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FRANCOIS HOLLANDE, président
Portrait d'un président par accident : François Hollande !


Hollande, Ô désespoir, Ô stupide énarchie,
N'avons-nous tant voté que pour cette infamie ?
Et ne sommes-nous blanchis à tant et tant oeuvrer
Que pour voir en dix mois fleurir tant d'insuccès ?

Nos coeurs qu'avec ardeur faisons battre « français »
Nos coeurs sont las de vous et de tous vos compères.
Blessés, trahis, usés, l'ambiance est délétère ;
Une affaire survient et fait tout exploser.

Ô cruel souvenir d'une gloire passée
Oeuvre de tant d'histoire décimée le 6 mai
Nouvelle hiérarchie fatale à nos espoirs,
Précipice abyssal où nous allons tous choir.

Faut-il, par votre faute, voir ce pays crever
Et souffrir sans un mot ou souffrir de dégout ?
Hollande ! Il est grand temps de redonner à tout,
Une plus grande exigence et un plus grand projet.

Président, la fonction n'admet point d'à peu près.
Et les faux pas nombreux que vous accumulez
Les erreurs, les mensonges et cette suffisance
Font déborder la coupe de notre tolérance.

Le moment est venu où tout peut basculer
Evite la débâcle, sauvegarde la paix.
Va, quitte donc l'Elysée, en voiture ou en train
Et laisse le pouvoir en de meilleures mains.


François Hollande vu par nos cousins québecois
(sous forme de poésie)
" Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
Aiguise bien souvent, l'appétit sexuel.
L'Élysée, ce palais, est une cage dorée,
Et pour s'en échapper, il a voulu ruser.
Voilà que, titillé par une envie pressante,
Grassouillet est allé retrouver son amante.
Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
A l'arrière d'un scooter, négligemment casqué.
La France est médusée, les Français sont perplexes,
Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
On avait échappé aux frasques de D.S.K.
Voilà que l'Élysée nous offre un autre cas....
Il n'a pas, on le voit, l'allure d'un Apollon,
Mais l'efficacité d'un fougueux étalon.
Tous ses vibrants discours n'étaient que du bidon,
La posture du dindon cachait un Cupidon.
Entre deux « commissions » il s'en allait baiser,
Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
De Tulle jusqu'à Paris, de Paris jusqu'à Tulle
Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
Maîtresses d'un instant, elles ne perdent pas au change,
Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
Ségolène, à la banque, est bien sûr à l'abri,
Il a casé Anne à la mairie de Paris.
Finie la vie en rose avec sa Valérie,
Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
Afin d'éliminer une encombrante furie.
Il est parti à Rome, prendre l'avis d'un sage,
Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu'il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l'autre,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l'on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans. les fesses.
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
J'ai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Patientez, patientez car je suis là maintenant
Pour couler la FRANCE aux bons emplacements.
J'ai pas beaucoup à faire, on m'aide constamment
Les quarante inutiles s'appliquent à tous moments.
Et pendant ce temps-là, je m'occupe des poules
Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !

Le jabot de travers toujours évidemment br> Il aurait bien voulu se faire croire compétent.
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
ll a bien trop à faire pour bouffer le fromage
En s'occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés

Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Ceux qui ont voté pour lui, c'est bien pour leur malheur
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son coeur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu'on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C'est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
Pour croire toutes les promesses qu'il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il l'a pas vu venir.
Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
ll s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu'il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
"


François Hollande et ses favorites
Sa Majesté François I de Hollandie est fort courroucée par certains gazetiers qui rendent compte de ses exploits galants.

Les gredins de la gazette Closer, détenue par le Florentin Montadori de Machiavel, ont révélé que son auguste personne sortait subrepticement de son palais, la nuit, pour satisfaire ses conquêtes.

Rien de plus normal n'est-ce pas ? Les infâmes gardes du Cardinal de Paparaze ont vu Sa Majesté François I de Hollandie arriver sur ce curieux bicycle à machine, inventé par l'anglois Monsieur de Scooteur, comme on dit en Nouvelle-France. Cet engin piloté par un de ses fiers mousquetaires transportait le Roi chapeauté, comme il se doit, de son heaume comme tout preux chevalier. Le capitaine des gardes s'assurant de la sécurité des lieux et apportant aux amants dès potron-minet les pâtisseries venant des cousins Habsbourg Viennois, que l'on nomme croissants.

La cour bruissait depuis plus d'un an de la rumeur que notre vaillant Roi suivant Henri IV, le Vert très galant, s'était épris d'une théâtreuse. La bien heureuse, bien entendu roturière, est du nom de Julie Gayet. Celle-ci fut réjouie et émoustillée par la vaillance de notre bon souverain qui l'honore quotidiennement depuis quelques lustres. La gredine est totalement et bien naturellement sous le charme, souligné par la beauté de son visage et corps, de François de Hollandie.

Il se murmure que sa majesté a anobli la Ribaude en Comtesse Delarue du Cirque, en souvenir du lieu de leurs ébats amoureux.

Valérie, la Marquise de Pompadur, depuis quelques aubes déjà semblait tomber en disgrâce Royale. Elle ne devait plus faire partie de la rencontre avec Sa Sainteté le Pape, se nommant lui aussi François.

Le Roi, malgré quatre bastards avec Ségolène du Poitou, étant toujours célibataire, la Pompadur Valérie, Duchesse de Trier et Weiller régentait les palais et avait l'insigne honneur de paraître en cour aux côtés du Roi. Elle avait au palais « l'aile Madame » devenue, depuis peu lieu, pestiférée pour gens de Cour voulant le rester.

Las ! Loin de s'en réjouir, la Marquise Valérie prit fort mal les merveilleuses aventures de François de Hollandie. Que Nenni ! Elle s'en trouva fort marrie, eût ses vapeurs, devint si hystérique que l'on dû la mander, de suite, dans un Ospital.

Les bons sujets françois ne comprennent absolument pourquoi Valérie, dont le visage tendait à se marquer, ne fait pas comme feu son aïeule La Marquise de Pompadour qui régentait et choisissait les maîtresses pour les menus plaisirs de sa Majesté.

Son avenir à la cour est bien sombre et nous pensons que Sa Majesté devrait la contraindre au couvent de province jusqu'à la fin de ses jours, comme il sied.

Le bon peuple ne peut que se réjouir que de la vaillance de son souverain qui satisfait certaines de ses sujets de la gente féminine.


François Hollande par Philippe Bouvard
C'est la désolante saga d'un fromage d'abord appelé Hollande et fabriqué avec la crème des grandes écoles puis rebaptisé Président avant de se liquéfier peu à peu, en dépit de sa graisse personnelle, jusqu'à s'identifier au yaourt à 0 %.
Le refus de prendre ses distances avec la crèmerie sous prétexte qu'un bail, récusé aujourd'hui par presque tous les signataires, lui assure encore deux ans et demi de pas-de porte, semble avoir fait définitivement tourner le bon lait de la tendresse électorale.

L'amour pour ma patrie étant plus fort que l'amour-propre, j'en arrive à regretter d'avoir, dès le début de l'année de disgrâce 2012 et en basculant déjà dans l'opposition, tout prévu des malheurs qui allaient fondre sur nous.
A savoir l'incompétence gouvernementale d'un cacique de province propulsé directement de la direction du département le plus endetté du pays à la tête de la cinquième puissance mondiale. Une incapacité à rallumer les fours de la croissance, beaucoup plus angoissante que celle d'un réparateur de chaudière connaissant mal son métier.
L''entêtement idéologique, le défaut de pragmatisme et le manque de charisme ont abouti à ce que, élu voilà trente mois avec 52 % des voix, Hollande ne disposerait même pas aujourd'hui d'une majorité au conseil municipal de Tulle.
Certains remarqueront qu'on ne doit pas plus apprendre l'arithmétique que l'orthographe à l'ENA. D'autres dresseront la liste des bons sentiments tombés en quenouille, des promesses non tenues parce qu'intenables et des formules pompeuses vidées de leur sens par les réalités. Emplois d'avenir devenus jobs sans lendemain. Soi-disant pactes impliquant l'accord de tous mais rejetés la semaine suivant leur annonce. Suppression des impôts mais pour ceux qui n'auraient jamais dû en payer.
Le pouvoir devient une impasse lorsque le peuple descend dans la rue. La mosaïque formée par les déçus, mécontents, protestataires qui recouvre toutes les régions, toutes les générations, toutes les professions.
Les policiers se suicident.
Les paysans sont désespérés.
Les médecins ferment leurs cabinets.
Les avocats retirent leur robe.
Les huissiers sont tout saisis.
Pour la première fois, les enseignants, les parents et les enfants éprouvent le même ras-le bol.
Les mensonges d'Etat s'érigent en système de communication.
Le remplacement des 16 "Moi Président", qui ont fait, paraît-il, la victoire contre le seul "sans-dents" qui consomme la défaite.
Les braves gens ne comprennent pas qu'on puisse terminer un quinquennat alors qu'ils n'ont pas de quoi finir le mois.
Un endettement galopant dont on n'ose même plus préciser le montant.
Un va-t-en-guerre menaçant de ses canons un tyran syrien mais ne réussissant à faire fuir que vers Bruxelles ou vers Londres les riches de son propre pays.
Sans oublier le summum de l'irresponsabilité : la fausse nouvelle de la libération - jamais intervenue à la suite de tractations jamais amorcées - des 250 jeunes filles nigérianes mariées de force à leurs ravisseurs.
Et que dire de l'image véhiculée par des médias moins friands de séductions que de ridicules ? Un personnage mal fagoté, affublé par son tailleur, déguisé par son chemisier, abandonné par ses amis, décrié par ses femmes, mal entouré, mal conseillé, mal dans une peau tavelée par les coups reçus de toutes parts.
Une vie privée vaudevillesque jalonnée par l'octroi d'un ministère plutôt que d''un pacs à la mère de ses quatre enfants, poursuivie par la répudiation publique en dix-huit mots d'une femme aimée pendant sept ans et achevée par l'édition d'un livre de secrets d'alcôve griffonnés au saut du lit.
Pour l'heure, les appartements, désormais moins privés, de l'Elysée verraient débarquer chaque soir et repartir chaque matin, une comédienne dont il faudrait vérifier que les horaires tardifs et la régularité des prestations n'enfreignent pas la législation du travail de nuit.
Non seulement, je n'envie pas sa place mais je le plains de s'y accrocher, car je n'ose imaginer cette marionnette pathétique ne tenant plus qu'à un fil, errant dans le triste palais-bureau déserté par les courtisans, lorsqu'une secrétaire embarrassée prétend que par suite d'une grève de la distribution affectant seulement le 55 rue du Faubourg Saint-Honoré, les odieux quotidiens et les méchants magazines ne sont pas arrivés.
"Le pauvre homme", comme disait Orgon dans Tartuffe. Un père de la Nation en l'honneur duquel les enfants n'agitent plus de petits drapeaux qu'à Bamako et qui ne peut plus parcourir l'Hexagone sans se faire huer.
A Hollande qui lui faisait remarquer, en le décorant pour six mois de cohabitation, qu'on pouvait réussir sa vie sans devenir président de la République, Valls aurait eu beau jeu de rétorquer qu'on peut tout rater en le devenant.
Plus besoin de posséder la science des conjectures pour prévoir la catastrophe.
Elle est déjà là.

Philippe Bouvard - Août 2015


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