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CO², GAZ CARBONIQUE et EFFET de SERRE
Notre ami le CO² !


Voici un article qui mérite réflexion ; il réfute tout ce qui concerne le CO² dans l'ensemble des revues de presse :

Les gaz à effet de serre cela n'existe pas et n'a jamais existé
Vous pensez déjà : « Pourtant les scientifiques nous ont dit que... »
En effet ils vous ont dit et écrit, mais beaucoup dire - et surtout beaucoup répété sans avoir compris ni vérifié - ne suffit pas pour rendre vrai ce qui ne l'est pas.

D'abord il n'y a d'effet de serre que s'il y a une serre, une vraie serre telle que vous en avez tous vues dans la campagne ou dans les grands jardins des villes, ou même dans des petits jardins de particuliers.
Une serre est une surface de terre plus ou moins grande, recouverte par une structure métallique aussi légère que possible et supportant des parois et un toit transparents à la lumière, qui sont faits soit en verre, soit en matière plastique.

La physique des 200 dernières années au moins a toujours affirmé que la Terre était un système totalement ouvert, et pas le moins du monde une serre.
D'ailleurs comment pourrait-on affirmer autre chose, quand on sait depuis longtemps que si le toit n'est jamais tombé sur la tête des gaulois c'est simplement parce qu'il n'existait pas.


L'effet de serre c'est...
- d'abord l'existence d'une enceinte aux parois transparentes à la lumière solaire, et fermée afin d'isoler son contenu du milieu extérieur.
- ensuite l'échauffement de TOUT ce qui est enfermé dans la serre, « terre du sol, plantes, matériel, eau, engrais, outils, chiens, chats, jardiniers, jardinières, vieux pneus, vieux fauteuils, tuyaux d'arrosage, tout ce que vous voulez », par l'énergie de la lumière solaire qui y pénètre,
- enfin la conservation pendant un certain temps, le plus long possible, de cette chaleur emmagasinée dans tous ces trucs cités.

Un longtemps cela signifie quelques heures et non pas quelques jours.
Le seul intérêt de la serre est justement de maintenir longtemps la chaleur à l'intérieur de façon à favoriser la pousse des plantes qu'elle contient, que ce soit des fleurs ou des légumes.

La chaleur emmagasinée est directement proportionnelle à la MASSE qui a reçu la lumière solaire entrée par les parois transparentes, et qui a été chauffée par cette lumière.
Toute la lumière qui entre n'est pas gardée, une partie ressort, la preuve en est que depuis l'extérieur on voit l'intérieur de la serre (sauf si les vitres sont passées au blanc d'Espagne qui diffuse la lumière sortante, comme entrante).

Tout ce qui est chauffé par l'énergie des ondes de fréquences très élevées de la lumière solaire entrée dans la serre restitue cette chaleur par trois moyens.

a) D'abord par conduction, c'est à dire par le cheminement de la chaleur à l'intérieur des corps depuis un coté chaud vers un coté moins chaud, en particulier depuis le coté intérieur des parois de la serre vers le coté extérieur.
b) Ensuite par convection, c'est à dire par le transfert de chaleur par l'intermédiaire de l'air contenu dans la serre, dont les molécules en grande agitation se rencontrent, s'entrechoquent, et cognent les parois sans arrêt, perdant à chaque fois de l'énergie.
c) Enfin par le rayonnement infrarouge de tous les corps chauffés, et pas seulement par le CO², le pauvre âne chargé de tous les maux.


La Formule de la quantité de chaleur
Il y a une formule physique, bien connue et vérifiée depuis environ 200 ans qui dit que :
Q = m x c x (t2 - t1)

Q est la quantité de chaleur emmagasinée
m est la masse qui reçoit la chaleur
c est le « coefficient calorique » du corps chauffé
(t2 - t1) est l'élévation de la température du corps.

La température t2 est supposée plus élevée que la température t1.

Si la formule ne vous paraît pas claire, on peut écrire :
Quantité de chaleur Q = (masse m) multipliée par (coefficient c), multiplié par (élévation de température en °C).

Le coefficient c
Le coefficient "c" est très important est particulier pour chaque corps physique réel, et il est nommé « chaleur spécifique » du corps.
Par exemple pour l'air « mélange d'environ 79 % azote, plus environ 21 % oxygène »
(il faut dire environ, car il y une petite portion inférieure à 1 % d'autres gaz).

Pour l'air on a : c = 0,24
Pour le CO² on a : c = 0,29

Il vaut 1 pour l'eau et est inférieur à 1 pour tous les autres corps, solides, liquides ou gaz.
Chiffres donnés par les tables des grandeurs physiques qui figurent dans tous les livres de chimie ou de physique.

C'est d'ailleurs un peu spécial pour les gaz, par rapport aux liquides et aux solides, car il y a un coefficient si on travaille à « volume constant » et un autre coefficient, légèrement différent si on travaille à « pression constante ».
Mais la différence n'est pas grande, ce qui compte c'est que c est inférieur à 1, et qu'il est spécifique d'un corps. En outre pour la chaleur reçue dans une serre réelle cela a peu d'intérêt.

Il faut quand même ne pas oublier dans quel système d'unités on travaille et exprimer ce coefficient avec les bonnes unités pour les différents termes.

Propriétés du CO² (elles sont extrêmement importantes) :
- Densité par rapport à l'air : 1,51
- Poids de l'air : 1,293 gramme par litre
- Poids du CO² : 1,952 gramme par litre.

Le CO² est donc plus lourd que l'air et tombe au sol comme tombe l'eau.

Tous les livres de chimie illustrent ce fait important en montrant, par un dessin ou une photo, quelqu'un qui transvase du CO² d'un bocal en verre dans un autre bocal en faisant comme si c'était de l'eau.
Pour prouver que le CO² est bien passé d'un récipient à l'autre, avant de le transvaser on place une bougie allumée dans le récipient récepteur et celle-ci brûle normalement. Quand on a fait le transvasement on fait descendre la même bougie dans le vase récepteur et on constate qu'elle s'éteint dès que la flamme atteint le bord du vase.

Dans la nature le CO² qui est produit aussi bien par les activités humaines que par les plantes ou les animaux, tombe au sol et y reste. Quand l'air est calme bien entendu, et si on donne des coups de pieds rageurs à l'air on fait élever le gaz, qui retombera ensuite.


Mesure du taux de CO² dans l'air
Ce sont des mesures que l'on peut qualifier de vaseuses car suivant le lieu et l'agitation de l'air on peut trouver quand on veut la valeur que l'on veut, suivant la thèse que l'on défend.
Les premières mesures du taux de CO² dans l'air datent d'environ 1860.

Dans mon livre de chimie qui date de 1945 il est dit qu'il faut éviter de mesurer le taux de CO² dans les lieux où il y a beaucoup de voitures. A cette époque les lieux où il avait beaucoup de voitures étaient sûrement moins nombreux que ceux où il y avait beaucoup de CO².

La valeur du taux retenue actuellement est d'environ 300 ppmv, c'est à dire « parties par million en volume ».
En fait la valeur moyenne correcte est plutôt d'environ 250 ppmv.
Classiquement les partisans de l'effet de serre exagèrent dans le sens qui les arrange.

En clair cela signifie qu'il y a 300 centimètres cube de CO² dans 1 mètre cube d'air, qui contient 1.000.000 de centimètres cube (cc).

Prenons une valeur un peu plus forte soit : 330 ppmv. Cela représente 1/3 de litre pour 1000 litres, ce qui est plus facile à visualiser.

Supposons que tout le CO² contenu dans 1 mètre cube d'air soit posé au sol en une seule couche, sur 1 mètre carré, qui est la surface de base du mètre cube :

L'épaisseur de cette couche serait de 1/3 de millimètre.

C'est plutôt mince pour en faire une couverture chauffante !

Attention
La densité du CO² par rapport à l'air nous permet d'affirmer que dans l'air très calme il n'y a de ce gaz que dans le premier mètre cube qui touche le sol. La quantité de gaz lourd dans les couches d'air situées au dessus est obligatoirement infime.
Même s'il y avait autant de ce gaz dans chaque couche d'un mètre, et cela sur plusieurs mètre de haut, la quantité totale serait encore négligeable vis à vis de la quantité totale de l'air contenu dans ces couches.

Poids du CO² dans le premier mètre d'air au dessus du sol :
1 litre de ce gaz pèse 1,952 gr, il y en a donc 0,65 gr dans 1 mètre cube d'air au sol.
Il y a donc dans 1 mètre cube une masse d'air qui vaut 1293 / 0,65 = 1989 fois la masse du CO² qu'il contient.

Les partisans d'un CO² qui serait seul responsable d'un effet de serre, considèrent pour établir leurs calculs que seul le CO² absorbe toute la chaleur reçue par la serre (pour eux la Terre) et le rayonne ensuite vers les objets contenus dans celle-ci.
Faisons un petit calcul à la louche à partir de cette hypothèse, en nous limitant à 1 m³ :

Si on veut que la température de l'air augmente de 10°C, ce qui est modeste, quelle devrait être la température du CO² ?
Il y 1989 fois la masse du CO² dans ce m³ d'air, donc il faudrait que ce gaz atteigne la température de 19.890 ° C.
Un petit soleil ! Vive la fusion froide.

Il est évident que c'est (volontairement) super primaire comme calcul, car si un tel calcul était permis, il faudrait tenir compte du temps nécessaire au CO² pour s'échauffer.
D'abord parce qu'il ne s'échauffe pas instantanément, ensuite parce que dès qu'il s'échauffe il commence à redistribuer sa chaleur, de l'autre côté il faudrait aussi du temps pour que les molécules d'air récupèrent cette chaleur, et cela ne peut se faire que lentement.

En fait il est évident, si on fait de la vraie physique, qu'on ne doit pas estimer, ou simplement penser qu'une si faible quantité de gaz puisse avoir un rôle important dans l'échauffement d'une serre, d'une vraie serre. Il a le même rôle que les autres gaz ou corps contenus dans la serre, proportionnellement à sa masse, il prend la chaleur et la restitue comme le reste de la serre, y compris les parois. En fait par sa mobilité ce gaz participe plus au refroidissement qu'à l'échauffement de la serre.
Donc il a une petite action, toute petite, à la mesure de sa petite taille.

Dissolution dans l'eau
C'est une propriété très importante car c'est la mer qui est le vrai régulateur de la température de la Terre, parce qu'elle occupe plus de 70 % de sa surface.
A la température normale il se dissout environ 1 litre de CO² par litre d'eau, douce ou pas douce.
C'est loin d'être négligeable, c'est même beaucoup.
Qui plus est : la quantité dissoute augmente si la température diminue, et elle diminue si la température augmente.

L'eau chargée en CO² dissout à son tour les carbonates des roches calcaires, et quelques fois les dépose ensuite dans certaines grottes en formant de belles stalactites et stalacmites.
Elle forme aussi d'autres dépôts impressionnants dans les fontaines pétrifiantes, telle celles de Pamukale en Grèce, que vous avez certainement vues en photos ou en documentaires.
En ce moment on parle beaucoup des vieilles conduites d'eau en plomb qui pollue l'eau qui y circule. Cela ne pollue pas autant qu'on le dit parce que ces vieilles canalisations ont presque toutes leurs parois intérieures couvertes d'une jolie couche de calcaire qui atteint facilement de 1 à 2 mm d'épaisseur. Vérifiez chez un plombier, ou chez un ferrailleur.
Cette couche isole l'eau du plomb qui n'est plus attaqué, donc n'est plus dangereux pour la santé. Une petite restriction : ceci dépend des régions, c'est vrai quand l'eau est très calcaire, ce l'est moins quand elle ne l'est pas ou peu.
Pour ces dépôts de calcaire référez-vous aussi à ces belles pubs de la télé sur les machines à laver dont certaines parties s'habillent de calcaire.

Il y a quand même quelques avantages à tirer de cette dissolution du carbonate de calcium.
C'est grâce à ce calcium dissous dans l'eau que les poissons fabriquent leurs arrêtes, les crevettes, crabes et langoustes... leur carapace, les coquillages leurs coquilles. Sans ce calcaire des poissons tout mous mangeraient vite des coquillages sans coquilles. Et il y a longtemps qu'il n'y aurait plus ni les uns ni les autres.
Des physiciens ont provoqué un dépôt de calcaire sur des structures métalliques plongées dans la mer en faisant passer un courant électrique entre l'eau et le métal. Dans le bon sens, que je ne connais pas, car il y a un mauvais sens qui ne produit pas de dépôt. C'est normal.


Production du CO²
Origine volcanique
On voudrait que le taux de CO² soit essentiellement d'origine anthropique (produite par l'homme), alors qu'il est certain que la plus grande partie du CO² est d'origine volcanique. à chaque éruption d'un volcan il y a des maelströms de ce gaz qui sont éjectés, en compagnie d'autres gaz dangereux, et cela dure depuis quelques années et même depuis quelques millénaires.
Il s'en dégage du sol en permanence dans les régions volcaniques, même inactives comme le Massif Central, et encore plus dans les zones actives.

Dans la région de Naples il existe une grotte, nommée la "Grotte du Chien", dont le sol est nettement en contrebas par rapport au niveau de l'entrée et qui est en permanence remplie de CO². Cela fait que si un chien y rentre il est immédiatement asphyxié tandis qu'un homme ne l'est pas parce qu'il respire plus haut que le chien dans de l'air presque normal.

Le lac Nyos
Ce lac volcanique, situé au Cameroun a plus de 200 mètres de profondeur. Il contient une énorme poche de CO² liquide dans le fond. Ce CO² vient du sous-sol volcanique et il est liquéfié par la pression de l'eau dès qu'il sort du sol. Le gaz est plus dense que l'air, et le gaz liquéfié est plus dense que l'eau, donc pas de problème ?

Le sommet de la poche de CO² liquide monte régulièrement sous la haute couche d'eau et il arrive un moment ou la pression est devenue trop faible pour maintenir le gaz liquide, et alors le liquide redevient gaz. Ce gaz monte dans l'eau, abaisse la pression et permet à une autre quantité de redevenir gaz.
Il y a très vite emballement et une énorme colonne de gaz mêlé d'eau s'élève au dessus du lac (il paraît de 80 m) et une énorme vague sort du lac par le vallon qui lui sert de déversoir.
Un petit tsunami, mais tout aussi dévastateur : en 1986 il y eu 1700 personnes tuées et plus de 6000 zébus.
Une équipe de physiciens français à installé un système de tuyaux munis de vannes commandées à distance, même depuis Paris, pour purger régulièrement une partie de la poche de CO², de façon que le processus naturel catastrophique ne puisse se produire.
Ils envisageaient de tout vider, mais cela ne ferait qu'espacer les opérations de libération de gaz, en fait cela ne changerait rien puisque l'on n'est pas maître du processus d'arrivée du CO².

Les puits à CO²
A la fin du XIXe siècle et au début du XXe , dans le Massif Central on a creusé des puits qui se remplissaient de CO², que l'on puisait alors pour l'introduire dans l'eau pour faire les boissons gazeuse, par exemple l'eau de Seltz.
La plupart des boissons gazeuses actuelles sont artificiellement chargée en CO².

La respiration
Evidemment tout le monde sait que ce gaz est produit par toute respiration animale, en particulier la nôtre.
L'air que nous rejetons contient environ 4 % de CO², nos poumons ne prélèvent pas tout l'oxygène de l'air inspiré. C'est très important et on peut en mourir si on l'oublie.

Les puits mortels
En 1938 un oncle de mon épouse est mort dans un puits où il était descendu pour réparer une pompe. Un des participants est immédiatement parti pour chercher du secours, mais les deux personnes qui étaient autour du puits sont descendues pour aider celui qui avait eu le malaise.
Deux morts de plus.
Pourtant à cette époque-là on enseignait à l'école communale qu'il ne fallait pas descendre travailler dans un puits sans une bougie allumée, ou une souris, ou un canari. Bien entendu, quand on n'avait pas une pompe pour aérer en envoyant de l'air frais ou en extrayant l'air vicié, mais on n'utilisait pas de pompes à air pour les petits travaux de nettoyage de faible durée.
La bougie et les animaux servaient d'avertisseur indiquant qu'il fallait sortir, soit quand la flamme vacille ou s'éteint, soit quand l'animal, normalement vif, ralentit ses mouvements.

Autre cas récent
L'été 2004, un voisin de ma fille, médecin pneumologue, est descendu dans son puits sec, avec son fils pour le nettoyer et il a nous dit :
« j'étais mal à l'aise et tout à coup j'ai dit « mais que je suis c. ! Vite sortons ». La mémoire lui était revenue.
Il faut signaler aussi le nombre non négligeable de personnes qui ont péri en nettoyant des cuves à vin dans lesquelles on met à fermenter le raisin pressé, ou en nettoyant les grands foudres de stockage sans penser à ouvrir la trappe inférieure.
Nous ne connaissons pas les chiffres exacts mais il en est sûrement mort autant, sinon plus, pour le nettoyage des cuves des brasseries et des distilleries. Les hommes sont les mêmes partout.

L'activité industrielle
Les quantités de CO² dues aux nombreuses combustions nécessitées par les activités industrielles humaines sont certainement très inférieures aux quantités produites par la nature. On annonce toujours ces quantités en milliards de tonnes ce qui est effrayant, mais si on les ramenait à un pourcentage par mètre cube ce serait moins effrayant, peut-être même trop banal.

Mais bien sûr !
Leur effet est déjà bel et bien déjà exprimé en pourcentage par mètre cube.

He oui ! Quand on annonce un taux mesuré de 250 ppmv ou de 300 ppmv on a bien pris en compte le bilan final permanent après production et consommation, que celles-ci soient des milliard de tonnes, ou des millions de tonnes, peu importe.

Ce taux bilan n'a pratiquement pas bougé depuis que l'on a commencé à le mesurer, vers 1860, même si des physiciens ont particulièrement triché sur les valeurs relevées depuis cette dates jusqu'à aujourd'hui.
Celui qui a commencé à tricher est un nommé Callendar qui a éliminé les valeurs élevée du taux, mesurées en fin de XIXe siècle, pour faire croire que c'était l'activité industrielle du XXe qui était responsable de l'élévation apparente de ce taux mesuré maintenant.
Ceci est détaillé dans ma page Web, avec des références, ce serait trop long ici.

Si vous avez suivi jusqu'ici vous savez que si on multipliait ce taux de 300 ppmv par 10, cela ne représenterait toujours que 6,5 grammes - au lieu de 0,65 gr - par mètre cube, devant 1287 grammes d'air. Négligeable pour un effet de serre, surtout un effet de serre qui n'existe pas.
Donc les mesures truquées de Callendar ne nous gênent pas.


Les bienfait du CO²
Ils sont innombrables, aussi nous n'en verrons que quelques uns, ceux dont on parle le plus en les accusant d'être des méfaits.

La croissance des arbres
Quand on tranche un arbre à la scie on voit sur la surface de la coupe des cernes concentriques plus ou moins larges et il y a une alternance de lignes foncées fines et de lignes plus ou moins larges plus claires. Ces lignes, qui sont en fait de petites bandes, sont bien distinctes et bien visibles, et il apparaît immédiatement qu'elles sont plus ou moins larges.

On sait aussi que chaque petite bande correspond strictement à une année de pousse de l'arbre, donc le nombre de bandes donne l'âge exact de l'arbre.
Les partisans du CO² méchant disent que la largeur de chaque bande dépend du taux de CO² dans l'air ambiant au cours de l'année : beaucoup de CO², l'arbre pousse bien, la bande est large, peu de CO² l'arbre pousse peu, la bande est étroite. Et ils racontent que la corrélation est parfaite.

Comme personne n'a jamais mesuré le taux de CO² local à l'endroit ou a poussé l'arbre coupé que l'on examine, il n'y a pas de références valables justifiant une telle corrélation.
En fait c'est une corrélation à l'envers : on regarde les bandes et on décrète que quand elles sont larges le taux de gaz était élevé, et que quand elles sont étroites le taux de gaz était faible.

Bien avant que les anti-CO² ne soient nés, les spécialistes de la forêt s'étaient aperçu que les largeurs des bandes étaient directement proportionnelles aux précipitation de pluie durant l'année de croissance de chaque bande. Beaucoup d'eau de pluie dans l'année : la bande est large, peu d'eau dans l'année : la bande est étroite.
Et là c'était une vraie mesure, une vraie corrélation entre observations parce qu'il y a très longtemps que dans chaque région on a mesuré les hauteur de pluie annuelles, et même mensuelles.

Il est évident que les quantités de CO² sont trop faibles, et leurs variations encore plus faibles même en trichant, pour avoir un impact visible sur la croissance des arbres. Et ce d'autant moins que le CO² tombe au sol, donc est surtout consommé par les feuilles de l'herbe et des petites plantes au raz du sol, et beaucoup moins par les feuilles des arbres qui sont trop hautes.
J'ai lu quelque part que le taux de CO² favorisait bien la pousse des arbres mais essentiellement des arbres de montagne. C'est étrange quand on sait que le CO² coule le long des pentes pour se retrouver dans la plaine. Ce qui est moins étrange c'est que l'on sait que les précipitation de pluie sont plus importantes en montagne qu'en plaine.

La température de la mer et le CO²
On a déjà parlé du CO² dissous dans l'eau, mais il faut y revenir à propos de deux courbes que l'on trouve partout dans la littérature des anti CO².

On donne deux courbes qui sont :
a) la valeur de la température de la mer en fonction du temps,
b) le taux de CO² au dessus de l'eau aux mêmes moments.

On vous dit : regardez ces deux courbes et constatez que plus il y a de CO² au dessus de l'eau plus la température est élevée.

Si vous regardez les courbes, c'est vrai.
(Attention : ces courbes-ci sont arbitraires, et l'une est la copie de l'autre, elles ne sont là que pour aider la visualisation sous forme d'images de la forme des courbes données par les écologistes)

Mais en fait ce qu'il faut dire c'est :
Plus la température est élevée, plus il y a de CO² au dessus de l'eau.

Et c'est cette version qui est la bonne car c'est la loi de dissolution d'un gaz dans l'eau : plus la température monte plus le gaz est libéré.
Prenez un bon soda au CO², versez le dans une poêle, faites mijoter un petit peu et goûtez.
Que reste-t-il comme gaz ? Vous pouvez aussi bien le faire avec du champagne si vous préférez !

Un bon demi-pression et le CO²
Le rapport ne semble pas évident, pourtant il y en a un.
C'est le CO² qui est utilisé dans tous les bars pour faire jaillir la bière sous pression que vous appréciez. Les grossistes en boissons fournissent aussi aux débitants des bonbonnes métalliques contenant du CO² qui mettra le fût de bière sous pression, les mêmes bonbonnes que celles des extincteurs à CO².
Une pinte de bière équivaut à une pinte de CO² libéré.
Cela devrait faire plaisir aux écologistes, même si le gaz ne vient pas des volcans mais simplement des usines de chimie.

Le CO² et la forêt amazonienne « poumon de la planète »
L'absorption du CO² par les plantes est bien connue depuis longtemps, sauf par certains écologistes idéologues, il est surtout admis que toutes les plantes, petites ou grandes consomment ce gaz pour se développer.
Les arbres de la forêt d'Amazonie aussi bien que ceux du bois de Boulogne, et l'herbe des prairies du monde entier ou celle des pelouses "compissées" de ce même bois.

Pour donner un ordre de grandeur de l'absorption du CO² :
- un hectare de forêt de beaux feuillus consomme 3500 kg de CO² par an.
- un hectare de maïs consomme (de la pousse à la récolte) 3000 kg de CO² par an.

Seuls les bureaucrates aux ventres pleins préfèrent la forêt au maïs. Et vous ?


Le mythe du CO² gaz à effet de serre
D'où vient cette idée bizarre, non conforme aux lois de la physique ?
Certains physiciens au XIXe siècle avaient émis l'idée d'un réchauffement de la température de la planète à cause des activités industrielles humaines. En particulier celles qui faisaient appel à une consommation de charbon, relativement énorme à l'époque.
Ensuite au XXe siècle on a pris prétexte la consommation des hydrocarbures, qui est nettement plus importante que ne l'était celle du charbon, dont l'usage régresse partout, sauf en Chine.

Aucun réchauffement réel n'a jamais été mesuré, même aujourd'hui, ce n'est toujours qu'une simple hypothèse, qui nourrit bien ses partisans.

Il y a sur ce sujet une véritable montagne de textes émanant de diverses autorités en particulier du GIEC. Ces textes sont tous sans aucune exception des modélisations « informatiques » d'une éventuelle modification du climat. Ce qui est absolument sans valeur, d'autant moins que l'on n'a pas de données physiques issues de vraies mesures comme données initiales pour les modèles.
Ce n'est pas mieux que les prédictions des astrologues et autre médiums.

francis.frjc.rey@wanadoo.fr


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