serre, pour des mesures françaises et européennes volontaristes et exemplaires. C'est notre responsabilité.
Nous demandons que la nouvelle version de la contribution climat-énergie :
- n'exonère aucune source d'énergie non renouvelable en particulier le nucléaire ;
- n'exempte aucune industrie polluante ;
- revienne un niveau de taxation plus incitatif ;
- dégage des ressources pour corriger ses effets sociaux pervers, en redistribuant son produit aux plus bas revenus, et permette la mise en place de politiques écologiques (transports collectifs, isolation thermique, etc…).

Wilfrid SEJEAU

01/01/10
En cette fin d'année 2009, le Conseil Constitutionnel a retoqué le projet de loi Fillion sur l'instauration de la taxe carbone qui devait entrer en vigueur le 1er janvier 2010.
En la forme, les sages de la République en furent bien avisés, et je vais m'en expliquer plus loin !
Pour commencer, bien qu'étant plutôt de nature anti-taxe, je soutiens pourtant le principe de cette "taxe carbone" qui, si elle n'est pas la panacée, présente l'avantage de responsabiliser chacun à son niveau dans son usage de l'énergie, ses modes de consommation et son impact sur l'environnement et le climat.
Bien entendu c'est triste de devoir en passer par le principe coercitif de la taxation pour arriver à une sensibilisation suffisante se traduisant dans les faits, mais l'Homme fonctionne malheureusement ainsi...
Quelques exemples parmi tant d'autres : nous sommes prêts à faire la queue dans les stations services affichant leur carburant 1 ou 2 centimes de moins, ou à nous précipiter dans les chaînes discount pour rabioter quelques euros sur le prix d'un caddie.
à côté de cela, lorsqu'on nous parle de remplacer nos ampoules par des modèles à Leds, qui durent consomment 11 fois moins, et dure 30 fois plus (avec donc des économies importantes chaque année), on ne se sent pas concerné en estimant que CELA COUTE TROP CHER...
C'est donc bien que le consommateur moyen a le sentiment que le carburant et la nourriture coûtent cher, mais pas l'électricité.
Avec ce type d'argument, me direz-vous, pourquoi vous réjouissez-vous de l'avortement constitutionnel de la Loi Carbone ?
Une taxe digne de ce nom ne peut être légitimée qu'à deux conditions :
- être efficace,
- être juste.
Or en la matière, ni l'une, ni l'autre de ces conditions n'est réunie, le texte allant même jusqu'à conjuguer étroitement inéfficacité et injustice.
En effet, les plus pollueurs y échapperont grâce à tout un arsenal d'exceptions à justification économico-sociale (compétivité industrielle et commerciale, emplois...)
De même, les particuliers bénéficiaires du chèque vert de compensation pourront en faire ce qu'ils veulent, alors que son réemploi sur des petits ou gros investissements visant à économiser l'énergie et diminuer l'émission de CO2 aurait été un minimum d'exigence d'attribution.
Vive donc l'avortement de la taxe Carbone 2009, et meilleurs voeux pour une version 2010 plus conforme à nos attentes d'éco-citoyens.

Paul de Haut

15/12/09
Le sommet de Copenhague voit se déployer la vigueur militante et agissante de notre communauté écologiste.
J'aimerais que ces forces vives fassent du lobying et s'opposent contre les syndicats lorsqu'ils privent de la possibilité de se déplacer des éco-citoyens ayant fait le choix des transports collectifs !
Comment voulez-vous convaincre le plus grand nombre de lâcher sa voiture, dans ces conditions.
A part les BoBos, et quelques autres privilégiés, qui peut se permettre de mettre son emploi en péril, et assumer des galères au gré des avantages et revendications des salariés des transports en commun ?
J'ajoute que mes moyens ne me permettent pas non plus d'aller faire le zouave vert pendant 10 jours au pays de de la petite sirène.

Rachid D.

24/11/09
Je dois moi-même avouer que j'ai quelquefois du mal à me situer dans cette période particulière :
- Écologie : nous sommes censés être tous conscients du mal fait à notre Terre et des enjeux à venir. Nous prenons de grandes leçons de nos politiques, mais... il faudrait s'équiper de méthodes de chauffage ou éclairage à développement durable. Quelles aides? => des crédits d'impôt sur le matériel seulement... mais faites faire un devis, déduisez vos aides et regardez sur combien d'années vous allez rentabiliser votre investissement (je parle pour le commun des mortels qui a des revenus moyens) !
L'écoprêt à taux zéro ? Oui, bien sûr mais vous devez effectuer un bouquet de travaux entrant dans ce cadre (c'est-à-dire au moins 2 actions différentes)... Quel budget !
Cela dit, il ne faut pas vouloir tout et son contraire : militer contre une décharge, OK, mais contre des éoliennes situées en plein bois par exemple ?
Crise : Comment voulez-vous que chacun ne cherche pas que sa sauvegarde individuelle en cette période troublée, si, comme vous venez de le décrire, même nos représentants se moquent du bien-être de la population qu'ils sont censés défendre, l'enjeu financier prenant le dessus ?
Le résultat: individualisme, manque d'altruisme, méfiance, défiance même... et j'en passe !
Quelle belle époque !

M-D. R

23/11/09
Les Assises de l'énergie de la Nièvre

Je reviens des "Assises de l'Energie" organisées ce samedi à la Ferme du Marault de Magny-Cours.
Il faut savoir que ces "Assises" clôturaient tout un travail d'enquête auprès de la population, de rencontres et de réflexions entamé par une équipe motivée du SIEEN sur les thèmes de la "mobilité", de "l'énergie dans le bâtiment" et des "énergies renouvelables".
J'avais moi-même participé à un des ateliers préparatoires de Prémery.
L'initiative était bonne, et sa réalisation aboutissait à réunir ce que la Nièvre et même au-delà comptait d'individus, d'associations, de professionnels et d'élus les plus concernés par ces sujets.
Un petit salon servait de prélude à cet évènement.
Tout allait donc pour le mieux jusqu'à ce que le Président du Conseil Général de la Nièvre, que je tiens pourtant pour un honnête homme, fasse en guise d'introduction un long playdoyer pour ce foutu projet de mine de charbon à Luthenay.
Comme quoi, l'information, les débats, la menace de la taxe carbone, les exemples des conséquences sanitaires désastreuses autour des mines de Chine (et maintenant d'Allemagne) n'avaient servi rien !
Je dois avouer qu' ce moment-l, mon espoir de voir réussir ces assises s'est immédiatement assombri.
Je pensais naïvement que tous les éco-citoyens présents dans la salle allaient réagir, et faire comprendre M. Charmant, que c'était pour le moins incongru et paradoxal de continuer à défendre de telles lubbies au sein de cette assemblée.
Rien ne se passa et l'orateur fut applaudi. Je quittais donc tristement l'amphithéâtre, accablé par le constat que malgré les apparences, tant de chemin restait à parcourir.
Et vous, me direz-vous, pourquoi n'êtes-vous pas intervenu ?
J'ai bien failli le faire, mais je me suis abstenu par égard pour les organisateurs, mais las également de passer pour le trouble-fête de service.
Le lendemain, je me demande encore si j'ai fait le bon choix.

Paul de Haut

05/11/09
EDF a du mal à payer les producteurs photovoltaïques

Après les longues et pénibles péripéties administratives (plus de 10 mois...) du raccordement de mon installation de production photovoltaïque au réseau, j'envoie comme prévu ma facture annuelle à EDF-LYON (Obligation d'achat Solaire), qui gère les dossiers de la région Bourgogne.
Quelle n'est pas ma surprise, de recevoir un courrier m'indiquant que je ne peux présenter de facture puisque qu'il n'y a aucun contrat de production signé entre EDF et moi ? !
J'empoigne mon téléphone pour avoir des explications, et l'on me répond laconiquement qu'on a dû oublier d'éditer mon contrat (plus d'un an après l'injection effective de l'électricité solaire que j'ai produite).
Curieusement EDF n'a pourtant jamais omis de m'envoyer ses factures pour ma consommation électrique...
Décidémment, EDF est très loin de l'image qu'elle veut communiquer travers la publicité qui nous coûte (car c'est toujours le client qui paye) des millions d'euros.
Le fait de respecter ses clients et de faire correctement son travail serait pourtant un moyen puissant et gratuit de développer son image de marque.
N'importe quelle entreprise privée non subventionnée par les deniers publics qui fonctionnerait ainsi serait amenée mettre la clef sous la porte...

H.P

29/10/09
MEGA-DECHARGE de SAINT-ESCOBILLE : Le BRAS de FER CONTINUE

Le message de l'ADSE, association citoyenne de défense de l'environnement et de la santé est clair : « rien n'est fait et rien ne se fera à Saint-Escobille ! »
Depuis 7 ans, avec patience, constance et détermination, à l'appui de dossiers d'expertises reconnus sérieux, l'association défend tous azimuts les populations contre le projet d'implantation d'un Centre de Stockage de Déchets Ultimes (CSDU) entre Saint-Escobille et Mérobert.
Cette résistance doit se poursuivre d'autant plus que des sources bien informées, mais malheureusement officieuses viennent d'informer l'ADSE que le projet déposé n'est que l'embryon d'un "méga-pôle", destiné à accueillir des déchets, d'une superficie de 200 hectares qui serait piloté par Sita-Suez.
Après avoir déposé un recours devant le tribunal administratif pour demander l'annulation de l'arrêté préfectoral qualifiant le projet privé de Centre de Stockage de Déchets Ultimes d'intérêt général (PIG), l'ADSE et les communes concernées mobilisent une nouvelle fois les populations à l'occasion de deux enquêtes publiques :
- l'une est relative à la révision simplifiée du Plan d'Occupation des Sols de Saint-Escobille qui se déroulera jusqu'àu 5 novembre. Cette procédure imposée par le préfet (issue du PIG) consiste à obliger le conseil municipal de Saint-Escobille à supprimer le zonage agricole pour permettre à Sita d'y implanter sa décharge.
- l'autre porte sur l'institution de servitudes d'utilité publique d'isolement (bande de 200 m) en périphérie du périmètre du CSDU (représentant 35,5 ha qui s'ajoutent au 19 ha du CSDU) ; cette enquête aura lieu jusqu'àu 19 novembre.
A maintes reprises, l'ADSE a expliqué que le projet de Sita soutenu ouvertement par le représentant de l'Etat s'appuie sur des données dépassées en terme de volumes à enfouir datant de 2002. Le type de technologie présenté est archaïque : pas de tri et de valorisation matière in situ ; pas de valorisation énergétique ; transport des déchets par camions au milieu des terres agricoles fertiles de Beauce, aux confins sud-ouest du département loin des lieux de production des déchets. Plus grave encore, le CSDU serait implanté sur une zone de grande vulnérabilité hydrogéologique (fracture), en terrain très calcaire, karstique et perméable au-dessus de la nappe phréatique de Beauce, sanctuaire en eau potable à préserver à tout prix.
L'objectif du Projet d'intérêt Général et de la modification du POS de la commune qui en découle est de détourner de leur vocation initiale les terres agricoles pour implanter un complexe industriel. Les conséquences socio- économiques seraient graves et irréversibles pour le Sud-Ouest de l'Essonne.
QUELQUES CHIFFRES POUR COMPRENDRE :
Le projet d'installation du CSDU occuperait dans un 1er temps 19 ha de terres agricoles fertiles.
La servitude d'isolement de 200 m en périphérie du périmètre du futur CSDU porterait atteinte à 35,5 ha supplémentaires dont 26 ha sur la commune de Saint-Escobille et 9,5 ha sur la commune de Mérobert soit au total 35,5 ha + 19 ha = 54,5 ha.
22 exploitations seraient touchées dans un rayon de 1 km (distance fixée par plusieurs industriels agroalimentaires) impactant une superficie d'environ 3000 ha (une parcelle atteinte d'une exploitation compromet les contrats de l'ensemble de l'exploitation)
A partir de la base d'un rayon de 2 km (distance fixée par plusieurs autres industriels agroalimentaires), 30 exploitations supplémentaires seraient touchées représentant plus de 6300 ha.
Finalement, plus de 50 entreprises agricoles pourraient être menacées avec des conséquences irrémédiables sur la pérennité de leurs exploitations.
Une évolution inévitable de la zone d'exploitation et des servitudes liées générerait une amputation très importante de l'espace agricole avec un impact économique et financier considérable.
Nous pouvons facilement transposer les conséquences sur une emprise de 200 hectares !
Mais pourquoi un CSDU serait si préjudiciable à l'activité agricole (non pris en considération par SITA SUEZ et le représentant de l'Etat) ?
Aujourd'hui les entreprises agricoles travaillent avec l'industrie agroalimentaire qui doit apporter de plus en plus de garanties en terme de traçabilité aux consommateurs que nous sommes.
Ces contrats qualité exigés interviennent dans le cadre d'une certification C.S.A (charte de sécurité alimentaire). Idem pour les labels qualité.
L'une des clauses multiples des contrats de culture « qualification culture raisonnée contrôlée » concerne tout particulièrement les exploitations du secteur concerné par le projet d'installation :
- distance par rapport aux sources de pollution
Ø route à grande circulation 250 m (autoroute, route à circulation intense de véhicules polluants)
Ø décharge, incinérateur de 1 à 5 km
L'industriel Sita et le préfet interrogés sont aujourd'hui dans l'incapacité de garantir
- la sécurité sanitaire des productions alimentaires dans l'environnement du CSDU qui seront contaminées par le biogaz non capté, les poussières, les déjections des oiseaux et rats qui prolifèrent autour des CSDU.
- la commercialisation des récoltes.
Les 121 collectivités dont le Département de l'Essonne, les 17 parlementaires, les 11 organismes professionnels agricoles, les 34 associations qui s'opposent au projet au coté de l'ADSE ont compris qu'en période de crise énergétique et alimentaire mondiale, il est absolument primordial d'économiser les terres agricoles fertiles, particulièrement à proximité des grands centres urbains.
La commission d'enquête chargée de se positionner sur l'avant-projet de SDRIF (Schéma Directeur de la Région Ile de France) a écrit dans ses recommandations que « soient sanctuarisées les terres ayant une vocation agricole »
Le Schéma Directeur de la Région Ile de France, voté en septembre 2009 démontre l'importance de maintenir une agriculture de proximité aux portes de Paris. Voici un extrait de cet important document d'urbanisme parlant des pôles de l'espace rural du faisceau sud (page208) concernant particulièrement la région située entre Dourdan, Etampes et Angerville : "En matière de développement économique, ce territoire joue un rôle majeur dans l'activité agricole francilienne et l'approvisionnement alimentaire de l'agglomération centrale : il importe de valoriser les productions agricoles".
Seul l'Etat, à travers son représentant, ne semble pas avoir compris ces grands enjeux !

Permanence : Tél. : 01 69 95 31 32
Mail : adse-saintescobille@neuf.fr
Site : www.adse-saintescobille.com
Adresse : Mairie Saint-Escobille - 91410

22/10/09
Attention de ne pas glisser vers le charlatanisme !

Je vais être iconoclaste en dénonçant des pratiques qui concernent un symbole sacré de la distribution bio !
J'ai d'ailleurs parié avec ma copine que ce post ne passera ou ne restera pas sur votre page consacrée au bio !
Bon, je me lance quand même, on verra bien.
Super idée que cette chaîne de distribution de produits bio, historiquement pionnière et voulant conjuguer éthique bons produits et commerce.
J'ai moi-même été un des premiers clients et c'est vrai que c'était plutôt sympa, on était entre nous, "les élus du combat écologique", les purs, etc, etc.
Seulement, au fur et mesure de son développement, Biocoop a laissé s'installer des produits qui n'ont rien voir avec la sphère bio, en proposant dans ses rayons : des ingrédients, appareils, pierres magiques, formulations, ouvrages... qui relèvent plus de la médecine parallèle et de l'obscurantisme que de la distribution de produits sains issus de l'agriculture biologique.
Beaucoup de sympathiques gérants ou vendeurs(euses) de l'enseigne, n'hésitent d'ailleurs pas prodiguer des conseils thérapeuthiques leurs clients sans avoir étudié ni la médecine, ni la pharmacie ou même l'herboristerie !
Pour compléter le tableau, Biocoop met gratuitement la disposition du public un petit journal, qui est avant tout un énorme fourre-tout qui intercale quelques articles intéressants au milieu de publicités commerciales qui font la promotion de tous ces produits miracle, services, talismans, appareils, stages... et autre attrape-gogo sans aucun fondement scientifique et profitant de la crédulité ou du désarroi des gens.
En tant que médecin et éco-citoyen de longue date, je ne suis pas d'accord sur ce mélange des genres et attire l'attention des responsables sur les conséquences de telles dérives.

Docteur G.R.

12/09/09
NON à la taxe carbone !

Les Français croulent déjà sous les impôts directs et indirects. Les études de l'IREF (Institut de Recherches Économiques et Fiscales) ainsi que le dernier Rapport de la Cour des Comptes montrent que la France détient le record des prélèvements obligatoires au sein des pays membres de l'OCDE : l'État français confisque 54 % des richesses produites par le pays.
L'IREF se mobilise contre la taxe carbone annoncée par le gouvernement. C'est une taxe injuste, inutile et dangereuse :
- C'est une taxe injuste car elle va toucher surtout les familles les plus démunies qui subiront de plein fouet l'augmentation du prix de l'essence, du gaz et du charbon, conséquences inéluctables à l'introduction de la taxe carbone. Dans un contexte économique difficile, avec une croissance négative et une forte augmentation du chômage, cette taxe enfoncera encore plus les familles françaises dans la précarité, les obligeant à payer plus de 300 euros par an.
- C'est une taxe inutile car introduire un nouvel impôt, même élevé, n'aurait aucun effet sur le climat. La France émet à peu près les cinq millièmes des émissions mondiales de CO2 et les autres pays ne sont pas prêts à la suivre sur cette voie. Le ministre allemand de l'écologie a même parlé de l'« éco-impérialisme de la France » qui souhaite imposer un nouvel impôt à l'Europe. Qui plus est, de nombreux rapports faits par des scientifiques mettent en doute l'impact réel du CO2 sur les changements climatiques.
- La taxe carbone est dangereuse car elle va affecter les petites et moyennes entreprises, celles qui créent des emplois en France. Des dizaines de milliers d'emplois seront détruits et le taux de chômage ne cessera d'augmenter.
C'est pourquoi l'IREF se mobilise contre cette nouvelle taxe. 14, 15 ou 32 euros la tonne de CO2, c'est toujours l'argent des contribuables ! Aujourd'hui, la taxe carbone. Et demain ? Quelle autre taxe ?

C.A

01/12/08
On croit rêver !

La filière bio française a utilisé des tourteaux de soja dopés la mélamine pour nourrir ses poulets.
Le loup est vraiment entré dans la bergerie, cette fois-ci !
Lesieur et les grands trusts capitalistes n'auraient pas mieux fait !
Drôle de démarche écologique que de commander des produits venant du bout du monde (et l'énergie gise ?), dans des conditions sociales plus que douteuses, et dans un des environnements les plus pollués de la planète.
N'y avait-il pas d'autres alternatives pour nourrir les poulets bio français ?
Vive les AMAP (mais en gardant la vigilance nécessaire), et honte à la filière bio, qui a vendu son âme au dieu profit !

Jeanne B.

24/11/08
L'écotaxe poids lourds en Bretagne

Alors que les Bretons approuvent dans l'ensemble le Grenelle de l'environnement la loi qui sera présentée en deuxième lecture au Sénat le 28 novembre prochain fait peser une menace aux conséquences désastreuses, sur l'économie, les entreprises et l'emploi de la Bretagne. Sur son avenir même.
En effet, le transport routier breton sera proportionnellement plus largement touché que celui des autres régions : 12 000 kilomètres de routes sont concernés en France dont 2 000 en Bretagne ! Les simulations montrent que la Bretagne devrait contribuer à hauteur de 15 %, soit 150 millions d'euros alors que la Bretagne ne représente que 5 % du PIB national.

Gérard Gauthier

02/11/08
Aucun doute : la pire des bêtes sur la planète est bien l'être humain !
Bien que cela semble incroyable, chaque année, un massacre brutal et sanguinaire se reproduit dans les îles Feroe, qui appartiennent au Danemark, un pays supposé "civilisé", membre de l'Union Européenne. Trop peu de personnes connaissent cet événement horrible et dépourvu de sensibilité qui se répète chaque année. Ce massacre sanguinaire est le fruit de jeunes hommes qui y participent pour démontrer qu'ils ont atteint l'âge adulte (!). C'est absolument incroyable que rien ne soit fait pour que cette barbarie cesse. une barbarie contre le "calderon", un dauphin super intelligent qui a la particularité de s'approcher des gens par curiosité.

C.G

28/10/08
L'Opep envisage de réduire sa production afin de faire remonter le prix du brut... C'est le moment d'agir, ils en ont tellement profité, rebellons-nous, covoiturons, chauffons-nous au bois de nos forêts, économisons au maximum la consommation de pétrole et ils verront que si la FRANCE n'a pas de pétrole elle a encore des idées et toujours du courage.
Gringoire

05/06/08
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant. L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue à monter jusqu'àu moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons. Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES.
Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses...
Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour demain. Là, C'EST POUR AUJOURD'HUI.
Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.

O. Clerc

25/05/08
Mamère est un menteur

Encore un qui nous prend pour des abrutis ! Ce n'est pas avec des charlots pareils que les partis écologiques trouveront du crédit auprès des électeurs.


20/05/08
OGM : vote de la loi cette semaine

Plus de 40.000 personnes ont signé la pétition de la revue L'Ecologiste et de l'association OGM dangers pour demander l'interdiction des OGM, contribuant ainsi au rejet du projet de loi sur les OGM en seconde lecture à l'Assemblée nationale le 13 mai.
Le même projet de loi sera présenté mardi 20 mai devant les députés et jeudi 22 mai devant les sénateurs.
Rappelons que ce projet de loi autorise les plantes et les animaux transgéniques, contrairement à ce que souhaitent l'immense majorité des Français selon les sondages unanimes depuis dix ans.
La revue L'Ecologiste et l'association OGM dangers font donc appel à la conscience de tous les parlementaires afin qu'ils confirment le rejet de ce projet de loi.
Nous demandons au secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian de voter à l'Assemblée nationale l'interdiction des OGM dans les champs, en cohérence avec l'interdiction des OGM dans les assiettes des cantines qu'il vient de faire adopter en tant que président du Conseil général des Hauts- de-Seine.

C.G

04/02/08
La désobéissance civile en accusation !

Paris, le 4 février 2008, M. Philippe Simond - militant écologiste - fait actuellement l'objet de poursuites judiciaires pour avoir déposé, en août 2006, de vieux ordinateurs devant le syndicat de gestion des déchets de Chinon. Cette action symbolique et non violente, en présence de la presse, avait pour objectif de protester contre la non mise en place de filières spécifiques de collecte pour les déchets d'équipement électriques et électroniques conformément aux objectifs de la directive européenne du 23 janvier 2003. En effet, depuis le 1er août 2005, les particuliers devaient être informés de leur obligation de ne pas se débarrasser des équipements électriques et électroniques en leur possession avec le reste des déchets ménagers non triés, en raison de leur toxicité, et devaient avoir la possibilité de se défaire, au moins gratuitement, de ces derniers. Or, en aôut 2006, la seule option proposée à M. Simond fut la mise en décharge.
Florence Couraud, directrice du CNIID, sera entendue en tant que témoin, lors de l'audience du 4 février au tribunal de police de Chinon. La France étant, au moment des faits, en infraction avec la législation européenne, le CNIID soutient pleinement la démarche de M. Simond. De plus, il nous apparaît extrêmement préjudiciable pour la société, de « criminaliser » des citoyens, soucieux des impacts d'une mauvaise gestion des déchets pour la santé humaine et l'environnement et, qui tentent de faire évoluer ces questions avec les moyens à leur disposition. Nous espérons que le tribunal saura prendre acte des circonstances particulières qui ont motivé M. Simond à mener cette action de désobéissance civile. Nous vous tiendrons informé des suites de ce procès.

CNIID

10/01/08
J'ai découvert votre site en faisant des recherches pour un projet éducatif dans une ou plusieurs écoles/ collèges de Roumanie et j'y ai trouvé beaucoup de choses intéressantes. La Roumanie est un pays où je réside actuellement et qui est en pleine expansion économique. Il est navrant de voir que, par exemple, les emballages en plastique, qui n'étaient pas répandus il ya encore quelques années sont laissés sur le sol aux abords des "malls" qui fleurissent partout dans le pays, le long des voies de chemin de fer... Ce n'est qu'un exemple de ce que la sacro sainte croissance peut faire ! Il ya donc du boulot pour que les roumains ne détruisent pas complètement leur beau pays : ce que le communisme a commencé, le libéralisme pourrait bien l'achever ! Mais allez, je m'égare...Bon courage et encore merci !
Julien S.

08/10/07
J'habite en région parisienne, et régulièrement je fais le trajet banlieue-Paris, et inversement.
J'écoute la radio, la télévision, et j'entends bien que l'on nous recommande vivement d'utiliser de nouvelles sources d'énergie, de faire attention Aux gaz à effet de serre, au réchauffement de la planète, d'utiliser des carburants moins polluants, etc, etc.
Bref, je pense à tout cela lorsque je quitte Paris, où l'on ne peut plus circuler avec toutes les voitures, puisqu'il faut au minimum deux voitures par habitant (le métro c'est maintenant pratiquement que pour les touristes ou une catégorie de gens qui n'ont pas les moyens de se déplacer en voiture) et à part les quelques vélos qui circulent et qui entre parenthèses reçoivent tous les pots d'échappement dans la figure, l'air est saturé par toute cette pollution.
Arrivée sur le boulevard périphérique, quittant le Quai de Bercy, c'est un nuage épais de fumée qu'échappent les cheminées d'usine, et un amoncellement de voitures qui ne peuvent avancer, on fait du sur place.
Arrivée chez moi ouf, j'ai quelques arbres dans mon jardin, j'ouvre la télévision régionale et je regarde l'émission « La qualité de l'air » sur FR3, et là ! Voici ce que j'entends pratiquement tous les jours, disons neuf fois sur dix : « l'air que vous avez respiré à Paris et la région parisienne aujourd'hui est de bonne qualité ».
Cherchez l'erreur !
Les bras m'en tombent !
Mais je n'ai peut-être rien compris aux critères déterminant la qualité de l'air !

Mfl

05/04/07
Sortir enfin des chapelles vertes

1 % d'intention de vote pour Voynet (pas toujours lisible, il est vrai) alors que 60 % au moins des français sont sympathisants de l'écologie" s'explique (de mon point de vue) par le fait qu'il y a beaucoup de chapelles, de problèmes d'égo, de jalousies, alors qu'il faudrait une vraie solidarité pour faire avancer tout ce qui va dans le même sens...
Les "Verts" sont en France une machine à perdre et ils en seront redevables devant l'histoire !
Hulot a plus fait en quelques mois pour l'écologie que les "pseudo mouvements politiques représentatifs" en 30 ans.
Il n'est plus temps de faire la promotion des bouquins de l'élite écolo, qui donne les combines pour que chaque écolo se construise sa petites bulle verte, mais bien celui d'entrer dans la sensibilisation de masse.
L'écologie ne doit plus être un luxe, mais devenir partie intégrante de la vie de chacun. Travaillons-y tous ensemble !

E.P

15/02/07
Déclaration du porte-parole des verts

Le gouvernement escamote sciemment le débat sur les OGM à la veille des élections. 82 % des Français leur sont hostiles. Pourtant, la droite utilise tous les coups bas institutionnels pour donner satisfactions en catimini au semenciers.
En effet, le gouvernement n'ira pas au bout du processus de transposition de la directive européenne de 2002 relative aux risques liés à la dissémination des OGM. Pourtant, il s'apprête à publier des décrets destinés à convaincre les instances européennes que la France applique la directive de 2002, tout en donnant satisfaction aux industriels de la semence.
écrets dans une lettre datée du mois de février. Ainsi, en France, les industriels proches du gouvernement disposent d'informations avant les élus du peuple et des citoyens eux-mêmes.
étendre conjuguer principe de précaution et profits des semenciers est un mensonge pur et simple. Gouverner contre la volonté des citoyens, et qui plus est, dans leur dos, est un véritable camouflet pour notre démocratie.

Yann Wehrling

08/12/06
Je suis photographe parisien indépendant et j'aurais besoin d'effectuer un reportage à l'intérieur ou à l'exterieur des usines d'incinération ou des décharges.
Mon propos est de faire une enquête photographique sur les déchets et l'environnement en France : Déchetteries, centres de valorisations, centres d'enfouissements et bien sûr le traitement de l'eau comme axe principal.
Je serais ravi de pouvoir en discuter avec vous en vue si vous pouvez m'aider à localiser des sites intéressants à photographier ou si vous avez des contacts pour "rentrer" dans ces structures. En effet je subis refus sur refus pour photographier les incinerateurs ou déchetteries...

Sébastien

07/12/06
Nous venons d'emménager dans une maison individuelle en Ile de France. Elle comprend : chauffage bois, puits canadien, production d'électricité solaire et ballon eau chaude solaire en cours. Nous ne sommes pas fortunés mais cela est un choix.
Depuis un mois nos voisins ont commencé à faire fonctionner leur chaudière dans un bâtiment ancien (50 ans ou plus ?).
Le bâtiment n'était pas entretenu, et inoccupé. La chaudière dégage une odeur incroyable, l'air est irrespirable même par temps de vents comme en ce moment. Je ne peux pas ouvrir mes fenêtres pour aérer la maison.
Je crains aussi pour ma santé car je suis enceinte.
Je souhaiterai en parler avec mon voisin et voir avec lui ce qu'il envisage pour l'avenir. Je crains sa réaction même si je suis diplomate et non agressive.
Je souhaiterai connaître ses obligations légales en matière de pollution. Je cherche sur Internet des infos mais rien c'est la jungle. A qui je dois m'adresser pour l'inciter à cesser cette pollution. Quels sont ses droits et ses devoirs ? Quels sont mes droits face à cette situation.

Agnès

28/11/06
Les chambres consulaires et la centrale à charbon de Lucenay.

Le lecteur de ce forum, qu'il soit Nivernais ou autre habitant de la planète aura compris qu'il s'agit du projet de mine et de centrale électrique à charbon sur les communes de Lucenay/ Cossaye dans la Nièvre.
Je viens de prendre connaissance avec tristesse de l'appui des deux chambres consulaires de notre département (CM et CCI) sur le projet en cours ?!
Au vu du simple argument que les emplois créés seraient une bouffée d'oxygène pour un département particulièrement touché par le chômage, les multiples cessations d'activités des entreprises et de leur impact sur le commerce et l'artisanat, ils font corps avec les élus qui se sont déjà prononcés favorablement.
Ces mêmes chambres consulaires, pourtant pourvues d'un service environnement qui ne manque pas d'intervenir pour faire évoluer vers un meilleur respect de l'environnement, le moindre commerçant ou artisan nivernais, n'hésitent donc pas à soutenir un projet qui ne respecte ni nos engagements européens en matière de rejets de CO2, ni les précautions en matière d'impacts sur l'environnement local que les règlements en vigueur imposent à chacun de nous !
On ne devrait plus pouvoir faire n'importe quoi au seul motif qu'il y a des emplois à la clé, mais plus c'est gros, plus ça passe !
J'ai eu l'occasion d'en discuter avec certains membres de ces chambres, qui ne sont pourtant pas tous des demeurés. Leurs arguments tiennent en 2 points : "que faire d'autre pour créer des emplois ?" et , "on a du mal à se faire une idée sur l'impact environnemental de cette implantation..." (ceci dit, en se gardant bien de demander à leur propre service environnemental ce type d'étude ou de le joindre à l'argumentaire, on se doute tout de même un peu du résultat.)
Les mêmes édiles soutiendraient-ils un projet d'implantation d'une exploitation industrielle d'amiante ? ou de production de bombes chimiques ? Evidemment non ! C'est pourtant du même ordre.
Pourquoi gaspiller son énergie (sans jeu de mot) et notre argent pour promouvoir un hypothétique sauveur de l'emploi nivernais au seul vu d'études économiques ? Ne lui pend-il pas au nez la sanction de devoir arrêter pour atteinte grave à la qualité de l'environnement, et son impact sur l'effet de serre ? Ne vaudrait-il pas mieux se tourner avec curiosité et bienveillance sur la recherche et l'accueil d'entreprises produisant les matériaux et dispositifs écologiques d'aujourdhui et de demain, (isolants naturels, éoliennes, cellules photovoltaïques, panneaux solaires, chauffages alternatifs...) dont nous déjà tous les consommateurs potentiels ou effectifs et qui sont actuellement importés dans le département ?
Les emplois créés ne seraient-ils pas plus nombreux et stables ; mais surtout moins dépendants d'un seul pourvoyeur dont la cessation d'activité ne manquera pas de jeter dans la misère et le désarroi un nombre important de nivernais.
Ce sont les bonnes questions à se poser actuellement.

Paul de Haut

15/11/06
L'environnement au cours des débats.

S'il est un sujet qui revient régulièrement au premier plan, c'est bien l'environnement et c'est tout à fait légitime. En effet l'avenir de notre planète est en danger et il est plus qu'urgent, non seulement d'en être conscient, mais de prendre les mesures qui s'imposent pour éviter d'hypothéquer l'avenir des générations futures.
Nous sommes dans une société qui passe allègrement, d'une extrémité à une autre. Ainsi il est courant d'assister à des levées de boucliers à l'annonce de chaque projet de développement économique, que ce soit au niveau industriel ou agricole, l'actualité récente le démontre. Le progrès qui a permis l'amélioration des conditions de vie de chacun d'entre nous a causé quelques dégâts , pour autant devons-nous tout remettre en cause ? Je ne le crois pas. Ce qu'il faut avant tout c'est aborder les problèmes environnementaux, avec raison, responsabilité et bon sens.
Ainsi, si nous devons trouver très rapidement des solutions de remplacement au tout pétrole, nous devons nous réjouir de disposer d'un parc de centrales nucléaire, allégeant considérablement notre dépendance énergétique et la mise en place de centrales de nouvelle génération, qui ne produiront pratiquement plus de déchets est une bonne nouvelle. Devons-nous tout axer sur le nucléaire ? Non, le bon sens veut, tel un bon paysan de ne pas mettre tous ses oufs dans le même panier et de s'appuyer sur la nature pour y trouver ce dont on a besoin. C'est ainsi que l'agriculture a un rôle déterminant à jouer, notamment par la production de diester, d'éthanol ou de biomasse secteur encore largement inexploité. Mais il est des sources d'énergie encore plus naturellement à notre disposition : le soleil, le vent et dans le sud de notre département le charbon ! L'augmentation du prix du pétrole aidant, l'exploitation de ce gisement nivernais devient intéressante pour le secteur industriel. Pour autant l'économie doit-elle prendre le pas sur la préservation de notre environnement ?
Il me semble qu'il suffit de répondre à la question suivante : est-ce que l'exploitation de cette mine a ciel ouvert respecte le protocole de Kyoto signé par la France ? Protocole qui prévoit, notamment, la réduction des émissions de CO2 par les pays signataires. Même en n'étant pas un spécialiste de la question, il me semble que ce projet va à l'encontre de la signature de la France.
En prenant une telle position, on va me reprocher d'être contre la création de nombreux emplois (environ 300) mais les élus qui, aujourd'hui soutiennent ce projet, ne peuvent-ils pas convaincre des industriels pour implanter dans notre département des unités de fabrications de panneaux solaires ou d'éoliennes ? Ceux enfin qui accepteraient de voir passer dans le jardin de leur voisin les pylônes acheminant l'électricité de la centrale à charbon vers les usagers seront, sans doute, d'accord pour implanter sur leurs pelouses des parcs éoliens, qui permettront de produire de l'énergie propre !
Le désert que certains élus, en leur temps, ont voulu instaurer dans notre département, ne doit pas conduire les élus d'aujourd'hui à tout accepter. Oui au développement économique de notre département, mais celui-ci ne passe pas, me semble-t-il par le charbon.

Jean-Luc Gauthier.

28/09/06
Votre remarque va de soi, mais gérer l'environnement n'est pas affaire d'intégrisme :
Il ne s'agit pas de supprimer toute source de pollution, ce qui en poussant l'idée jusqu'àu bout oblige à supprimer toute vie animale, empêcher les volcans de fonctionner et autres joyeusetés...
A mon humble avis, il s'agit de choisir, à chaque fois que c'est possible, des systèmes ou organisations plus respectueux de l'environnement et je préfère donc l'hydrogène aux matières fossiles, à la fois propre, inépuisable elle est un progrès, même si pour la produire actuellement en quantité on a besoin d'électricité !
Savez-vous par ailleurs qu'il existe des organismes qui la produisent naturellement ?
Une piste à suivre sans doute.

P.H

25/09/06
L'hydrogène n'est pas une source d'énergie inépuisable ! Il n'y a pas de puits d'hydrogène ! Pour obtenir de l'hydrogène il faut craquer une molécule de gaz ou de pétrole ou d'eau, pour ce faire il faut beaucoup d'énergie : du solaire de l'éolien ou du nucléaire.
JP. D

20/05/06
Les incinérateurs d'ordures sont alimentés régulièrement avec des éléments triés par nous tous et qui finissent par servir de combustible pour permettre de "brûler" les matières réputées résistantes au feu ou humides !
Les rejets insinueux et persistants tout au long de l'année, inodores et invisibles (car dilués dans l'air, puis dans l'eau et fixés sur chaque végétal avant d'être concentrés de façon exponentielle à travers la chaîne alimentaire) font de chaque être qui respire, qui boit et qui mange, une victime qui ne l'apprendra qu'une fois qu'il sera trop tard... (même principe que pour l'amiante, la radioactivité, le tabac ou l'alcool : la note est toujours payée, mais le crédit peut s'étaler sur de longues années !).
Beaucoup de pays un peu plus soucieux de la santé de leurs habitants que le nôtre et conscients du coût insoutenable des traitements médicaux annoncés, se sont engagés à supprimer leurs incinérateurs avant 2008 ou 2010 au plus tard. Et les "Verts et autres écologistes politiques" seraient bien inspirés de mobiliser leur énergie pour traiter ce problème prioritairement par rapport à la suppression des centrales nucléaires, la réintroduction du loup et de l'ours ou la chasse aux éoliennes !
Evidemment, cela va de pair avec une réorganisation compléte de la chaîne de production, ramassage, tri, recyclage et valorisation de nos ordures que nos élus nivernais (de gauche comme de droite) n'ont pas le courage de mettre en chantier sur la seule base à la fois juste et efficace : pollueur=payeur.
D'où notre proposition de facturation à la levée ou au poids des ordures, la fourniture pour tous ceux qui le désirent de composteurs individuels, pour ne parler que des premières améliorations applicables rapidement ICI et MAINTENANT.
Un jour viendra où le législateur n'aura d'autre alternative que de décréter en ce sens !
Combien de temps et de victimes innocentes faudra-t'il comptabiliser pour que cela devienne une évidence pour tous ?

Paul de Haut

22/04/06
Au secours, un projet de centre à VOLGRE 89 est en cours. Nos braves élus ont caché ce projet pendant deux ans ! Projet instrumenté par deux députés du coin. Affaire très juteuse pour la Sté CHEZE. Pétition en cours. Certains petits maires se frottent les mains en espérant des retombées économiques pour leurs communes, je crois rêver. Un contribuable et électeur en plein désaroi et en colère.
A.G

23/11/05
Réponse à Fabien

1) Votre position est respectable, mais le seul argument économique ne veut rien dire : la filière de la drogue fait vivre encore bien plus de personnes ! Est-ce pour cela qu'il faut la maintenir ou même le subventionner ?
De plus vous semblez très mal connaître la filière du recyclage : pour un incinérateur ou un Centre d'enfouissement, qui emploie une personne, ce sont 5 personnes qui peuvent être employées pour recycler les mêmes déchets...
2) Vous êtes père et grand-père, pensez à vos enfants, et petits-enfants : Quelle eau et quel air allons-nous leur laisser. Ce n'est pas tant les arbres (et là-dessus vous avez raison !) qui vont manquer en Europe, mais les traitements de production et de recyclage mal maîtrisé des papiers imprimés qui vont à terme, poser de gros problèmes environnementaux !
Si vous supprimez le désencrage : que pensez-vous que deviennent les encres, et où risquez-vous de les retrouver ? Voilà la bonne question !
3) Vos propositions pour améliorer la gestion des prospectus sont intéressantes et devraient être mises en oeuvre au plus vite.
4) Votre courrier est bien publié sur ce site, comme tous ceux qui respectent un minimum de règles déontologiques. Vous voulez prendre le risque de fermer cet espace de liberté en publiant n'importe quoi ?

P.H

22/11/05
Je suis distributeur de prospectus et ceci depuis près de 20 ans. Je ne pensais pas au début en faire un métier car à mes yeux ce ne l'était pas. Depuis j'ai appris à l'aimer. Je rencontre jour après jour des gens avec qui je parle, et que j'écoute. C'est une métier, un beau métier. Il est vrai que je ne suis pas un intellectuel ,mon cursus ne ma pas permis de me lancer dans une carrière (dite) importante, j'insiste sur le (dite)... Je rencontre sur les boîtes aux lettres des autocollants stop publicité, que je respecte entièrement, mais savez-vous le nombre de boites qui le comportent ? (3 %) cela fait en fait plus de 20 ans que je vois des associations se battre contre les prospectus. D'après vous, si 3% de boites aux lettres ne veulent pas de prospectus doit-on comprendre que 97 % en veulent ? Savez-vous que directement en France près de 390 000 personnes vivent des prospectus ? La fabrication du papier Les livreurs Les graphistes Les imprimeurs Les distributeurs Les services d'enlèvement des ordures les déchetteries les recycleurs etc.etc. Savez-vous qu'en France et en Europe que la gestion des forêts est la meilleure au Monde, 1 arbre de coupé = 3 arbres de plantés ? (c'est une loi) Savez-vous que le recyclage du papier est le moyen le plus polluant au monde avec le désencrage donc création de produit chimique ? La tempête du 26 décembre 1999 a fait tomber plus d'arbres que la France ne coupera en 22 ans pour la fabrication de prospectus, que croyez-vous que ces arbres développent actuellement et rejettent dans la nature par le simple fait d'être au sol ? Non, je suis par contre d'accord avec vous, nous pouvons faire des prospectus sans polluer la nature, 1 = arrêter le recyclage 2 = L'obligation d'imprimer avec de l'encre alimentaire (100 % non polluant) 3 = L'obligation d'un poids maximum par enseigne et par an en fonction de l'importance de l'emploi de chaque enseigne et en fonction de sa zone de chalandise. Savez-vous aujourd'hui que chaque fois qu'un prospectus est distribué il a subi 4 prélèvement de taxe de recyclage et que beaucoup de gens comme vous aujourd'hui croyez payer pour ceci ? Savez -ous que si 30 personnes mettent un autocollant sur sa boîte aux lettres il fait perdre 5 emplois à temps complet en France ? Sauf si vous êtes retraité ou fonctionnaire ou assimilé ,en cas contraire 1 emploi de gagné en France c'est une chance de plus pour nous tous de garder son emploi. Je suis père de 4 enfants, grand-père de 3 enfants et j'ai seulement 43 ans, je veux encore distribuer des prospectus longtemps, très longtemps et dans 20 ans votre revendication n'existera plus, savez vous pourquoi ? Vous exigez sans donner d'alternatif à l'ensemble d'une filière, et l'ensemble des partis politiques ne se lanceront jamais dans un combat qui a terme mettra au chômage des milliers de personnes sans remplacer son travail par un autre, si vous avez la solution vous êtes un CHEF et là je voterais pour vous ! Vous ne désirez d'après votre site ne pas publier avant de lire le courrier, un pays a fait cela et le fait encore aujourd'hui, l'URSS ! Vous ne désirez pas être contré sur vos retranchements, la vérité vous fait peut-être peur, mais ne vous inquiétez pas... Moi cela m'arrive souvent ,mais jamais je ne prends acte ou parti pour une idée ou une action si je n'ai pas la réponse...
Fabien

16/11/05
LA BRETAGNE, N'EST PAS UNE POUBELLE.

Il y a quelques années, en Bretagne, grâce à l'action menée par un Comité de défense soutenu lui-même par de très nombreuses associations, le projet d'enfouissement d'ordures sur le site historique de la bataille de Saint-Aubin du Cormier en 1488 a été abandonné.
Aujourd'hui c'est la Forêt de Brocéliande - le plus vaste ensemble forestier de la Bretagne et un des hauts lieux de la légende Arthurienne - qui est mise en péril. En effet, une société de traitements d'ordures ménagères, a décidé d'implanter une nouvelle et immense décharge à 40 mètres de la lisière de la forêt et à deux kilomètres des étangs, (1) dans les eaux de l'un d'entre-eux, selon la légende, la Fée Viviane, la Dame du Lac habitait et où elle procéda à l' éducation de Lancelot, souvent nommé Lancelot du Lac et du château de Comper qui abrite le Centre de l'Imaginaire Arthurien.
Ce projet s'inscrit dans une démarche sans respect, pour le Patrimoine naturel, écologique (2) et culturel, pour la mémoire (3) pour un lieu très touristique de la Bretagne.
APPORTEZ VOTRE SOUTIEN à l'ASSOCIATION !

Site http://www.sauvegarde-broceliande.org
Courriel sauvegarde_broceliande@yahoo.fr
Président Ph. Du MONTEIL phmontei@club-Internet.fr
(1) Les étangs sont inscrits sur la liste européenne Natura 2000 à cause de la présence d'une flore et d'une faune en voie de disparition ;
(2) Ce projet est, en effet, situé en tête de bassin, sur un sol particulièrement perméable, sur une hauteur cernées de sources et à quelques kilomètres seulement de l'étang au Duc de Ploërmel dont l'eau est utilisée pour l'alimentation des Communes environnantes.
(3) Le projet se situe sur le site d'un mémorial de la seconde guerre mondiale érigé en l'honneur des aviateurs américains du 354th Fighting Group basés à cet endroit même durant les combats de la Libération.


28/10/05
Pas d'accord avec toi schtroumf, Bové ne va pas en prison pour défendre nos intérêts mais les siens. Ce petit mégalo a trouvé le créneau pour faire parler de lui. Il aurait mieux fait de cultiver son propre jardin. Le combat contre les OGM doit être mené au niveau des états. C'est une véritable guerre économique plutôt qu'écologiste. Puisse-il y avoir des politiques qui comprennent le but de la bataille et ne cèdent pas au chant lucratif des sirènes... Mais en attendant fauchons notre jardin.
Candide

26/10/05
J.J, une précision, afin de recadrer le débat... Il est vrai que j'égratigne ceux qui sont aux affaires en ce moment, mais je vous rassure, je sais que le double langage n'a pas d'étiquette... Là encore, libre à chacun de faire les parallèles qu'il veut.
Pour José BOVE, je vous trouve plutôt dur, les peines de prison, c'est pour nous consommateurs qu'il les assume, et non pas pour détournement de fonds. Quant à moi, le bon sens et le besoin de l'application du principe de précaution, va me mener à Orléans pour soutenir les faucheurs lors du procès les 27, 28 octobre.

P.B "Stroumpf "

22/10/05
Si je comprends bien vous êtes écolos tous les deux, l'un avec une sensibilité de gauche et l'autre de droite ! Mais pourquoi voulez-vous absolument mettre une étiquette droite ou gauche sur ce parti. L'écologie c'est autre chose, c'est du bon sens, c'est de l'humanisme et c'est surtout de l'amour, et pas seulement de la nature. Mais tant qu'il y aura des dirigeants qui penseront à faire convoler les homos (contre lesquels je n'ai rien ayant moi-même de nombreux amis dans ce cas ) en justes noces ou bien à se pavaner devant les médias plutôt que de cultiver leurs terres, l'écologie en France ne sera pas sur la bonne voie. Je ne suis pas chasseur... j'en serai bien incapable, mais force m'est de reconnaître en toute objectivité, que les "nouveaux chasseurs" sont bien plus écolos qu'un Mamère ou un Bové.
J.J

19/10/05
D'accord avec vous G.F pour la charte de l'environnement, ainsi que pour la suppression des sacs plastiques, (2010, il faut bien cela pour que les industriels replacent leurs billes). Mais... j'ai bien des doutes sur les motivations réelles (en fait je n'ai pas de doute !)
P.B. "Stroumpf"

12/10/05
Mes petits bras d'écologiste de sensibilité humaniste m'en tombent !
Alors qu'on a eu au gouvernement socialiste des vetrs en position de force, rien n'a vraiment été fait pour faire avancer cette cause qui m'est chère.
C'est aujourd'hui un gouvernement de DROITE, qui a pris et fait voter une décision majeure pour notre environnement : "La suppression complète d'ici à 2010 des sacs plastiques en caisse dans la grande distribution".
Mieux, c'est Chirac qui a fait adosser à la Constitution une "Charte de l'Environnement" au congrès du 28 février 2005.
Décidemment les vrais écolos ne sont pas ceux que l'on croit. Il y à ceux qui causent et paradent et ceux qui agissent vraiment. Mon soutien va évidemment vers ces derniers !

G.F

01/09/05
D'accord aussi, mais sans aller chercher aussi loin qu'au Brésil, en Allemagne on peut rouler à l'huile de colza avec un moteur diesel, légèrement modifié ! T'enlèves le problème des taxes, et tu vois que c'est possible et même rentable en France... Encore une fois c'est un choix politique.
G.C

31/08/05
Tout à fait d'accord, et comment se fait-il que les seules voitures particulières à moteur hybride sont japonnaises ? Et qu'elles vaillent si cher ?
P.E

29/08/05
Le prix des carburants flambe et on est mal ! Depuis le temps qu'on aurait du prendre les décisions politiques adaptées (gauche et droite confondues) !
Aujourd'hui, on nous balance qu'il faut rouler à 115 km/h sur autoroute pour économiser le pétrole importé !
D'après les spécialistes, cela correspond à une économie de consommation de 2 %.
Bravo, ça vaut le coup d'avoir fait l'ENA ou Polytechnique pour pondre des conneries pareilles.
Au Brésil, par exemple, on roule au bio-carburant, ce qui fait à la fois une économie de 30 % sur l'utilisation de pétrole, et crée un débouché pour les agriculteurs, alors qu'en France et en Europe, on préfère interdire la culture d'une bonne partie de leurs parcelles et injecter des subventions à tout va !
Cherchez l'erreur !
C'est simple : au Brésil, y'a ni ENA, ni Polytechnique, ni partis écolos vendus à la politique politicienne.
Je le dis depuis que j'ai l'âge de raisonner, le manque de courage politique est toujours anti-social :
Il frappe toujours plus les plus faibles d'entre nous.

R.C

17/08/05
J'ai reçu comme tous les amognards, une lettre nous invitant à venir retirer un seau et et un bac de 120 litres à l'occasion de la mise en place en septembre de la nouvelle collecte de bio-déchets !
On nous amorce en mettant en avant "les normes réglementaires en matière de traitement des déchets".
Les mêmes avaient utilisé cet argument fallacieux pour tenter de nous imposer le CSDU à Saint-Jean. Rappelons pour mémoire que sous la houlette de notre conseiller général, l'ensemble des conseils municipaux avait, en son temps, voté pour ! (reprenez les délibérations de l'époque, cela évitera toute polémique sur les faits...)
La mobilisation générale contre ce projet, avait imposé un virage à 180 degrés aux mêmes élus, qui se sont retrouvés dans l'obligation de lutter contre une décision qu'ils avaient prise...
On aurait pu croire que la leçon fut profitable ? Hé bien non !
Les mêmes, mettent en place, un système qui sera coûteux, pas adapté à notre environnement rural, et aura des effets pervers :
- Alors que les habitants demandaient de maintenir un ramassage d'encombrants annuel, qui paraît-il coûtait trop cher, la Communauté de Communes lance un ramassage supplémentaire au porte à porte, qui implique de façon régulière un nouveau camion, un renforcement significatif de l'équipe de ramassage et de traitement sur zone des déchets receuillis ! Quand la facture arrivera, vous comprendrez mieux de quoi je parle.
- Cette formule, moins mauvaise solution en milieu urbain, n'est sûrement pas adaptée à notre zone rurale, où presque tout le monde a un bout de terrain, et la possibilité d'installer un bac à compost. Beaucoup des habitants que je fréquente le font déjà, comme leurs ancêtres depuis toujours...
Ils étaient réputés avoir des légumes, des fruits et des fleurs magnifiques, avec le terreau qu'il avaient eux-mêmes produit. Ceux qui possédaient des animaux : poules canards, lapins, cochons... étaient ravis de pouvoir ainsi donner une seconde utilité à leurs bio-déchets !
- L'ADEME, préconise le compostage individuel pour des zones comme la nôtre, et explique avec des fiches adaptées comment faire un bon compost ! (A ce sujet, les textes réglementaires n'imposent pas de faire le ramassage des bio-déchets, mais de ne pas les mélanger avec les autres ordures, au cours de la collecte ! Ce n'est évidemment pas la même chose).
Des effets pervers sur l'environnement sont prévisibles :
- Ceux, et notament les anciens, qui compostent sur place leurs bio-déchets vont croire qu'il faut maintenant les faire ramasser ! Augmentant ainsi le volume à collecter et à traiter.
- Ceux, et ils sont nombreux, qui utilisent du terreau pour leurs plantations, vont plus naturellement en acheter que faire le trajet vers la plateforme à compost, créant ainsi avec les contenants en plastique, de nouveaux déchets à traiter réputés dégager du chlore et des dioxines !
- La collecte, le transport vers la plateforme, puis pour récupérer le compost, est source de pollution !
- Le lavage régulier du seau, et du bacs de 120 litres est source de surconsommation d'eau, et de rejet supplémentaire d'agents lessiviels.
- Dés qu'il fera chaud, ces fermentiscibles entassés pendant une semaine, dégageront une odeur insupportable, alors qu'un bac à compost au fond du jardin n'est pas une nuisance significative...
La solution : beaucoup de groupements de communes rurales, tant en France qu'en Europe, l'ont déjà mise en place ! Distribuer des bacs à compost individuels, et informer les habitants sur la façon optimale de l'utiliser.
Il ne coûte pas plus cher que l'ensemble seau + poubelle-bio, et il n'y a ni investissement à réaliser (camion, infrastructure), ni charges de fonctionnement.
J'invite donc tous les amognards sensibilisés à l'augmentation vertigineuse des taxes d'ordures, et/ou à la qualité de leur environnement, à réagir de la façon la plus vive contre ce dispositif.

Paul de Haut.

25/05/05
Des ordures :

Voilà un beau sujet, rentable, coûteux et joyeux. A en croire les courriers, nous serions de plus en plus polluants. Totalement faux. J'attends avec impatience les bilans financiers des différentes compagnies qui participent à ce joyeux ballet. Pour mémoire, il y a quelques années certaines de ces dites compagnies (condamnées depuis) pratiquaient la méthode du double pesage multipliant de ce fait par deux le tonnage de nos déchets ; vieille méthode de l'aller et retour).
F.R

19/04/05
Effet de serre et changements climatiques

Ce message passera sans doute 10 mètres par dessus la tête de certains, mais si on n'essaie pas, un désastre ne sera pas évité... Surtout que nous sommes TOUS concernés. Le Congrès Brésilien vote maintenant un projet qui réduira la Forêt d'Amazonie de 50 % de sa taille !
Le secteur qu'on veut déboiser représente 4 fois la taille du Portugal et serait principalement utilisé pour l'agriculture et les pâturages pour le bétail. Tout le bois doit être vendu aux marchés internationaux par des sociétés multinationales sous la forme de tranches de bois.
Le fait est que le sol de la forêt d'Amazonie est inutile sans forêt. Il est très acide et la région subit des inondations fréquentes. A ce jour, plus de 160.000 kilomètres carrés, déboisés dans le même but, sont abandonnés et ont entamé un processus de désertification. Le déboisement et le traitement du bois à cette échelle libèrent dans l'atmosphère des quantités énormes de carbone accentuant ainsi l'effet de serre et les changements climatiques.
Nous ne pouvons pas laisser faire ça ! C'est à nos enfants que nous devons penser ! Quelle planète allons nous leur laisser ? Un jardin merveilleux ou un désert et des décharges !?

Faviolo

06/03/05
Hulot lolotte mais la France sanglote
.
Comment Nicolas Hulot, peut-il accepter de se corrompre avec Tf1, la chaîne Coca-Cola, sans avoir le poil qui se hérisse ? Pas si difficile, du moment que son train de vie est assuré il ne bronche guère quand ce qui risque de nuire à sa vocation (parcourir le monde et dire bonjour aux gentils indigènes) est en jeu. Doit-il pour autant épouser les mêmes viles inspirations de son pédégé à savoir décérébrer la tête des spectateurs pour la remplir de réclames ?
Le rentier de l'environnement ne s'embarrasse pas de tels scrupules. Il n'hésite pas à sous-traiter son image de marque pour aider à vendre des shampoings et des encens dont on dit qu'ils sont cancérigènes. Publiciste de l'environnement il a cautionné ainsi le lancement d'un bimestriel, véritable ramassis inepte de toutes les publicités choisies parmi les articles les plus polluants. Du moment qu'il peut faire ce qu'il a envie de faire Nicolat Hulot ne s'arrête pas à ces détails. Se cachant derrière la chaîne, c'est TF1 qui est cause de tout (je ne suis qu'un otage), il ne peut pas dire qu'il n'était pas au courant de la création de cette publication car il fait partie du comité de direction ! D'autre part, l'équipe qui fabrique ce magazine n'est pas une filiale de TF1.
Voilà t-il pas qu'il cherche même à corrompre les esprits les plus libérés des carcans médiatique et politique afin d'en faire un de ses complices. Récemment sa proie toute trouvée est Pierre Rhabi qui ferait mieux de se méfier et de renoncer à la conférence prévue à Lyon le Jeudi 28 Avril 2005 ou à l'écriture du livre à laquelle il a accepté de collaborer.
"Vivez avec légèreté, sans jamais outrager l'Eau, le Souffle ou la Lumière. Sachez établir la mesure de toute chose." dit Pierre Rabhi. "Roulez en 4x4, utilisez des cosmétiques, respirez de l'encens, regardez Tf1, prenez l'hélicoptère." dit Nicolas Hulot. Comment peuvent-ils s'entendre quand presque tout les sépare ?
"L'arrivée au sommet de la pyramide de Georges W. Bush a fait reculer la réflexion écologique au néolithique et encore, nul doute qu'à cette époque les hommes avaient avec leur environnement des liens plus étroits, donc plus sensés." (in "Le syndrome du Titanic", Nicolas Hulot).
L'arrivée de Nicolas Hulot dans l'entourage de Jacques Chirac, en tant que conseiller écologique, n'a guère entraîné davantage d'améliorations probantes dans la politique écologique française certainement la plus arriérée au niveau de l'Europe très proche de la nation américaine qui bat elle tant que modèle de démocratie (sic) tous les records de connerie.
En tant qu'ami un peu écolo, pas mal baroudeur, c'est Nicolas Hulot probablement qui se charge des discours du non penseur Jacques Chirac. Un politocard qui aime s'entourer de brillants orateurs. Hulot possède un bon style. Il le peaufine sur son radeau, en attendant l'éruption d'un volcan ou la fonte des glaciers. Entres autres hulotteries voici les plus savoureuses parmi d'autres qui n'engagent que ceux qui y croient. Il est probable que notre pseudo défenseur de la nature les ai soufflées à l'illustre corrézien à l'occasion du traditionnel thé du dimanche après-midi entre deux matchs de sumo sur le câble. "Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. Prenons garde que le XXIe siècle ne devienne pas, pour les générations futures, celui d'un crime de l'humanité contre la vie", "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs", "La Terre et l'humanité sont en péril et nous en sommes tous responsables." Jacques Chirac, Johannesburg, septembre 2002. Bien sûr, c'est cela oui, on y croit ! Et les essais nucléaires, et les centrales, et les OGM et le développement durable, etc. N'en jetons plus la coupe est pleine.
Est-ce en publiant des livres qui sèment le paradoxe que ce faible visionnaire chiraquien va améliorer le sort de la planète lui qui n'a de cesse que de la promettre à une rapide et cruelle agonie ? Il n'avait qu'à accepter le poste ministériel offert par Jacques Chirac, à quelques jours de sa réélection. Mais Papa Nature a vu le piège. La fin de ses rambolades. L'arrêt des tournages pour TF1 eut été insoutenable. Mettre au parking son hélicoptère ? Un drame.
Craignant de baisser pavillon face aux ministères de l'agriculture, des transports ou de l'industrie lui qui se prend pour Surcouf, Robinson Crusoé et Don Quichotte réunis comment accepter un travail pour cet enfant qui ne veut pas grandir ? Nicolas Hulot a donc dit non à ce président qu'il tutoie depuis maintenant quinze ans : "Tu comprends, si je rentre à l'intérieur du système, je perds mon indépendance, ma liberté de parole et, surtout, le capital de confiance que j'ai dans l'opinion." Quel capital de confiance ? Il est sérieusement écorné depuis que son magazine est sorti en kiosque et que ses émissions ressemblent de plus en plus à de la propagande. Ne croient en cet individu que ceux qui chassent, pêchent, aiment la vraie nature, n'achètent jamais de produits à base d'OGM excepté la sauce américaine pour le barbecue. Voilà d'ailleurs ce qu'est Nicolas Hulot, un animateur télé génétiquement modifié.
Monsieur Nicolas Hulot, quand le dernier arbre aura été coupé, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été pêché, quand le pétrole sera tari, quand les livres seront brûlés pour en faire du combustible, quand on fera la lessive avec les cendres, quand votre hélicoptère sera transformé en éolienne, seulement après tout ça, vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas.

Bruno San Marco

23/02/05
Notre planète est en danger, réchauffement, modification du climat (même si nous avons un véritable hiver), si rien n'est fait nous connaîtrons des changements radicaux, aux conséquences dramatiques pour la vie sur terre. Malheureusement en fonction des pays, ou de la situation de chacun, les préoccupations ne sont pas les mêmes et il est de plus en plus courant d'opposer environnement et activité économique, alors qu'avec un peu de volonté et d'imagination il est possible de concilier les deux.
Le problème n'est pas simple à solutionner et on peut dire sans se tromper que c'est en matière environnementale que les enjeux, qui nous attendent dans les années à venir, sont les plus importants à relever. Nous devons agir en citoyen responsable et ne pas hésiter à remettre en question nos pratiques, nos habitudes. Les solutions alternatives existent, elles sont méconnues par les consommateurs que nous sommes et ignorées, méprisées notamment par les grands groupes pétroliers. Dans ces conditions, que faire ? Il faut prendre des initiatives, et à ce titre les collectivités et les élus qui les dirigent doivent faire preuve de volontarisme et d'efficacité. Ainsi, je propose que toute rénovation ou construction de bâtiment public, dans les Amognes et pourquoi pas l'ensemble de la Région Bourgogne, intègre une installation de chauffage privilégiant les énergies renouvelables, solaire, éolienne, bois, paille, etc. L'objectif étant que ces équipements deviennent naturels dans l'esprit des consommateurs que nous sommes et qu'à terme ils se substituent au " tout pétrole ".
Des solutions existent, relativement simples à mettre en oeuvre, il est important que le plus grand nombre soit informé et incité pour que nous devenions tous des agents du développement durable.

Jean Luc Gauthier.

01/08/04
Epandage des boues de station d'épuration...

Ici dans notre région d'Alsace nous connaissons le problème d'épandage des boues dans les champs et c'est vraiment l'horreur (avec des odeurs épouvantables). Et cerise sur le gâteau nous avons la Sté. SEDE qui est installée chez nous et c'est horrible question odeurs pestilentielles. De nombreuses pétitions afin d'arrêter ce problème sur notre environnement. Au début on vous promet que tout va aller, pas d'odeur, confinement, que les techniques sont bonnes, etc. Il ne faut surtout pas laisser faire et monter au créneau. Bon courage et à bientôt.
G.M

25/07/04
L'Ecologie n'est pas de gauche...

Demeurant en Alsace (68), je puis vous dire que l'écologie n'est pas une affaire de couleur politique : l'Alsace étant quasiment à droite à 95 %, pourtant c'est une des régions qui a pris conscience de l'importance du tri selectif des ordures. J'habite une commune de 900 âmes, et nous trions nos déchets dans des bacs distincts : le verre, le papier, le plastique. Nous avons une déchetterie pour une communauté de 4 communes pour les objets encombrants ou les piles par exemple ; des projets pour des sources d'énergies propres sont en cours. C'est une région trés peuplée, si nous ne faisions pas ce tri, que ferions-nous de nos ordures ? Dans une région surtout agricole, les élus soignent leur électorat ce qui ne va pas forcément dans le sens de l'écologie.
O.M

Le 01/03/04
Epandage des boues de station d'épuration...

Après le CSDU, voilà un autre cadeau empoisonné avec l'épandage des boues de station d'épuration.
Le sujet est trop grave pour être traité de façon épidermique et non réfléchie. Mon métier d'agriculteur ne me permet pas de l'aborder avec la rigueur scientifique d'un chercheur de l'INRA. Par contre ma connaissance de la nature, de la terre m'autorise à dire que ces pratiques sont terriblement dangereuses :
- pour ceux qui utilisent ces boues,
- pour l'ensemble de la profession et sa survie,
- pour le monde rural, et l'environnement.
Notre société de consommation produit, malheureusement, de plus en plus de déchets, et les consommateurs que nous sommes ne se préoccupent que rarement du devenir de ces derniers. Il est souhaitable que chacun se sente concerné par ce problème.
Les stations d'épuration des villes, et maintenant de chaque village, génèrent des boues dont il faut bien se débarrasser.
Il était très pratique de se servir des agriculteurs pour les recevoir, les épandre, et les recycler...
Ces boues, " nivernaises ou parisiennes " représentent un réel danger. On ne connaît pas ce qu'elles contiennent exactement : métaux lourds, microbes, bactéries, résidus d'antibiotiques ? Dans quelles proportions, sous quelle concentration ? Mais ce que l'on sait déjà implique avant tout d'appliquer le principe de précaution :
- Leur valeur fertilisante reste encore à prouver, s'agissant de résultats significatifs mesurés au niveau du sol.
- L'académie Nationale de Médecine, attire l'attention sur une contamination possible des eaux...
Autre fait troublant, pourquoi les boues "parisiennes" ne sont-elles pas épandues sur les terres du bassin parisien ? Pourquoi, la Suisse refuse-t-elle de le faire sur son territoire ?
Avec certains collègues, j'ai créé l'association "IXYONE Communication" dans le but de promouvoir l'agriculture, en tissant des liens étroits entre les agriculteurs et la population qui vit parmi nous. Nous avons voulu cette nouvelle relation basée sur la confiance et la transparence. C'est ensemble que nous devons décider de ce qui est bon pour notre terroir, pour notre environnement, pour les produits que nous élevons et qu'ils consomment, avec un souci de qualité toujours plus exigeant.
En tant que conseiller municipal, j'ai demandé que soit joint à la facture d'assainissement de chacun, une analyse technique des boues produites par la station d'épuration de St Benin d'Azy.
Je pense que cette histoire d'épandage des boues d'épuration est une raison supplémentaire de réunir autour d'une table, tous les acteurs de l'environnement, sous les conseils éclairés d'experts indépendants, pour enfin établir un plan de collecte et de traitement de nos déchets, qui réglementera de façon cohérente et complète l'ensemble de la chaîne, et dans lequel chacun se retrouvera. Il s'agira ensuite de l'expliquer et de le faire appliquer à l'ensemble de la population du département.
Méfiez-vous enfin des écologistes d'opportunité, qui mélangent sans vergogne les boues nivernaises et parisiennes à des débris végétaux qu'ils vous vendent comme compost. En utilisant de tels fertilisants pour vos jardins, vous prenez le même risque...

J-L Gauthier.

10/02/04
POTS de YAOURT...

Intéressante remarque que celle concernant les pots de yaourt. Il me semble (ce serait à confirmer) que la réponse figure sur les objets concernés eux-mêmes sous le forme d'une pastille représentant une flèche en rond à interpréter comme l'indication qu'il s'agit d'un objet fabriqué avec des matériaux recyclables. Ce qui m'étonne, c'est que les nombreux prospectus ou panneaux mis en place par les pouvoirs publics pour inciter l'usager au tri sélectif ont totalement oublié de signaler ce message simple et d'en expliquer le sens.
Au lieu de celà, on nous inflige des listes (illustrées pour les analphabètes) confuses et forcément incomplètes qui sont plutôt rebutantes même pour les meilleurs citoyens.
Mais, pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué ?!

A.V

15/01/04
Assainissement...

Les nouvelles règles applicables à ceux qui ne sont pas "reliés" au tout à l'égout sont saines (...). Mais attention aux conditions d'application.
- Passé le premier contrôle gratuit, qui sera chargé d'assurer les suivants et à quel prix ? Il serait regrettable que l'on oublie d'encadrer de manière stricte la tarification des suivants comme c'est le cas, par exemple, pour les controles Pb-Amiante.
- Pour la taxation du branchement rendu obligatoire, va-t-on faire une différence entre les contribuables qui avaient fait les frais d'une installation autonome, souvent faute d'avoir le choix ou pire pour avoir été "oubliés" à la suite de manoeuvres douteuses au moment d'un raccordement auquel ils pouvaient prétendre et ceux qui balançaient tout dans la nature. Il serait juste que les premiers bénéficient de conditions plus favorables prenant en compte le fait qu'ils ont "déjà donné".
- Enfin dans de nombreux cas, les habitations concernées peuvent être fort modestes et leurs propriétaires disposer de ressources qui ne leur permettent pas de faire face au coût des travaux de raccordement. Va-t'on aider ceux-là ? Comme il s'agit d'une démarche d'envergure au moins nationale, on devrait pouvoir dégager des subsides appropriés à l'enjeu, ne serait ce que pour éviter un effet pervers comme celui de la loi de 1948, méritoire en son temps, mais responsable à la longue d'une énorme dégradation d'un patrimoine immobilier qui aurait pu être entretenu, donc conservé au lieu de sombrer dans l'insalubrité contre laquelle on commence juste à se mobiliser.
Espérons que les Pouvoirs Publics accorderont un peu d'attention à ces quelques remarques alliant bon sens et équité.

A.V

29/12/03
Bonjour, je trie mes déchets et me demande pourquoi on ne recycle pas les pots de yaourt, de crême fraiche, de glace, si je les jette propres ?
Pourquoi les matériaux plastiques autres que alimentaires ne sont pas mentionnés dans les fiches explicatives de ma commune : je veux dire, par exemple, que faire des flexibles de douche, des chaussons en fibres synthétiques, des boites de CD cassées... bref, de tout ce qu'on utilise de plastique chaque jour ?
Et que se passe-t-il si je mets ces choses dans mon sac à recycler les plastiques-métaux ?

F.B

25/12/03
Voilà, je suis née à ... en août 1943, ma soeur y est née, Maman y est née en 1923 (ses frères et soeur également) et ma grand'mère maternelle y était née en 1893. J'ai des souvenirs d'enfance merveilleux dans ce petit village, des ballades l'été dans les champs de blé et de maïs que mon grand père possédait, des tours sur ce que l'on appelait alors "la gadoue" (la décharge publique où l'on nous interdisait d'aller) ; connectée depuis peu à Internet, j'y ai fait un tour pour retrouver mon village natal (où j'y reviens de temps en temps, retrouver mes souvenirs d'enfance, voir la ferme où je suis née) et j'apprends avec horreur ce qu'ils veulent en faire (un immense dépôt d'ordures) c'est inadmissible.
Comment puis-je participer pour voter contre ce projet ?

L.C-D

23/11/03
J'ai le plaisir de vous informer que notre association de défense contre un projet de CET est maintenant dotée d'un site Web :
www.adse-saintescobille.com que nous vous laissons découvrir.
Vous y verrez que nous avons créé des liens avec le site de votre association et vous demandons la possibilité que vous fassiez de même. Vous pouvez bien entendu exploiter les informations exposées dans notre site, qui vous sembleraient utiles ou appropriées (en particulier l'Annexe 2 concernant les nuisances et risques, que nous avons compilé à partir de différentes sources, dont le rapport accablant de Mt-St-Guibert en Belgique).
Nous serions heureux de pouvoir pleinement collaborer avec vous sur le sujet, et derrière cette cause. N'hésitez pas à nous contacter à cet effet, et à nous fournir vos commentaires comme vos questions.
Nos actions d'information et de responsabilisation via l'Internet vont donner un sens nouveau à ce combat "contre les ombres" et surtout sensibiliser les communautés aux vrais problèmes de l'environnement et de la santé, passé la simple dénonciation des risques et la protestation associative locale. Nous vous appuyons complètement dans votre démarche locale, et espérons sincèrement pouvoir faire bloc avec vous pour une cause essentielle, sinon vitale.
Bien cordialement,

ADSE webmestre.

13/11/03
Je suis inquiète : je n'entends plus parler du centre d'enfouissement de St-Jean.
L'enquête publique est terminée et j'imagine que le préfet a pris sa décision. Sur St-Benin, en tout cas, pas de nouvelles officielles, pourquoi ?
Pas plus de nouvelles de Vital-Amognes : alors que nous avons défilé, braillé, manifesté, affiché... que nous nous sommes réunis, rassemblés, engueulés même parfois, aujourd'hui : plus rien ! C'est bizarre, c'est trés bizarre.
Les papotages vont bon train, j'entends parfois que cela pourrait se faire malgré tout.
Il y a 1 an environ, le Béninois jetait le pavé dans la mare, qu'en reste-t-il ?
Pour terminer, je viens d'entendre à la radio, que le site "sinistré" de NOYELLES-GODAULT était repris par la SITA, pour en faire un centre de traitement de déchets et maintenir des emplois.
Ces emplois valent-ils vraiment les graves risques pris en matière d'environnement et de santé humaine ?

C.B

04/11/03
Roselyne Bachelot, ministre de l'écologie, a invité les Français à participer à un débat national sur l'eau. Objectif annoncé : construire une véritable politique de l'eau en France. Afin de ne pas laisser le débat monopolisé par ceux qui ont intérêt à ce que rien ne change...
Q.C

Trier : c'est bien joué ! me dit-on
Le traitement des déchets et la promotion du tri sélectif n'ont jamais fait couler autant d'encre, dans le coin !
Alors pourquoi n'y a t-il plus de bennes pour les textiles sur les aires de tri, aussi bien à Saint-Benin qu'à Nevers d'ailleurs.
Plus simplement : j'en fais quoi maintenant de mes textiles et de mes chaussures ?

J.B

22/09/03
Sur la mise en place d'une collecte sélective de Déchets Industriels Banals :
Les méthodes, les éléments clefs de cette mise en place permettent de prendre en compte un gisement composé à près de 80 % de matériaux recyclables.
Appliquée en concertation avec les industriels producteurs concernés et éventuellement en partenariat avec un conseil professionnel, la collecte sélective de ces déchets peut s'avérer économiquement profitable pour l'ensemble des parties en présence et contribuer à homogénéiser les collectes et le recyclage des matériaux...

E.E

Le 26/07/03
Je viens de lire un texte intéressant de David LAROUSSERIE, dans "Sciences et Avenir" d'Août 2003 n°267-678, page 11, dont voici un extrait :
"... Jean-François Viel, de l'université de Besançon, a montré que les personnes vivant dans les zones les plus exposées aux dioxines ont 2,3 fois plus de risques que la normale de développer un certain cancer, le lymphome non-hodgkinien (LNH)."
"... L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie... souligne : "une augmentation de certaines malformations congénitales au voisinage des usines d'incinération"
"Une étude qui sera lancée dans quelques semaines par l'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des aliments) et l'INVS (Institut national de veille sanitaire) dans un programme ambitieux comportant 3 volets vont tester 600 personnes :
- habitudes alimentaires,
- l'épidémiologie,
- mesures d'imprégnation aux dioxines par des analyses sanguines.
Si ce travail établit un lien entre exposition aux dioxines et pathologies, les responsables politiques et industriels qui pendant des années, ont laissé brûler n'importe quoi, n'importe comment, ont du souci à se faire..."

J.M

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