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PORTRAIT SEGOLENE ROYAL, candidate élections présidentielles 2007
Portrait d'une candidate : Ségolène Royal !

Que pense Ségolène Royal de l'impôt ?
A un an des élections, il est sans doute temps de se poser la question.
La candidate socialiste y a répondu, le 7 juin, sur RTL, où la recevaient les journalistes Alain Duhamel et Jean-Michel Apathie, qui l'interrogeaient sur le coût et le financement de son projet électoral :
« Le problème, affirme Ségolène Royal, ce n'est pas l'augmentation des impôts, c'est la clarification de l'impôt. Le prélèvement fiscal doit d'abord être compris par les citoyens, c'est un objectif de la réforme.»
Nous voilà prévenus quant à la méthode de gouvernement de la candidate socialiste.
Elle fixe d'abord les objectifs : l'intendance suivra.
En l'occurrence, l'intendance, c'est l'impôt.

- Est-ce que les impôts et la fiscalité vont devoir augmenter pour financer votre projet ? l'interroge Jean-Michel Apathie.
- Nous verrons, répond prudemment l'interviewée.

- « Nous verrons », c'est : « oui » ? insiste le journamliste.
- Nous verrons, puisque ce qui a été décidé hier, c'est que le chiffrage du financement commence à l'issue de l'adoption du projet. Toutes ces questions seront donc remises à plat.

Ségolène Royal livre ainsi le fond de sa pensée : L'impôt est au service d'un objectif, il n'est pas abstrait, il ne se limite pas à "on augmente ou on baisse".
Ce n'est pas un argument politique. La politique, c'est d'utiliser les outils au service d'objectifs.
Quels sont les objectifs dans ce projet ?
C'est la lutte contre le chômage (.) Parmi les outils économiques ou sociaux pour parvenir à la baisse du chômage, il y a l'outil de la fiscalité. » C'est dit !
Ségolène Royal n'a pas rompu avec les erreurs héritées du socialisme à la française.
On a prétendu qu'elle faisait du « Blair ». Rien n'est plus faux.
Le projet de la candidate socialiste s'inscrit dans la ligne de la conception archéo-socialiste de l'économie. Ainsi en est-il lorsqu'elle prétend utiliser l'impôt pour faire baisser le chômage, vieille lune dont l'inefficacité a été maintes fois démontrée.
A augmenter sans cesse la dépense publique, donc les prélèvements obligatoires, on n'aboutit au contraire qu'à faire fuir les capitaux et les talents et à décourager l'activité économique, ce qui se traduit par une augmentation du chômage.

Il ne faut pas sortir de l'ENA pour le comprendre ; malheureusement, Ségolène Royal, elle, sort de l'ENA.

Les 35 heures : un progrès social ?
De même s'est-elle taillé un joli succès dans certains milieux de droite en dénonçant les effets pervers des 35 heures, qui, mises en place par Martine Aubry, devaient à l'origine permettre de. réduire le chômage en « partageant » le travail.
Comme chacun sait maintenant, il n'en a rien été !
En revanche, cette mesure a durablement « plombé » notre économie.
Peu importe, puisqu'à entendre Ségolène Royal, « la réforme des 35 heures constitue un progrès social. Diminuer le temps de travail pour avoir plus de temps pour ses loisirs, pour sa famille, c'est un progrès. Mais il faut piloter les réformes et rectifier les choses au besoin. »
On ne reviendra donc pas sur cette mesure ruineuse, mais on l'aménagera.
Comment ?
Ségolène l'explique en évoquant son action personnelle au sein du gouvernement Jospin, concernant les structures d'accueil des personnes handicapées et celles de la petite enfance. Dans les deux cas, le personnel était débordé en raison de la réduction du temps de travail. « J'ai cité en Conseil des ministres ces deux exemples, raconte-t-elle, et à ce moment-là, le Premier ministre a dit : elle a raison, nous allons donc créer des postes dans les structures d'accueil sociales. »
La « solution » et le « réaménagement » passent donc par la création de nouveaux postes, notamment dans la fonction publique. L'entreprise et le contribuable paieront.

A l'inverse de ce que pourraient laisser croire les protestations indignées de ses rivaux et pairs socialistes, Ségolène Royal est elle aussi montée sur la même vieille idéologie collectiviste. Rien de nouveau donc chez Ségolène, à part Ségolène !
C.A

La pratique de la démocratie selon Ségolène, au sein de sa propre assemblée régionale :



Voici l'article que le général de brigade Pierre Royal a fait paraître dans son bulletin de promotion :
"Suite aux nombreuses questions qui me sont posées quotidiennement concernant mes liens de parenté avec Ségolène Royal, je tiens à effectuer la mise au point suivante :
Ségolène Royal est ma nièce, fille de mon frère ainé Jacques, qui a terminé sa carrière militaire avec le grade de lieutenant-colonel dans l'artillerie de Marine. Si je ne partage en aucune façon ses options politiques, l'esprit démocratique me contraint à les supporter. Par contre, je ne puis admettre que, pour construire sa carrière politique, elle ait sali de façon outrageante la mémoire de son père.
Lors de la sortie de son livre « Le printemps des Grands-parents », titre très cocasse quand on saura qu'elle a été particulièrement odieuse avec mes parents (ses grands-parents), elle a accordé un certain nombre d'interviews d'où il ressortait qu'elle avait eu une enfance très dure du fait de son père, militaire rigide et borné qui la brimait.
Par contre, au moment de la guerre du Golfe, dans une interview du journal « La nouvelle République du Centre », elle disait son soutien aux soldats français, évoquant avec émotion le souvenir du départ de son père pour l'Algérie et sa mort au combat (en réalité, mon frère est mort d'un cancer en 1981) ! (...)
En conséquence, je n'ai plus aucune relation avec cette jeune femme, résolument mythomane et j'ai honte de voir le nom de ma famille ainsi galvaudé par une personne qui est en train de mettre à sac sa région sur le compte de ses administrés... et ce sans payer l'ISF malgré son patrimoine bien garni.
Et Louis Mexandeau, ancien ministre socialiste, ainsi que nombreux de ses anciens collègues disent d'elle... :
« Ségolène Royal, c'est une inculture de taille encyclopédique, une sorte de trou noir de la science, une ignorance crasse, qui avoue même aujourd'hui en petit comité, qu'elle est bien heureuse de ne pas avoir à gérer la crise actuelle ; mais surtout satisfaite d'engranger ce que le P.S lui verse à titre d'indemnités personnelles pour l'ensemble de ses déplacements, et pas au nom de l'internationale socialiste dans le monde
».


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